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 Naoki Maeda alias Leïla Hyûga

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MessageSujet: Naoki Maeda alias Leïla Hyûga   Naoki Maeda alias Leïla Hyûga EmptyDim 8 Jan - 22:26


NAOKI MAEDA
alias Leïla Hyûga





Il était une fois..




Hey, je m’appelle Naoki, se traduisant : "arbre honnête" dans ma langue natale. Je sais, ça n'a pas de sens mais on fait avec le prénom qu'on a. Mon nom de famille, c'est Maeda. On m'appelle aussi Nao, Nana, Nao-chan, Onesan. Au Japon, on m'appelait Maeda mais je n'ai jamais aimé cette formule de politesse. J'ai fêté mes 24 ans. Je viens du Japon où je suis né le 12 octobre 1998. Aujourd'hui je suis mannequin et égérie de la marque de sport Nike et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime m'amuser, découvrir de nouvelles choses. J'ai une fascination pour les choses un peu glauques et ce qui fait peur. J'adore faire la fête et danser. Ma saison préférée est de loin l'été pour pouvoir aller à la plage, sortir mes plus beaux maillots et profiter du soleil. J'ai un pêché mignon: les sucreries. Je le cache au vu de mon métier mais dès que je peux, je grignote des chiques et pâtisseries en tout genre. Tant que je ne prends pas un gramme, je sais que ça ne pose pas trop de problèmes. J'aime faire du sport et ça me maintient en forme. Ce que je préfère, ce sont les sports de combat. On ne dirait pas au vu de ma taille fine et de mon poids plume mais je suis ceinture noire en karaté. Je fais également du  ju-jitsu et de la boxe. Je vais parfois à la salle même si ce n'est pas ce que je préfère, je sais que j'y suis super sexy. Si je n'étais pas très fan de la mode au début de ma carrière, j'ai appris à aimer ça au fil des années. Je suis aussi accro à mon téléphone, j'adore les réseaux sociaux et suis très active dessus. Je suis pansexuelle  et une célibataire épanouie.

Du point de vue caractère je suis une femme au fort caractère, une leadeuse née, c'est en tout cas ce que j'aime faire croire. Je suis sociale, extravertie mais je sais aussi que je peux être difficile et capricieuse. J'aime l'idée que je suis une femme forte et pleine de confiance en moi. Émotionnellement, on peut dire que je suis un peu instable. Généralement de très bonne humeur, je peux très vite me mettre en colère pour un rien mais ça ne dure jamais longtemps. Je ne suis pas fan des conflits et je suis toujours la première à m'excuser auprès de mes amis quand je m'énerve. Je dis bien auprès de mes amis. J'ai ma fierté, surtout face à des potentiels flirts. J'aime draguer sans jamais aller très loin, tenant à ma liberté de femme. Je sais que mes amies aimeraient me voir en couple mais je n'ai pas encore trouvé la personne qui me supporterait. Après tout, je suis taquine et impulsive, je n'en fais qu'à ma tête et n'ai pas envie que quelqu'un cherche à me contrôler. J'ai tendance à prendre les autres de haut au premier abord mais quand on apprend à me connaître, on peut vite se rendre compte que je suis une femme dévouée et très généreuse. J'ai beaucoup de charmes et j'en ai conscience. Je peux être un peu envahissante, étant tactile et je suis une grande bavarde mais on dit de moi que je suis attachante. Très gourmande, je dois réfréner mon appétit à cause de ma carrière, ce qui peut être un peu frustrant. Je suis toujours en train de machouiller un bâton de sucette comme si ça pouvait faire passer mon envie de manger. J'essaye de toujours rester optimiste et enjouée et j'y arrive la plupart du temps. Malgré tout, je reste enfermée dans une carrière exigeante imposée par ma famille et j'essaye tous les jours de me convaincre que j'aime mon métier.

On m'a déjà dis que je ressemblais à Aya Asahina j'en suis plutôt fier. J'ai trouvé mes images pour ma présentation sur tumblr, les dessins de Leïla ont été réalisé par Shami et Chaestia. J'aimerais faire partit du groupe revenge is pleasure.


«Trop tôt.»

Le 12 octobre 1998, la petite Naoki voit le jour et elle n’est pas petite parce qu’elle vient de naître, elle est anormalement petite. Pesant dans les alentours de 1400 grammes, elle est immédiatement placée en couveuse. Sa mère, japonaise aux origines américaines, est folle d’inquiétude. Son premier enfant est né avec deux mois d’avance, elle est prématurée, faible, maigrichonne. Dans sa couveuse, Naoki pleure constamment et les médecins finissent par constater qu’elle est née avec un torticolis. Également affaiblie par l’accouchement, la mère de la petite reste plus longtemps à l’hôpital que prévu. Le père est des plus déçus. Il attendait la naissance d’une fille forte, robuste comme lui. Maître d’art martiaux, dernier héritier d’une famille japonaise respectée, il est un homme droit dans ses bottes, fier et intransigeant. Il attendait que sa fille soit son portrait craché et la voilà frêle, plaintive et arrachée à sa famille dès son premier cri. Il lui faut plus d’un mois pour reprendre un poids convenable et pouvoir sortir de la couveuse.

«Trop jeune.»

La famille Maeda vit dans le quartier historique de Tokyo appelé Asakusa. Les arts martiaux sont plus que du sport pour le père de Naoki. C’est une tradition, un véritable héritage. Depuis plusieurs générations, les Maeda tiennent un dojo sur une immense propriété. Les bâtiments sont dans un style traditionnel japonais, une partie des bâtisses sont dédiées aux arts martiaux, évidemment, et le reste sert d’habitation à la petite famille. Si le chef de famille se consacre corps et âme à son dojo, la mère de Naoki, elle, est pâtissière et travaille dans une boulangerie également dans le quartier Asakusa. Pendant un an, elle prend congé pour s’occuper de Naoki. C’est une mère aimante et protectrice, elle compense la froideur d’un père toujours occupé. Il n’abandonne pas l’idée que sa fille devienne comme lui mais doit attendre qu’elle grandisse un peu. D’ici là, elle n’a aucun intérêt à ses yeux.

«Trop immature.»

Elle n’a que 4 ans quand son père décide de commencer son entraînement. Naoki est une enfant dévouée à sa famille et la distance que son père lui impose la blesse. Elle veut rendre fier l’homme qui est son exemple. Cependant, elle est encore petite, elle est maladroite et elle voit les sports que son père lui apprend comme des jeux. Son comportement irrite beaucoup le japonais qui se montre sévère et se met même à punir son enfant pour son innocence. Pas des violences physiques mais ce sont les mots qui marquent la petite fille. Incapable, maladroite, inutile, décevante. Ce sont ces mots qui bercent l’enfance de Naoki lors des nombreux entraînements avec son père. Sa mère n’a pas conscience de ce que vit l’héritière dans le dojo, étant interdite d’y entrer, elle respecte le lieu de travail de son mari. Le seul réconfort qu’elle trouve après ses journées à l’école suivies de longs entraînements, c’est dans les délicieuses pâtisseries de sa mère.

«Trop distraite.»

Naoki a six ans quand sa petite sœur voit le jour. Okuda, contrairement à sa sœur, est en bonne santé mais malgré ça, elle n’attire pas plus la tendresse de leur père. Il a déjà une héritière et en réalité, Okuda l’intéresse encore moins que Naoki (oui, c’est possible). Il ne le dira jamais mais la cadette est un accident, il n’a jamais voulu qu’un seul enfant et il aurait préféré un garçon. Naoki, elle, est complètement folle de sa petite sœur. Elle se sent moins seule dans sa famille même si Okuda n’est qu’un bébé. Elle a envie d’être une grande sœur exemplaire, de bien s’occuper de sa sœur. Devant son père, elle doit rester droite, forte, parfaite. La moindre faille qu’elle montre, elle le regrette instantanément. Quand elle tient Okuda dans ses bras, elle se sent vraiment forte. Elle n’a que six ans mais elle sent que pour le bien de sa petite sœur, elle doit être à la hauteur. Son père lui reproche d’être trop distraite par le bébé, de ne plus se concentrer assez sur son apprentissage. Naoki prend peur. Et si elle ne suffisait pas à son père ? S’il se décidait de faire d’Okuda son héritière et qu’elle prenait sa place dans le dojo ? Naoki ne veut pas que son innocente petite sœur vive la même chose qu’elle. Les entraînements, les mots difficiles, les combats sans relâche,… Toutes ces choses qu’une petite fille ne devrait pas connaître. Elle veut protéger Okuda et pour la première fois, elle est décidée à se surpasser aux entraînements.

«Trop parfaite.»

Jusqu’à ses 12 ans, Naoki ne fait plus aucun pas de travers. Ses mains deviennent au fil du temps de véritables armes blanches, comme celles de son père. Elle n’est pas comme lui mais elle fait semblant. Elle a arboré une coupe plus garçonne et a mis de côté son enfance puis sa féminité naissante pour n’être qu’une élève sérieuse et appliquée. Les années passent et son père lui fait de moins en moins de critiques. Elle s’oublie mais son cœur reste indemne alors qu’elle voit sa petite sœur connaître une enfance plus normale que la sienne. Elle devient incollable sur un bon nombre d’arts martiaux : karaté, ju-jutsu, judo,… Toutes les pratiques sont importantes pour son père mais Naoki est surtout douée pour le karaté. Elle aura bientôt l’âge pour obtenir sa ceinture noire et elle s’imagine, elle espère qu’elle pourrait pour une fois rendre son père fier d’elle. Elle se prive de tout pendant six longues années et n’avait pas prévu qu’une chose chamboulerait tout : l’adolescence.

«Trop grosse.»

Alors qu’elle entre en secondaire, elle est fatiguée de subir un régime parfait, de ne jamais faire le moindre faux pas et de ne pas pouvoir vivre comme les autres filles de son âge. Triste de voir qu’elle s’est engagée dans un avenir dont elle ne pourrait pas s’échapper, elle se réconforte avec les seules choses qui ont toujours ravi son palais : les pâtisseries de sa mère. Elle n’a pas conscience que son corps change et qu’elle est soumise aux affres de l’adolescence. Alors qu’elle s’empiffre en cachette pour oublier son malheur et garder la face devant son entourage, elle n’a pas pensé aux conséquences et aux kilos qui, petit à petit, modifie sa silhouette si mince par le passé. Elle s’arrondit et attire les critiques de son père mais également de ses camarades de classe. Les insultes fusent et si elle pensait en avoir assez entendues auprès de son père, elle découvre que les jeunes de son âge peuvent être bien plus cruels. La culpabilité d’avoir craqué face au vice et les critiques au quotidien font qu’elle finit par détester son corps.

«Trop faible.»

Vomir. Se débarrasser de tout ce qu’elle pouvait avaler. Matin, midi, soir. Ça devient une habitude, une obsession. Perdre les kilos en trop pour redevenir parfaite et peu importe si sa santé y passe. Elle doit maigrir et elle y arrive même si c’est de la pire façon qui soit. Elle doit être plus mince, toujours plus mince. Ça ne suffit jamais. Le changement est encore plus drastique que sa prise de poids. Ses camarades cessent de l’ennuyer mais ça ne suffit pas. Elle ne perd pas du poids pour plaire aux autres mais pour se plaire à elle-même. Vomir pour tenter désespérément de se trouver belle, d’être à la hauteur de ses propres attentes. On lui a appris à mettre la barre trop haute et la voilà instable, loin de la femme forte qu’elle voulait devenir. Son corps s’affaiblit et elle n’est bientôt plus capable de s’entraîner ni d’aller à l’école. Elle a 14 ans et a la peau sur les os, refusant même de manger. Son père se plaint d’avoir une fille aussi pathétique, sa petite sœur ne comprend pas ce qui arrive et c’est finalement sa mère qui prend les choses en main contre l’avis du chef de la famille Maeda. Elle emmène sa fille à l’hôpital et semblable à un légume, Naoki n’a même pas la force de refuser.

«Trop influençable.»

Elle passe six mois à l’hôpital. Petit à petit, elle se remet et surtout, elle retrouve la forme. Elle reprend du poids bien que son corps reste très mince. Elle se rend compte à quel point elle a été influencée par son entourage. Ils ont réussi à changer la vision qu’elle avait d’elle-même. Elle s’en veut, elle n’a pas été à la hauteur, loin de là. Elle n’a pas été une grande sœur exemplaire comme elle le voulait. Quand elle sort de l’hôpital, elle reprend les cours mais également les entraînements. Elle veut prouver à son père qu’elle mérite encore d’être l’héritière et empêcher son père de se tourner vers la douce Okuda. Elle tente de trouver un équilibre, ne se privant pas comme elle le faisait par le passé sans exagérer non plus. À 15 ans, elle obtient la ceinture noire au karaté mais n’obtient pas la fierté de son père. Ce ne sera jamais assez. Alors qu’elle vit une adolescence plutôt solitaire, n’ayant pas de temps libre pour avoir des amis, elle se questionne sur son avenir. Elle sait ce que son père lui réserve mais elle sait aussi que ce n’est pas ce qu’elle veut.

«Trop stupide.»

Elle a 16 ans quand elle déménage à Storybrooke, aux États-Unis. Elle ne parle pas un mot d’anglais alors que les Maeda emménagent chez la grand-mère maternelle de Naoki et Okuda. Personne ne sait ce qui a causé l’incendie qui a réduit le dojo en cendres, brûlant des centaines d’années d’héritage. La famille japonaise s’est retrouvée sans maison du jour au lendemain et ils n’ont eu d’autres choix que de quitter le pays. Aux États-Unis, la vie est très différente qu’au Japon. Elle ne reconnaît pas l’homme qui l’a élevée puisqu’ayant tout perdu, il n’est devenu que l’ombre de lui-même. Il a trouvé un travail en tant que professeur d’arts martiaux dans un petit club bien moins prestigieux que son dojo mais ils ont désespérément besoin d’argent pour se remettre sur pieds. Si Okuda a pu reprendre ses études, Naoki n’a pas eu cette chance. Si sa mère n’est pas d’accord, son père reste le chef de la famille. Sa fille aînée est trop bête pour continuer ses études alors qu’elle a toujours eu de bonnes notes. Il décide qu’elle doit travailler pour aider ses parents et lui trouve un métier des plus dégradants, selon Naoki : mannequin.

«Trop belle.»

Contre toute attente, sa carrière de mannequin promet. Elle est grande, très mince et a un joli visage. C’est ce qu’on lui dit en tout cas mais elle n’aime pas ce qu’elle fait. Les contrats qu’elle décroche grâce à l’agent que son père lui a trouvé n’arrangent pas les choses. Elle doit poser pour des marques de sous-vêtements, dans des tenues où elle n’est pas du tout à l’aise mais c’est bien payé et apparemment, c’est tout ce qui compte. Elle a l’impression d’être une femme-objet sans même avoir la majorité. Elle n’a cependant pas le choix et ne sachant pas parler anglais, au début, elle est obligée d’accepter tout ce qu’on lui propose. Les années passent et le fait que Naoki devient une très belle femme ne fait que propulser sa popularité en tant que mannequin. Alors qu’elle approche de ses 20 ans, elle vit avec sa famille dans un appartement depuis que sa mère a ouvert une petite pâtisserie avec les économies familiales. Elle sait qu’elle pourrait travailler dans un autre domaine mais elle a peur du changement. Elle fait la femme forte, confiante, sûre de ses choix et fière de sa carrière mais elle rêve d’un autre travail, au fond. À force de poser pour tant de marques, elle prend conscience qu’elle est une belle femme et ça l’aide à être sûre d’elle. Son père le lui répète : la seule chose qu’elle a, c’est sa beauté. Elle ne trouvera pas de meilleur travail puisqu’elle n’a aucune autre qualité.

Enfin heureuse.

C’est à ses 20 ans qu’elle commence à poser pour des marques de sport. Ayant continué à faire des arts martiaux pour le plaisir, elle est heureuse de porter des vêtements qu’elle apprécie. Gagnant suffisamment, elle décide de quitter l’appartement familial. Sa mère est émue, fière, alors que son père prétend qu’elle les abandonne. Son salaire étant de plus en plus élevé comme elle pose pour des marques de plus en plus connues, elle choisit un loft suffisamment grand pour pouvoir accueillir sa sœur dès qu’elle le souhaite. C’est à ce moment que sa vie commence réellement. Elle découvre ce que c’est qu’avoir du vrai temps libre et d’être maîtresse de ses choix. Elle sort, goûte à l’alcool, apprend à danser toute la nuit. Elle va au cinéma pour la première fois et adore ça. C’est aussi l’âge où elle a ses premières expériences amoureuses mais comprend qu’elle n’a pas envie de s’engager et préfère les flirts sans complications. Elle se sent libre sans l’être vraiment. Elle rencontre alors Coraline, sa première vraie amie et elles deviennent très vite inséparables. À 23 ans, elle est engagée comme égérie pour la marque Nike. Elle profite du fait qu’elle vive seule pour s’adonner à sa passion secrète connue uniquement de sa meilleure amie. Elle se considère comme une femme trop libre et difficile pour être en couple mais au fond, il lui arrive souvent de flirter en espérant tomber sur la bonne personne.





   

Il était deux fois..




Hey, je m’appelle Leïla Hyûga mais on m'appelle aussi l'orpheline, Ijo par ma famille adoptive mais je préfère de loin Leïla. J'ai fêté mes 26 ans. Je viens du village de Suna Aujourd'hui je suis récemment devenir ninja de rang Jōnin et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime m'entraîner et donner le meilleur de moi-même. Je passe beaucoup de temps à améliorer mes capacités quand je ne suis pas en mission. Travailler sur mes capacités me permet de me vider la tête et je le fais très souvent seule, ayant appris à apprécier la solitude malgré mon caractère sociale. En dehors de l'utilisation de mon Byakugan et de mon Juken, j'ai toujours aimé avoir un large panel d'attaque. Ayant évidemment d'excellentes capacités en arts martiaux, je ne sors jamais sans kunai, poisons et... sucreries. Chacun ses pêchés mignons, le mien c'est le sucre. Si j'habite toujours à Konoha, je reste très attachée au village qui m'a vue grandir et j'y retourne très régulièrement. Ma vie tourne principalement autour de mon métier et je ne m'octroie que très peu de temps libre. J'ai cependant l'habitude, à chaque fin de mission, de quitter Konoha pour une nuit à la belle étoile. J'ai un côté aventurière et suis plus attachée à la nature qu'au village qui m'héberge. J'aime également être bien habillée. Ce n'est pas parce que j'ai un métier sportif que je ne peux pas travailler avec classe !. Je suis pansexuelle  et mon coeur appartient toujours à l'homme que j'ai rencontré à Storybrooke même si je ne sais pas qu'il est en réalité l'homme que je veux voir mort de mes mains.

Du point de vue caractère je suis une leadeuse née. Ayant été souvent rejetée et jugée, j'ai appris à aller au-delà du regard des autres et de m'imposer. Très ambitieuse, quand je veux quelque chose, je l'obtiens. On me reproche souvent mon côté têtu mais quand j'ai une idée derrière la tête, rien ne peux m'empêcher d'aller au bout de celle-ci. Je sais que ça m'a porté préjudice pour monter au rang de Jōnin mais têtue ne veut pas dire irréfléchie. Je ne dirais pas être particulièrement intelligente mais je ne suis pas irresponsable et je sais prendre les bonnes décisions pendant les missions les plus délicates. J'aurais pu m'effacer après tout ce que j'ai vécu mais mon caractère a toujours été fort. Je plais ou je ne plais pas mais il n'y a pas d'entre deux avec moi. Après le traumatisme que j'ai vécu enfant, j'ai grandi en portant dans mon coeur un brûlant désir de vengeance. Celui-ci aurait pu me transformer en une femme colérique mais je suis plutôt devenue déterminée et forte pour atteindre mon objectif : venger mes parents. Sociale mais pourtant rejetée par mes camarades, j'ai appris à embrasser la solitude et à en faire mon amie. Je ne suis pas une personne froide, au contraire, je suis chaleureuse, ouverte, souriante et particulièrement taquine. Je ne me laisse pas abattre, peu importe les épreuves que je dois traverser. Je ne me laisse plus faire désormais et quiconque tente de s'en prendre à moi le paye. Je n'ai pas ma langue dans ma poche mais s'il y a une chose que je ne supporte pas, c'est les mensonges. Charmeuse mais peu sérieuse en amour, mes relations n'ont jamais duré longtemps et ont fait de moi une briseuse de coeur.


L'histoire étant trop longue, elle est postée dans le poste en-dessous

Techniques maîtrisées par Leïla (autres que les arts martiaux)

Byakugan :
Cette technique est un dôjutsu héréditaire qu'elle tient de son père. Un dôjutsu est une aptitude ninja passant par les yeux de ceux-ci. Si Leïla a les yeux habituellement bleus foncés voir mauves, quand elle utilise le Byakugan, ils prennent une couleur lavande très claire et les veines de ses tempes ressortent remarquablement. Le Byakugan offre à Leïla la possibilité d'obtenir un champ visuel proche de 360°. Elle n'a qu'un angle mort se trouvant au niveau de sa nuque. Plus il est développé, plus ce dôjutsu permet de voir très loin. Leïla s'est entraînée suffisamment pour voir à 360° dans un périmètre de 25 km.
Le Byakugan permet également de voir le chakra circulant dans tous les Ninjas. Cette faculté offre la possibilité d'utiliser une technique de combat appelée le Jûken.

Jûken :
Appelé aussi "le poing souple", il n'est appris qu'aux membres du clan Hyûga. Le Jûken, utilisé avec le Byakugan, permet à Leïla de perturber le chakra de ses adversaires en y injectant son propre chakra. Cette technique permet de blesser gravement les organes vitaux d'un ennemi. En visant les points vitaux du chakra de son adversaire (visibles grâce au dôjutsu), Leïla peut empêcher ses adversaires d'utiliser leur chakra.

Nature du chakra :
Le chakra peut être utilisé pour obtenir des effets surnaturels liés aux natures élémentaires. Chaque Ninja a des affinités particulières avec certains éléments, le chakra permettant de créer des attaques utilisant ces éléments. Leïla contrôle particulièrement bien le Doton (la terre) et le Fûton (le vent). Elle parvient également à utiliser le Katon (le feu), le Suiton (l'eau) et le Raiton (la foudre) mais avec moins de précision. Depuis son retour à Konoha, elle est décidée à s'entraîner davantage à contrôler le Raiton.




TOI DERRIÈRE L'ECRAN
D'où nous viens-tu ? Belgique . Dis nous comment as-tu connu le forum ? 13ème compte   yeux   Qu'en penses-tu ?   coeur  coeur   Tu es un scénario pu un personnage inventé ? Inventé. Tu es un double compte ? Si oui qui ? Wanda, Scott, Kyliam, Neville, Chance, James, Manuel, Leif, Jeffrey, Larry, Newton, Flynn, Bellamy et Fred Tu as quelque chose à ajouter ?  ♥ .
LEÏLA

MANON

23 ANS


Dernière édition par Naoki Maeda le Jeu 12 Jan - 0:58, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Naoki Maeda alias Leïla Hyûga   Naoki Maeda alias Leïla Hyûga EmptyDim 8 Jan - 22:29

«Ici, notre fille grandira loin des exigences de mon clan.»

La petite Leïla naît dans le village caché du sable, Suna. Son père, Hikaru, fait partie de la branche principale du clan Hyûga, appelée Sôke. Comme tous les membres de sa famille, il a le Byakugan caractérisé par ses yeux bleus très clair. Il vivait à Konoha jusqu’à rencontrer la belle Suki Maeda venant de Suna. Autant dire qu’ils vivent un véritable coup de foudre l’un pour l’autre et que même si la famille Hyûga ne voyait pas leur relation d’un bon œil, rien n’a jamais réussi à les empêcher d’être ensemble. Ils décident de se marier quand Suki tombe enceinte et pour la première fois de l’histoire du clan, un Hyûga quitte le village pour vivre avec sa femme. Il savait que si Suki emménageait à Konoha, leur enfant vivrait sous la pression d’une grande famille. Il l’a connu. Il ne voulait pas ça pour sa descendance. Leïla naît en prenant le nom de sa mère, Maeda. Elle a les yeux inhabituellement foncés, d’un bleu tirant vers le mauve. Il est donc impossible de savoir si elle a le Byakugan. Ses parents la comblent d’amour, elle est leur petite princesse et tant qu’ils sont tous les trois, ils sont sûrs qu’ils peuvent être heureux peu importe où ils se trouvent.

«Mon papa m’a raconté que ta famille n’avait rien à faire ici. Tu ne seras jamais notre amie !»

Leïla a beau vivre entourée de l’amour, c’est une petite fille très solitaire et pour cause : elle est différente des autres. À Suna, les habitants ont les cheveux bruns, blonds voir rouges mais la petite Maeda a les cheveux d’un bleu aussi clair que le ciel. Tout le monde sait qui est son père et les enfants de son âge la rejettent, prétendant qu’elle n’a pas sa place à Suna. Pourtant, Leïla est un petit soleil, toujours souriante, elle ne demande qu’à avoir des amis et espère qu’elle s’en fera plus quand elle entrera dans l’académie pour devenir Ninja, comme ses parents qu’elle admire beaucoup. Elle a cinq ans quand, se promenant dans son village avec ses parents, elle remarque un garçon plus âgé qu’elle semblant tout aussi seul qu’elle. Ses parents s’arrêtant chez un marchand, la petite curieuse parvient à échapper à leur attention pour suivre le mystérieux garçon aux cheveux rouges. Elle le suit jusqu’à un atelier et ne réfléchit même pas avant d’entrer à sa suite…

«Quand je serais plus grande, je deviendrais ton épouse.»

Elle pénètre dans un atelier des plus étranges, remplis de marionnettes qui fascinent l’enfant. Elle fait alors la rencontre de Sasori. Il a huit ans de plus qu’elle et elle découvre qu’il fabrique des marionnettes. Elle se lie petit à petit d’amitié avec lui et si ses parents s’étonnent du fait qu’il ait huit de plus qu’elle, Suki connaît bien Chiyo, la grand-mère de l’adolescent. Ils laissent donc Leïla aller voir Sasori et la petite y va très souvent, voire trop. Elle n’a que cinq ans et elle n’a pas conscience si elle l’embête ou non. Elle craque pour le mystérieux marionnettiste et n’ayant déjà pas de filtres à l’époque, elle n’a pas peur de lui dire que quand ils en auront l’âge, elle deviendra sa femme. Elle qui est toujours pleine d’énergie et intenable, elle peut passer des heures confortablement installée sur les genoux de Sasori à le regarder travailler sur ses pantins de bois. Lui, au moins, ne la repousse pas simplement parce qu’elle est différente. Elle est triste pour lui, elle apprend à le connaître, elle connaît son histoire. Pendant deux ans, elle est comme son ombre et elle se voit très bien vivre toute sa vie à ses côtés. Après tout, elle a réussi à lui faire promettre qu’ils se marieront un jour. Ça peut sembler stupide mais pour Leïla, c’est tout à fait sérieux.

«Je suis désolé, petite, mais tu n’es pas ici pour voir tes parents. Ils ont disparu.»

Elle approche de ses 8 ans et elle ne peut pas être plus heureuse. Elle va pouvoir entrer à l’académie pour se former et s’entraîne déjà avec son père. Elle veut faire honneur à ses parents qui protègent le Kazekage. Ils ont un rôle important dans le village et elle espère que plus tard, elle aussi aura sa place à Suna, mariée avec le beau rouquin. Ce sont les rêves qu’elle nourrit jusqu’à cette fameuse journée. En quelques heures, la petite de huit ans perd tous ceux qu’elle aimait. Alors que comme toujours, elle se rend chez Sasori puisque ses parents travaillent, elle ne trouve personne chez lui. Elle décide de le chercher dans Suna quand des Ninja de rang Genin viennent la chercher. Elle les connaît, ils forment l’équipe que gère sa mère. Ils l’emmènent auprès des Commandants Jōnin et si elle s’attend à retrouver ses parents, on lui apprend que ceux-ci sont présumés morts. Le Kazekage a été attaqué et a disparu, emportant avec lui les Ninja qui étaient chargés de sa protection. Leïla s’effondre. Elle ne veut pas croire ce qu’on lui dit et pourtant, ses parents n’ont pas survécu à l’attaque. La présence d’un poison mortel et rapide a été trouvé sur le lieu du combat. Ce que personne ne sait, alors que la petite est gardée par Chiyo le temps de trouver une autre solution, c’est que c’est Sasori qui s’en est pris au Kazekage ainsi qu’aux parents Maeda. Leïla est privée de tout son entourage, de ceux sur qui elle comptait le plus et les seules personnes qui l’aimaient. C’est la seule période de sa vie où la gamine aux cheveux bleus perd son sourire et ce, pendant plusieurs semaines.

«Tu es une Hyûga, désormais. Tu dois être à la hauteur de ton clan.»

Suki n’ayant plus de famille dans le village caché du sable, Leïla est forcée de quitter Suna. Une équipe l’emmène auprès de la famille de son père et elle déménage à contre-cœur à Konoha. Elle fait alors la rencontre de son nouveau tuteur : Hiashi Hyûga. Il accepte de la prendre en charge si elle change de nom de famille et n'ayant pas son mot à dire, la petite Maeda devient Leïla Hyûga. Elle est accueillie dans la maison des Hyûga composée de la femme d’Hiashi ainsi que de leurs filles : Hinata, ayant son âge, et Hanabi, 2 ans. Elle essaye d’oublier son chagrin mais dans ce nouveau contexte, ce n'est pas simple. Si elle s’entend bien avec sa sœur d’adoption, Hinata, ce n’est pas le cas d’Hiashi et Hanabi. Les Hyûga la considèrent comme une honte à leur descendance. Elle n’a pas le même physique, se différenciant par ses cheveux d’une couleur unique et ses yeux si foncés. Ils ne l’ont acceptée par obligation mais pour eux, celle n’est qu’une erreur. Elle obtiendra ainsi le ravissant surnom « Ijo », signifiant anomalie en japonais. Hinata et sa mère sont les seules du clan qui continueront à l’appeler Leïla. Ses parents lui manquent tous les jours et si le chagrin ne suffisait pas, son cœur est brisé par la disparition de Sasori. Elle s'imagine le pire... Et si lui aussi avait tenté de protéger le Kazekage et qu'il y avait laissé la vie ? Terriblement attachée au marionnettiste, elle pense que seule la mort l'aurait éloigné d'elle. Il ne l'aurait jamais abandonnée... Elle ne conserve de Suna que le Kunai que ses parents lui ont offert pour son entrée à l'académie et un petit pantin de la taille d'une poupée lui ressemblant comme deux gouttes d'eau. Un précieux cadeau de Sasori qu'elle ne compte jamais quitter.

«Je suis différente, et alors ? Je n'en suis pas moins forte.»

Elle entre dans l'académie peu de temps après son arrivée à Konoha. Si elle voulait y être avec Hinata, celle-ci ne sera acceptée qu'un an plus tard. Sa sœur d'adoption est bien douée que Leïla et étrangement, c'est ce qui font qu'elles sont si proches. Hinata est aussi mal considérée dans sa propre famille à cause de sa faiblesse et elles se soutiennent dans leurs différences. Malgré cette amitié qui rassure Leïla dans sa nouvelle vie, elle a du mal à trouver ses marques dans son académie. Une Hyûga venue de Suna, orpheline et au physique si différent... Ça ne passe pas. Bientôt, tout le monde l'appelle "Ijo" à l'académie et elle soupçonne le cousin d'Hinata, Neji, d'avoir poussé tous ses camarades à la rejeter. Ils vont ça pour la blesser mais si, comme Hinata, elle pourrait se contenter de pleurer, Leïla veut être plus forte que ça. Elle s'entraîne plus dur que les autres et fait des progrès plus remarquables en apprenant à utiliser son Chakra. Elle découvre qu'elle possède elle aussi le Byakugan alors qu'un de ses camarades tente de l'attaquer par derrière. Ses yeux deviennent brusquement blanchâtres et les veines de ses tempes gonflent, lui permettant de voir quasi à 360° et de se défendre de l'attaque surprise. Le fait qu'elle possède cette faculté comme sa famille surprend tout le monde. Leïla, elle, est fière et sait qu'elle peut être à la hauteur de n'importe quel Hyûga. Enfant entêtée, elle est déterminée à prouver sa valeur. Ses parents ne sont plus là mais elle doit les rendre fiers, elle ne doit pas abandonner ses objectifs pour autant. Elle se renseigne alors sur les techniques de combat de sa famille et commence à apprendre le taijutsu. Cet art martial ne lui est pas complètement inconnu et elle y retrouve les techniques que son père lui a apprises. Leïla est surtout intriguée par le Jûken, technique spéciale liée au Byakugan et donc réservée à ceux de son sang. Elle n'a donc qu'une envie, maîtriser cette technique au plus vite.

«Vous avez réussi l'examen. Félicitation, vous êtes désormais au rang Genin»

C'est pendant son examen pour être promue Genin qu'elle démontre pour la première fois le Jûken. Faisant partie des meilleurs de sa promotion, Leïla commence à réellement prendre confiance en elle. Elle a 11 ans quand elle est assignée à une équipe avec deux autre Genin et un Jônin. Si elle est encore rejetée par la plupart des gens de son village, son équipe la respecte. Oji devient pour eux un surnom affectueux plutôt qu'une insulte et elle se sent intégrée pour la première fois. Elle qui, depuis son arrivée à Konoha, subit à nouveau la solitude sans en vouloir, elle n'est plus seule pour une fois. Genin très douée, la Jônin qui les supervise décide de lui faire passer l'examen Chûnin à 13 ans. Leïla aurait voulu que cela arrive plus tôt mais son instructrice voit en elle les blessures du deuil et le désir de vengeance qu'elle pourrait ne pas être capable de maîtriser. Elle profite alors des deux ans que les quatre ninjas passent ensemble pour apprendre à Leïla le contrôle. C'est à ce moment qu'elle se connecte à la nature. Depuis la perte de ses parents, elle se contente de se battre, encore et encore. Avec la Jônin, elle apprend à se recentrer sur elle, à se contrôler et ainsi atteindre un niveau plus élevé de maîtrise du Chakra. Ces moments qu'elle commence à passer seule à l'extérieur du village lui rappellent ceux qu'elle passait assise sur les genoux de l'adolescent qu'elle aimait. Elle se sent aussi apaisée et ça lui fait du bien de retrouver ces sensations. Vivant toujours dans une minuscule chambre chez le chef du clan Hyûga, elle a conservé précieusement son pantin qui veille sur son sommeil toutes les nuits, même celles qu'elle passe hors du camp. Le kunai que ses parents lui ont laissé lui sert d'arme de prédilection. Elle passe haut la main l'examen de Chûnin avec son équipe.

«Tu es encore jeune, Leïla. Reste une jeune fille au lieu d'essayer d'être une femme.»

L'équipe dans laquelle l'adolescente se trouve doit alors se séparer de leur instructrice pour voler de leurs propres ailes. Leïla, étant la meilleure et celle au caractère le plus enclin à ce rôle, est désignée comme cheffe de l’équipe de trois. Elle en est très fière mais c’est une grosse responsabilité et il ne faut pas oublier qu’elle n’a que 13 ans. La Jônin qui l’a formée pendant deux ans le lui rappelle : elle fera des erreurs et c’est normal. Il ne faut pas qu’elle oublie qu’elle reste une adolescente et qu’elle ne doit pas trop vite souhaiter endosser les responsabilités d’une femme. Elle a beau être une excellente leadeuse, elle s’oublie pour atteindre ses objectifs. Elle suit les conseils de son ancienne instructrice et profite de son temps libre pour traîner dans Konoha bien qu’elle n’apprécie pas spécialement ce village. Elle a d’ailleurs demandé, sans gêne aucune, à l’Hokage du village si elle pouvait avoir les missions qui la rapprochaient de Suna, rêvant de retourner dans le lieu où elle a grandi. C’est pendant son temps libre qu’elle se façonne sa propre tenue de Chûnin pour ne pas avoir à porter l’uniforme qu’elle trouve tout simplement moche. En plus du bandeau de Konoha toujours noué dans ses cheveux de plus en plus longs, elle se fait faire un kimono de combat. Elle adore se trouver belle même pour combattre et si on peut croire que c’est une lubie d’adolescente, elle fera toujours tout pour rester classe en toute circonstance. Elle se découvre également une passion pour les sucreries et prend l’habitude d’avoir toujours un stock de sucettes sur elle. C’est pendant ces temps libre qu’elle fait la rencontre de Naruto. Il sera son premier véritable petit ami sans que ça ne dure très longtemps. Leïla est très vite lassée et rompt. Cette courte romance fragilise sa relation avec sa sœur d’adoption, Hinata, depuis toujours amoureuse de Naruto. Leïla regrette d’ailleurs de s’être mise en couple avec Naruto.

«Ces marionnettes ont été faites par Akasuna no Sasori. Nous venons d’apprendre qu’il faisait partie.»

Elle est Chûnin depuis trois ans quand, enfin, l’Hokage envoie son équipe dans une mission contre l’Akatsuki. Il s’agit d’une organisation criminelle ayant pour but de dominer le monde et pour se faire, ils veulent récupérer les neuf Bijû (démons enfermés dans neuf personnes différentes) et ainsi ramener à la vie le plus puissant des démons qui les aiderait instaurer « la paix ». Constituée de mercenaires et de déserteurs (certains toujours anonymes), l’Akatsuki cherche donc à capturer toutes les personnes renfermant en elles un Bijû pour les tuer. Leïla, poussée par son côté aventurière et justicière, a évidemment envie de s’opposer à l’organisation. Elle a 16 ans quand avec son équipe, elle part en urgence pour aider la garde du Kazekage de Suna, possédant un Bijû et étant la cible parfaite de l’Akatsuki. Cependant, quand ils arrivent, il est trop tard : deux membres de l’organisation criminelle sont déjà passé et ont emporté le Kazekage en laissant derrière le frère de celui-ci, Kankurô, blessé par un poison mortel. Le retour de Leïla à Suna est très différent de ce qu’elle imaginait. L’équipe de Kakashi, composée de celui-ci, Naruto et Sakura, arrive pour soigner le frère du Kazekage. Leïla en profite pour analyser les marionnettes de Kankurô, complètement détruites après leur combat contre l’un des membres de l’Akatsuki. Un ninja de Suna vient alors à sa rencontre pour informer son équipe que Kankurô a repris connaissance et qu’il a pu identifier l’un des deux déserteurs : Sasori. Celui-ci a donné son identité à Kankurô en lui indiquant qu’il avait réalisé les marionnettes que son adversaire utilisait. Leïla tombe des nues. Elle n’avait plus entendu parler de Sasori depuis des années et voilà qu’il est son ennemi ? Elle prend congé et sort dans le village pour reprendre ses esprits. Elle repasse devant sa maison d’enfance, devant l’atelier où elle l’a rencontré et elle ne peut pas croire que l’adolescent qu’elle a connu soit devenu un meurtrier. Elle ne dort pas de la nuit, torturée par toutes ses questions. Quand elle revient auprès des équipes de Konoha, déterminée à retrouver le Kazekage avec eux pour pouvoir revoir Sasori, elle découvre qu’ils sont déjà partis et se dépêche d’aller à leur suite.

«Ce sont mes parents... Il a fait de mes parents ses marionnettes.»

Elle arrive au repère de l’Akatsuki mais il est trop tard. Le combat est déjà terminé et Sasori est mort, entouré des marionnettes de ses parents. Leïla s’effondre, ignorant la présence de Chiyo et Sakura pour se pencher sur le corps fait de bois de celui qu’elle pensait si bien connaître. Ses larmes coulent et elle pense son cœur brisé jusqu’à ce que Chiyo prenne la parole. « Il a tué le 3ème Kazekage. Leïla, c’est lui qui a tué tes parents. » Elle ne veut pas le croire, protestant que Sasori ne lui aurait jamais fait une chose pareille mais c’est là qu’elle les voit. Ses parents. Comme pour le 3ème Kazekage, Sasori a récupéré leurs corps pour en faire des marionnettes humaines. Elle se lève, s’éloignant de celui à qui elle s’était promis pour enfin retrouver les dépouilles de ses parents. Les larmes de tristesse se remplissent de haine et son désir de vengeance s’accompagne d’une frustration alors qu’elle est penchée sur les corps de ceux qui ne méritaient pas un sort aussi horrible. Dans ses sanglots, elle informe Chiyo que ce sont ses parents qu’il a transformé de la sorte. La colère fait trembler sa voix.
« -Il est mort, Leïla. Il a eu ce qu’il méritait. »
« -Il aurait dû mourir de mes mains. »

«Tu ne peux pas rester dans ta coquille pour toujours, Leïla.»

Pendant deux ans, Leïla refuse toute mission qui l’éloigne trop de Konoha. Elle sait que les combats contre l’Akatsuki continue mais elle n’a plus du tout envie d’en être. Elle choisit la sécurité, quitte la maison des Hyûga pour s’installer seule dans un minuscule logement qui lui convient parfaitement. Durant deux longues années, la jeune femme est torturée par des cauchemars et le jour, les regrets la hante. Elle n’est plus que l’ombre d’elle-même. Son instructrice avait raison à son sujet, caractère instable, Leïla plonge dans l’envie impossible de se venger. Elle se laisse emplir de désespoir dont personne n’arrive à la sortir, pas même ses coéquipiers. Réfugiée dans un mutisme qui la pousse à ne plus adresser la parole à qui que ce soit, elle a l’impression de perdre l’esprit. Elle revoit sans cesse les marionnettes de ses parents et celle de ce monstre auquel elle tenait malgré les années passées. Elle a longtemps essayé de détruire le pantin qu’il lui avait fait en vain. Si sa colère est bien ancrée en elle, l’attachement qu’elle a pour l’objet l’est encore plus. Elle s’oublie dans ses entraînements, s’enferme chez elle pour commencer à créer des poisons en rêvant de les voir consumer le corps de celui qu’elle aurait pu aimer comme un mari. Elle fête ses 18 ans complètement seule, repoussant tous ceux qui veulent la voir en dehors des missions. Ils ont beau lui dire qu’elle doit se reprendre et recommencer à vivre, elle fait la sourde oreille… Jusqu’à la Quatrième Grande Guerre.

«J’aurais ma vengeance. D’une façon ou d’une autre.»

Une alliance se crée entre les cinq grands pays pour s’opposer à l’Akatsuki. Si leur chef parvient à capturer les deux derniers Bijû, il n’y aura plus rien à faire pour l’arrêter et il faut à tout prix empêcher ça. Toutes les équipes sont appelées à se battre et Leïla n’y échappe pas. Elle est cependant séparée de son équipe pour rejoindre l’unité d’Attaque-Surprise dirigée par Kankurô. Ils survolent le territoire ennemi à l’aide d’oiseaux d’encre et atterrissent dans une forêt dense pour établir leur camp. Tous ont une tâche et celle de Leïla est d’utiliser son Byakugan pour surveiller les alentours. Elle remarque alors qu’un de leurs alliés approchent du camp mais il s’agit d’un piège. L’unité d’Attaque-Surprise se retrouve alors face à trois de leurs alliés qui les attaquent, semblant comme contrôlés. Leïla riposte mais se bat sans vouloir blesser ceux qui sont censés être de leur côté. Un membre de leur unité parvient à les libérer de leur mystérieuse emprise et Kankurô en profite pour sortir le véritable ennemi de sa cachette : Sasori. Leïla est sous le choc de le voir à nouveau en vie par elle-ne-sait-quelle-magie, son désir de vengeance s’amenuise sous l’effet de surprise. Laissant Kankurô gérer Sasori, elle s’attaque plutôt à Deidara, le coéquipier de Sasori mais reste en retrait de peur que son Nemesis ne la remarque. L’unité parvient à emprisonner les deux ressuscités dans les marionnettes de Kankurô. Leïla assiste alors à la discussion entre le chef de l’unité et celui qu’elle voulait tuer. Même s’il parvient à l’apaiser et à renvoyer Sasori à la mort, Leïla se pose un milliard de questions et intervient, ouvrant la marionnette pour découvrir qu’il est trop tard et que Sasori a disparu. À nouveau. S’en voulant d’avoir été faible et déstabilisée, elle s’isole un instant, se faisant la promesse que si l’occasion se présentait à nouveau, elle n’hésiterait pas. Elle n’a cependant pas le temps de retrouver ses esprits que l’unité est à nouveau attaquée et qu’elle doit retourner les aider. Face à de nombreux ennemis, l’unité est dépassée et doit se retirer. Ils n’en ont cependant pas le temps puisqu’un nuage de Poison les paralyse tous. Manquant presque de mourir, ils sont sauvé par des samouraïs. Leïla ayant inconsciemment inhalé beaucoup de poison, elle est très affaiblie et ne peut pas participer à la fin de la guerre.

«Je t’avais dit que tu m’épouserais.»

Comme tous les Ninjas en dehors de Sakura, Naruto, Sasuke et Kashi, elle est affectée par le Tsukuyomi Infini. Celui-ci est une technique d’illusions très puissante qui piège le monde entier dans un rêve pour leur prendre leur chakra sans s’en rendre compte. Leïla n’a jamais accepté de dire ce qui s’est réellement passé dans son illusion parce qu’elle en a honte. Elle s’est retrouvée à Suna, dans un superbe kimono de mariée, au bras de Sasori… à leur mariage. Étaient également présents Hikaru, Suki et Chiyo. C’était son rêve de petite fille qui devenait réalité et pendant cette illusion, elle se sentait heureuse. Si vous lui demandez ce qu’elle a vécu, elle vous dira toujours qu’elle s’est vue parvenir à se venger et à tuer Sasori. C’est grâce à Naruto et Sasuke que tous les Ninjas sont libérés de l’illusion.

«Tu resteras toujours à mes côtés, mini-moi, pour me rappeler de ne pas être faible, pour me rappeler la vengeance que je n’aurais peut-être jamais, pour me rappeler qui je suis.»

Leïla met du temps à se remettre de la Quatrième Guerre mais mentalement, elle est déterminée à se reprendre et à ne plus se renfermer sur elle-même. Elle a tant travaillé pour arriver à son niveau et ce serait tellement stupide de tout gâcher. Une fois qu’elle est à nouveau sur pieds, elle reprend son poste en tant que cheffe de son équipe. Elle repense aux paroles de son instructrice : elle ne doit pas laisser son désir de vengeance la submerger. Son objectif est de devenir Jônin et elle y arrivera d’une manière où d’une autre. Ses techniques se sont améliorées, elle est désormais également spécialisée dans les poisons mais sait qu’elle peut faire mieux. Pendant six ans, elle essaye de convaincre les Commandants Jônin et l’Hokage qu’elle est à la hauteur pour être promue au rang plus élevé en vain. Femme au fort caractère, elle est parfois impulsive pendant les missions sans pourtant les faire échouer. Elle trouve donc injuste d’être jugée alors que son équipe a toujours des rapports convaincants mais têtue, elle n’abandonne pas son idée. Contre toute attente, elle possède toujours le pantin fabriqué par Sasori il y a des années. Si c’est un souvenir douloureux, elle essaye d’en tirer sa force et il lui arrive même de discuter avec sa mini-elle. Elle prend l’habitude de se recentrer sur elle-même après chaque mission en partant une nuit dans la nature loin de Konoha et c’est pendant une de ces nuits, alors qu’elle a 24 ans, que la malédiction l’emporte à Storybrooke…

«Félicitation, Leïla, tu es désormais un ninja de rang Jônin. C’est ce que tu veux depuis longtemps mais tu le mérites enfin.»

Alors qu’elle revient de Storybrooke, elle retrouve ses marques dans son monde et est de manière inattendue promue. Elle est heureuse mais son cœur n’y est pas. Elle pense souvent à Sansei, elle qui n’avait jamais été vraiment amoureuse si on ne compte pas son attachement pour Sasori quand elle était enfant. Elle ne sait pas s’il est présent dans son monde, si elle le reverra mais elle en meurt d’envie. Sa vie n’est plus pareille, elle sent qu’il lui manque la présence de celui qu’elle aime, elle qui était pourtant déterminée à être une femme forte et célibataire. À présent Jônin, elle doit être à la hauteur. Elle en profite pour se refaire une tenue de combat allant avec son nouveau bandeau noir coiffant ses cheveux extrêmement longs. Devenue une femme grande mais pulpeuse au vu des confiseries qu’elle apprécie toujours autant, elle aime se mettre en valeur, assumant chacune de ses courbes. Désormais, quand elle profite de ses jours de congé pour s’aventurer dans la nature, elle cherche également la moindre trace qui pourrait indiquer que Sansei existe dans son monde.


Dernière édition par Naoki Maeda le Jeu 12 Jan - 0:29, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Naoki Maeda alias Leïla Hyûga   Naoki Maeda alias Leïla Hyûga EmptyDim 8 Jan - 22:30

T’es beeeeelle bounce

Rebienvenue a toi ma femme d’une autre vie love
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MessageSujet: Re: Naoki Maeda alias Leïla Hyûga   Naoki Maeda alias Leïla Hyûga EmptyLun 9 Jan - 6:58

re-bienvenue parmi nous !
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Gael L. Bane

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Hey, je m’appelle Gael Lenny Bane mais on m'appelle aussi Gael c’est assez court . J'ai fêté mes 25 ans . Je viens de Londres où je suis né le 12 septembre1997 . Aujourd'hui je suis agent de banque et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime les films et le sport . Je suis homosexuel, je commence tout juste à l'assumer  et j'ai largué ma fiancée devant l'autel parce que je suis amoureux de Westley .
Je suis arrivé le : 09/09/2022 On dit souvent que je ressemble à : Matthew Daddario ou encore à : Alec Lightwood J'ai posté : 741 messages qui m'ont rapporté : 3670 Dans le monde imaginaire :
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Hey, je m’appelle Alexander Gideon Lightwood-Bane mais on m'appelle aussi Alec . J'ai fêté mes 27 ans . Je viens de Idris Aujourd'hui je suis chasseur d’ombres et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime la chasse, l’adrénaline et Magnus . Je suis homosexuel  et marié à Magnus .
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MessageSujet: Re: Naoki Maeda alias Leïla Hyûga   Naoki Maeda alias Leïla Hyûga EmptyLun 9 Jan - 11:11

Re bienvenue à toi Smile

_________________



And when it's time for you to die
Wanna throw you from the roof Loving you to death The pressure's rising I won't make it through tonight This love immortal is an assassin's delight Just blow me up or run me down

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MessageSujet: Re: Naoki Maeda alias Leïla Hyûga   Naoki Maeda alias Leïla Hyûga EmptyLun 9 Jan - 15:16

Chériiiiiie je suis rentréééééé yeux
court se cacher dans une marionnette

ON NE ME TUE PAS ENCORE S'IL TE PLAIT coeur coeur
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Mary Margaret Blanchard

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Blanche Neige Charmant

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Je m'appelle Mary-Margaret Blanchard. J'ai 35ans. Je suis enseigante a l'école de Storybook. Je donne le livre en Herny de conte de fée. Je fais du bénévolat a l'hopital. Je vais lire le conte de blanche neige et Joh doe. Il se réveille. Je réalise appelle David. Nous avons relation secret.
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Je m'appelle Blanche Neige, J'ai 37 ans. Je suis la femme de Prince Charmant. Je suis une princesse. Je suis la mère d'emma. Je suis aussi grand-maman deux petits gars Herny et ?. Je suis enceinte pour la deuxième fois. Je suis vraiment plus angoissé par cette grosse. Je suis enceinte de 3mois.
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MessageSujet: Re: Naoki Maeda alias Leïla Hyûga   Naoki Maeda alias Leïla Hyûga EmptyLun 9 Jan - 20:28

Bienvenue
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J'ai fêté mes 30 ans . Je viens de Portland où je suis né le 28 avril . Aujourd'hui je suis Auto entrepreneur et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime Pas grand chose en realité, je rale apres casiment tout . Je suis Bisexuel et célibataire .
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J'ai fêté mes 400, environs du moins . Je viens de Jakarta, en indonesie Aujourd'hui je suis Grand sorcier et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime Alec et ma magie . Je suis Bisexuel et marié a l'homme de ma vie .
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MessageSujet: Re: Naoki Maeda alias Leïla Hyûga   Naoki Maeda alias Leïla Hyûga EmptyMar 10 Jan - 9:34

re coucou par ici toi ^^ Bon courage avec ta fiche **
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Naoki Maeda alias Leïla Hyûga 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f30322d41434873723865653749673d3d2d3933373436343836392e313632623862363338623736636564653538333830303939383031332e676966Naoki Maeda alias Leïla Hyûga 6c006c362fde84e32bc038576d7cae48
Naoki Maeda alias Leïla Hyûga Qzlk
J'ai fêté mes 30 ans . Je viens de Portland où je suis né le 28 avril . Aujourd'hui je suis Auto entrepreneur et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime Pas grand chose en realité, je rale apres casiment tout . Je suis Bisexuel et célibataire .
Je suis arrivé le : 09/09/2022 On dit souvent que je ressemble à : Harry Shum Jr ou encore à : Magnus Bane J'ai posté : 597 messages qui m'ont rapporté : 1193 Dans le monde imaginaire :
Naoki Maeda alias Leïla Hyûga Magnus-gifs-magnus-bane-40463738-268-160Naoki Maeda alias Leïla Hyûga Original
Naoki Maeda alias Leïla Hyûga Qzlk
J'ai fêté mes 400, environs du moins . Je viens de Jakarta, en indonesie Aujourd'hui je suis Grand sorcier et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime Alec et ma magie . Je suis Bisexuel et marié a l'homme de ma vie .
Voici la liste de mes rps : dispo / pas dispo. Vous pouvez mettre la liste de vos rps ici.
Coté coeur :
Naoki Maeda alias Leïla Hyûga Malec-magnusbaneNaoki Maeda alias Leïla Hyûga 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f4e6e336535782d697546653345673d3d2d3234382e313464626539353532313531613933613332383236353336343035352e676966
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MessageSujet: Re: Naoki Maeda alias Leïla Hyûga   Naoki Maeda alias Leïla Hyûga EmptyJeu 12 Jan - 23:55

Félicitations


Re bienvenue à toi Smile Bravo mon petit chat, tu fais a présent partie de la team de once upon a time. Puisque tu viens de finir ta fiche et que tu as été validé par le staff.

A présent, tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité. Tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis, juste ici. S'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer dans ta vie et te redonner le sourire.


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