Intrigue - le bal de noël

C’est…la…fête. C’est la fête ! L’énergie et la joie des enfants de l’école m’avait envahie. Je nous avait pris un calendrier de l’avent à Ciara et à moi. Je comptait bien lui faire profiter de cette petite flamme qui brûlait avec ardeur. Au début du mois, j’avais récupérer des décorations de Nöel faites ou récupérer avec les enfants. Dans la rue, les gens souriaient, ils étaient plus joyeux et se rassemblaient. Dans le journal, il y eu l’annonce du bal de Nöel de la ville. J’avais demander à Ciara si elle voulait y venir avec moi. Mais n’accepta pas cette fois ci. J’avais attendu quelques jours pour lui redemander. Je n’avais pas renoncer et lui présenta mes arguments pour la convaincre.  de ce joindre à moi. J’avais même sorti le grand jeu une fois. Avec mes pancartes dans les mains, j’étais sorti de l’appartement et avait sonner à la porte pour qu’elle vienne m’ouvrir. Là sur les panneaux, je lui avait rejouer la scène de Love Actually à ma manière pour lui demander d’être ma cavalière pour le bal.

Le matin du bal, j’étais parti à la recherche d’un cadeau pour elle. C’était son premier vrai Noël depuis un moment en y réfléchissant. Je voulais qu’elle n’oublie pas celui là. J’avais finalement trouver un collier avec un pendentif en forme d’étoile. J’espérais vraiment lui faire plaisir. Il allait aussi que je trouve un costume à mettre. Ma recherche dura toute la matinée. Faire les magasins ce n’était pas vraiment mon fort, j’étais souvent indécis sur ce que je voulais porter.

L’heure tournait et le soir arriva plus rapidement que prévus. Je mis mon costume. Un gilet de couleur sable avec un manteau imprimé blanc et un pantalon…et un nœud papillon. Ciara était partie se changer et je l’attendais nerveusement. Pourquoi d’ailleurs j’étais si stressé tout de suite?

Je la vis enfin arrivée. Elle était magnifique dans sa robe Je restais un moment silencieux, avant de réaliser que je n’avais rien dit depuis plusieurs minutes. Je devins un peut rouge, eu un peut chaud avant de me reprendre.

- Tu…Tu es magnifique. Cette robe te va vraiment bien. J’ai quelque chose pour toi.

Je sorti de ma poche intérieur une petite boîte avec le collier. Je lui tendit timidement.

- C’est pour toi. J’éspère qu’il va te plaire.

Je ne travaille pas depuis plusieurs jours, j’avais posé congé et bien que j’adore mon métier, cela me fait du bien de me poser un peu à faire autre chose que guide équestre. Quelques unes de mes amies parlaient beaucoup du bal de noël et m’ont incité à venir, selon elle j’étais une célibataire endurci. je ne vais pas le nier, je n’ai personne et je n’ai jamais vraiment cherché à me caser en me disant souvent que cela viendrait tout seul. Cependant c’est mal connaître certaines de mes amies. Après qu’elles aient chacune mis de l’argent dans ma future tenue, elles ont débarqué chez moi. Alors elles sont cinq contre moi Il était difficile de les faire changer d’avis et donc je n’ai plus vraiment eu le choi. J’ai enfilé la robe qui m’était un peu osé à mon goût enfin parfois, je changerais bien mes copines contres des gars, histoire de ne pas vivre ce que je vis actuellement.
Après avoir été pomponnés par leur soin, nous arrivons au bal. Elles avaient pour la plupart un copain ou été marié, j’avais l’impression que j’allais devoir tenir la chandelle. Enfin, je fil boire un verre de champagne mais pour essayer d’être moins mal à l’aise, je la vide d’un trait. Mauvaise idée, peut être mais tant pis.
A peine j’avais dit ouf que une de mes amies s'approchait et me dit qu’un semble être venu seul, je regarde en sa direction, on peut difficilement dire qu’il était moche, il avait un joli visage mais je hausse les épaules.

- Oui et quoi ? Je ne suis pas douée avec les hommes et puis je suis très bien toute seule.

Bien sûr elle n' en reste pas là et au moment où il était à ma porte me voilà poussé en sa direction. je manque de le percuter de plein fouet à cause de ses conneries, mon visage à quelques centimètres de son torse, il doit faire pas mal de sport car bien le costume, je pouvais vite comprendre qu’il était bien musclé. J’espère qu’il était sympa, vu la situation dans laquelle mon amie me mettait, il manquerait plus qu’un genre de Hulk se déchaîne sur moi. Gêner, je fais un petit sourire forcé.

- Veuillez m’excuser, ce n’est pas ma faute… On m’a bousculé.