Perdu entre imaginaire et réalité - Feat Keylia

Je suis arrivé le : 27/04/2020

Perdu entre imaginaire et réalité - Feat Keylia

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J'en avais assez de tourner en rond dans mon manoir. J’étais en crise psychotique, cela m’arrive de temps en temps et généralement cela me vaut un aller retour à l’hôpital. Étant donné que je ne voulais pas a nouveau être enfermé j'allais tout faire pour ne pas quitter le manoir. J'eus même l’idée de m’assommer à coup se somnifère puisqu’il le fallait. J’en avais pris de quoi assommer un cheval en me disant que ça me tiendrait toute la nuit, mais en réalité cela ne m'a tenu que trois heures. Je me suis réveillé après ça dans un état encore plus préoccupant que précédemment. Mon esprit était littéralement bloqué entre deux mondes pour le coup. J’étais à Storybrooke, je le savais et pourtant j'avais l’impression d’être au pays des merveilles au vue des décors que mon cerveau percevait. J’avais l'impression d’être dans ma petite cabane en bois. J’eus l’imprudence de sortir ce que je n’aurais pas du faire. Je marchais sur un sentier entre des champignons géants, de la végétation dense et immense propre au pays des merveilles. Je ne me rendais absolument pas compte de ce qui se passait autour de moi. Je passais à côté de personnes sans les voir et je m’aventurais même sur la route sans m’en rendre compte. Une voiture allait me percuté, mais quelqu’un ou quelque chose allait savoir ma poussé violement, me faisait tomber par terre avec elle. Je mis un petit instant à revenir à moi. J’avais affreusement mal à la tête. Les champignons avaient disparus. Il était assez tard mais de nombreux habitants étaient entrain de regarder la scène et la commentait. Je tournais la tête vers la personne qui m’avait sauvé la vie et je la reconnu tout de suite. C’était la jolie infirmière qui s’occupait de moi a l’hôpital. Une des rare qui essayait de me parler sans que j’ai l’impression d’être un fou furieux. « vous savez ce qu’ils sont entrain de se dire ? Vous auriez dû laisser cette voiture m’écrasé » Je n’en doutais même pas un instant ils pensent tous que je suis fou alors que c’est eux les fou quand on y pense ils n’ont même pas leurs propres souvenirs. Je suivis des yeux un chat violet a six pattes, signe que j’étais pas totalement redescendu de mon trip. « Merci. » Je ne comptais pas lui faire perdre plus de temps valait mieux que je rentre chez-moi enfin que j’essaie du moins.

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Comme souvent, j avais travailler ce jour, C était un peu difficile en ce moment, nous avions eu des crises assez violentes, notamment aujourd'hui, je ne sais pas si c est la période où un élément particulier qui declanche cela mais c est la chahut, disons qu'on a pas le temps de s ennuyer au moins. J étais assez heureuse de finir enfin le travail, même si j y passais les trois quart de mon temps, disons que j essayais d éviter de rentrer chez moi pour trouver un appartement totalement vide, ça avais tendance à me déprimer, je n aimais pas vraiment la solitude, j avais toujours l impression qu'il me manquait quelque chose dans les moments là. Je marchais dans les rues pour me détendre et évacuer le stress de la journée, je comptais traîner au maximum avant de rentrer dormir. Alors que je marchais dans les rues je pu remarquer au loin un homme, un de nos patients que nous avions laisser sortir, il ne semblait pas aller bien alors je voulu l approcher de lui pour voir comment il aller. Heureusement que je m étais rapprocher car il ava'ca sur la route alors qu'une voiture était en train de passer, j eut le temps de me précipiter et de le pousser, chutant en même temps. Je me retrouver presque allonger sur lui à terre, le regardant quelque seconde avant de me relever un peu gênée par la proximité soudaine. Je venais m accroupir à côté pour vérifier qu'il allais bien

- peut importe ce que chacun dit, vous ne méritez pas de finir sous une voiture Mr. Morgan

je voulais vérifier qu'il allais bien avant de l aider à se relever, c'était un de nos patient que nous avions du laisser sortir mais je restais inquiète, je comptais lui rendre visite, comme à chaque fois qu'il sortais d ailleurs. Je continuais à m occuper un peu de lui même en dehors de l hôpital

- vous n avez rien de casser ? Regarder moi juste deux secondes, combien voyez vous de doigts ?

je lui en montrais deux pour vérifier que sa vision n était pas troubler avant de lui tendre la main pour se relever, jetant un regard aux habitants qui trouvaient intéressant de nous fixer. Je ne comprendrait jamais cette manie, pourquoi ne pas aider plutôt ?

- je vais vous raccompagner chez vous pour être sûre que vous allez bien. Vous seriez capable de me dire ce qu'il s ets passer pour que vous arriviez ici ?

ma voix était douce, j essayais d être rassurante alors je souriais et parlais doucement. Je restais proche d elui au cas où il est in vertige ou quoi que ce soit du a la chute

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C’est difficile de perdre le controle de soi même, du moins de son propre esprit. Savoir que l’on perd pied, qu’on perd son encrage à la réalité. J'avais essayé de le neutraliser en essayant de m'endormir, mais cela n’avait fait qu’accentuer les effets au réveil me perdant dans un état second entre réalité et imaginaire. J’avais l’impression d’être de retour aux pays des merveilles et ce n’était pas franchement une bonne nouvelle. J’y avais été enfermé un long moment avant d’être envoyé ici, passer mes journées à essayer de reproduire mon chapeau. Finalement je continuais à le faire ici même si le peu de magie dans ce monde ne m'aide absolument pas. Je n’arrivais pas à rentrer chez moi, j’étais coincé. J’étais comme dans une crise de somnambulisme ne me rendait absolument pas compte de mon environnement. J’étais sortit de mon manoir et j’avais failli être renversé par une voiture. Heureusement une jeune femme m’avait sauvé, elle avait atterri presque sur moi cela dit. Je la connaissais donc je n’en fis pas toute une histoire, je ne pouvais que la remercier. Apparemment c’était un beau spectacle pour les gens autour. “Peut importe ce que chacun dit, vous ne méritez pas de finir sous une voiture Mr. Morgan.” Je la regardais, je ne savais pas comment elle faisait pour penser ça. Elle avait vu le pire de moi, à l'hôpital quand elle prenait soin de moi. “Peut-être, peut-être pas..” Je souffrais trop et si je n’avais pas ma fille grâce les choses auraient été différentes. Je ne pouvais pas l’avoir prêt de moi et je pense que c’est ce qui me rendait le plus dingue dans cette histoire. “Vous n'avez rien de cassé ? Regarder moi juste deux secondes, combien voyez vous de doigts ?” Je fronçais légèrement les sourcils, je n’avais pas besoin d’être examiné, j’avais un peu mal au dos, mais ça s'arrête là. “Je vais bien.. J’en vois cinq.” Je m’étais relevé avec son aide. J’avais encore des bribes du pays des merveilles, mais j’étais sortis de mon état psychotique, certainement dû au choc. J’allais donc rentré chez moi, je savais que si je restais dehors dans mon état je finirais par faire ou dire une connerie et je retournerais à l'hôpital. “Je vais vous raccompagner chez vous pour être sûre que vous allez bien. Vous seriez capable de me dire ce qu'il s'est passer pour que vous arriviez ici ?” Si je lui disais la vérité elle allait à nouveau me faire enfermer.. Je l’observais quelques instants me demandant si le ciel était bleu à cause de la couleur ou si on avait donné la couleur vis à vis du ciel.. Bref. Je revins sur terre. “C’est inutile je vous assure, je vais bien..” Je ne marchais pas tout à fait droit, mais j’étais capable de retrouver mon chemin du moins je pense. “Vous comptez me faire enfermer de nouveau ?” J’avais besoin d’en être sur avant de lui parler.

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j aimais mon travail même si parfois C était un peu difficile, il faut dire que l'on s attaché à nos patient souvent, on partage leur vie, leurs difficultés et on les accompagnent alors forcément quand certain partent on est heureux car ils s en sortent mais en même temps on n à de cesse de s inquiéter et de se demander si vraiment ils vont bien, C est d ailleurs le cas pour un patient sortit il y a peu. Je comptais lui rendre visite ces jours ci mais le destin en avait décidé autrement puisque ce soit en rentrant du travail je l avais croiser dans la rue, seul détail inopportun il semblait en pleine crise psychotique et avais failli se faire renverser, je l avais attraper de justesse, tombant tout juste à ses côtés. Je le regardais un peu gênée mais surtout aggacee des comportements alentour, entre les regards et les rires j aurais bien hurler les pensées à tout ces idiots mais j avais autre chose à faire... Vérifier que le jeune homme allait bien. Il me donnait les pensées de ces dites personnes et je soupirais

- j en suis certaine moi, vous méritez d être heureux tout autant qu un autre. Votre vie ne vaut pas moins que celle de quiconque

je vérifiais rapidement qu'il n est pas de blessure apparente, je m occuperai du reste un me fois qu'il s'était a l abri. Je lui demandais le nombre de doigts visible et ça réponse 'e me convenais pas vraiment je dois dire. Je l aidais tout de même à se lever tout en le prevena' t que j allais le racompagner chez lui, proposition qu il declina évidement

- vous venez de vous faire renversez, vous ne rentree pas seul, je ne vous laisse pas le choix de toute facon

je ne risquais pas de changer d avis pour le coup, quand il me demandais si je comptais le faire à nouveau enfermer mon cœur se serra, je sais que je le devrais mais pour une raison qui m étais inconnu je n en avais pas envie, j avais l impression que cela n allais en rien l aider de le laisser enfermer

- Non monsieur Morgan, je ne compte pas vous faire enfermer à nouveau, par contre il vas falloir le faire confiance pour que je puisse vous aidez vous savez ?

je le raccompagnais donc, accord ou non, jusqu'à chez lui, si il fallais que je reste là nuit pour m assurer de son bien etre j étais prête à le faire.

- dites moi, que c'est il passer ? Je vous promet que ça restera entre nous, je veux juste vous aider et je pense que l hôpital ne vous aides pas alors je compte éviter votre retour mais comme je le disais vous devez avoir confiance en moi

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J’avais manqué de peu de me faire renversé par une voiture. Heureusement une personne m’avait poussé et on y avait réchappé ensemble même si j’étais certain que les personnes présentes auraient été fêter ma mort ce soir si j’étais mort évidemment. Je revenais doucement de ma crise, mais tout n’était pas encore clair quand mon cerveau. “j’en suis certaine moi, vous méritez d être heureux tout autant qu un autre. Votre vie ne vaut pas moins que celle de quiconque.” Je ris doucement. “Je ne suis rien dans votre monde. Dans le mien je suis quelqu’un de puissant, capable de passer de royaume en royaume juste en faisant tourner mon chapeau. Ici je suis qu’un gars perdu entre deux réalité qui s’accroche à des chapeaux, mais y a pas de magie dans ce monde ! Je suis coincé.” Sans parler de ma fille qui n’a aucun souvenirs de moi et qui vit avec des étrangers sous mon nez. Elle voulait m’accompagner jusqu’à chez moi, elle n’en était pas obligé j’allais retrouver le chemin même si sur la route je risquais de m’arrêter pour parler à une chenille géante.. “vous venez de vous faire renversez, vous ne rentre pas seul, je ne vous laisse pas le choix de toute façon.” J’avais l’impression que de toute façon elle ne changerait pas d’avis. “Soit.” Cela dit elle me côtoyait à l'hôpital et je craignais qu’elle ne m’enferme à nouveau. J’étais peut-être seul dans mon manoir, mais au moins j’avais plus de place que dans la minuscule chambre de l'hôpital. “Non monsieur Morgan, je ne compte pas vous faire enfermer à nouveau, par contre il vas falloir me faire confiance pour que je puisse vous aidez vous savez ?” J’écoutais à moitié ce qu’elle me disait mon regard étant fixé sur ce que je pensais voir sur son épaule. “Ne bougez pas. Au moindres gestes brusques ce singe papillon vous mordrez fatalement.. Je vais y allé en douceur..” J’attrapais doucement le petit singe et le posais par terre. “Va embêter quelqu’un d’autre d’accord ?.” Elle ne le voyait pas, moi oui, il semblait bien réel. J’étais pas sur que ça m’aider sur le fait de ne pas me faire enfermer de nouveau, mais peu importe j’étais pas en mesure de dénoué mes réalités pour le moment. Je repris la marche pour mon manoir. “Je vous fais confiance.” C’était bien une des seules, elle avait toujours été gentille avec moi. “Dites moi, que c'est il passer ? Je vous promet que ça restera entre nous, je veux juste vous aider et je pense que l'hôpital ne vous aides pas alors je compte éviter votre retour mais comme je le disais vous devez avoir confiance en moi.” Je me stoppais et la regardais quelques secondes. Elle avait une jolie robe rose pleine de dentelles à présent, ça lui allait plutôt bien je dois dire. “Je ne me sentais pas très bien en début de soirée, je sentais la crise venir alors pour ne blesser personne ni me blesser moi j’ai pris quelques somnifères.. Ca a fonctionné un temps jusqu’à ce que je me réveille quelques heures plus tard. Je me suis retrouvais dans une réalité entre mêlé de nos deux mondes. J’avais l’impression d’être au pays des merveilles sans pour autant avoir quitter Storybrooke. Je suivais un lapin blanc quand vous m’avez pousser.” J’avais clairement un discours sans queue ni tête, du moins pour les gens n’ayant pas de souvenirs comme elle. C’était une malédiction de se souvenirs de tout.

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Avec le métier que je faisais j étais assez habitué à croiser divers personnage plus ou moins douteux au yeux des habitants de cette ville. J étais du genre à avoir foi en chacun d eux et à vouloir les aider, personne ne méritais de finir sous les roues d une voiture comme semblait le dire Jefferson, je ne l avais pas laisser se faire écraser et je recommencerai si il le fallais. Je le laissais doucement revenir à lui, restant à ses côtés pour l aider autant que nécessaire

- eh bien apprenez à devenir quelqu'un dans notre monde aussi, je ne suis pas de celle qui croit réellement en la magie mais après tout pourquoi ne vivrions nous pas tous dans des mondes différents, ce n est qu une question de conviction n est ce pas ? Choisissez la réalité qui vous est le plus favorable aujourd'hui et apprenez à y rester

je ne dirai pas qu'il est fou, il a juste de l imagination et vis probablement un traumatisme trop important pour vouloir rester dans notre monde. Je disais donc que j allais le ramener chez lui, il venais quand même de se faire renverser, ce n étais pas rien. Il me demandais si je comptais à nouveau le faire enfermer. Évidement que non je n allais pas faire ça. Il me parlais d un singe papillon sur mon épaule, bon de toute façon si il est en plein délire il est important de ne pas casser ses visions, simplement de ne pas l encourager

- dites moi, à quoi ressemble t il, je ne le vois pas et n en ai jamais vu, décrivez le moi

nous prenions donc la marche, quand il dit me faire confiance je lui souriais, ça me faisais plaisir pour le coup

- je vous remercie monsieur Morgan, je ne trahirais pas cette confiance et ferai tout pour vous aider

c était vrai encore une fois, je lui demandais ce qu'il s était passer, j avoue l être perdu dans son discours, ça n avais aucun sens. J allais lui poser des questions pour démêler un peu cela

- quand vous me parler du pays des merveilles, vous me parler du conte ? Celui avec la petite fille qui grandi et ratreci avec un gâteau ? Je crois l'avoir lu enfant. Le lapin blanc vous savez ou il allait ou pas ?

je n avais pas l habitude de poser ce genre de question en tout cas, enfin si mais pas en dehors de l hôpital, de plus je n étais qu infirmière alors je ne pouvais pas faire grand chose, je ne faisais bien souvent que donner les traitement et contenir les crises jusqu'à l arrive des medecins

- est ce que vous accepteriez de vous asseoir et de me laisser vérifier que vous n avez aucune blessure ? Vous pouvez continuer de me conter votre récit si vous le souhaitez

j étais du genre patiente et gentille, je n étais pas la pour l enfoncer, le détruire lui ou sa réalité, juste pour l aider, de plus j étais attacher à ce jeune homme. Je sais que nous ne devrions pas mais il a quelque chose en plus de certain qui font que je le trouve particulièrement attachant

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Perdu entre imaginaire et réalité - Feat Keylia

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Perdre ma magie je ne pensais pas que cela me frustrerait autour. A un moment j'avais mit tout a au placard pour pouvoir avoir un nouveau départ avec ma fille. Cela avait fonctionnait un temps, mais cela avait été mon choix. Le fait d'avoir été privé de magie cela changer tout. C'était frustrant de perdre l'importance que l'on peut avoir. On faisait souvent appel à moi certes ce n'était jamais vraiment pour de bonne choses, mais j'avais quand même une réputation. Ici aussi me direz vous, mais elle était loin d'être la même. Je ne savais pas pourquoi Keylia perdait son temps avec moi, elle devait avoir d'autres choses à faire et plus plus intéressantes. "eh bien apprenez à devenir quelqu'un dans notre monde aussi, je ne suis pas de celle qui croit réellement en la magie mais après tout pourquoi ne vivrions nous pas tous dans des mondes différents, ce n est qu une question de conviction n est ce pas ? Choisissez la réalité qui vous est le plus favorable aujourd'hui et apprenez à y rester." C'est la première fois que quelqu'un me disait quelque chose d'aussi censé. Je la regardais surpris d'ailleurs qu'elle me pousse dans cette voie alors que tout le monde faisait le contraire. "Je n'ai rien entendu d'aussi pertinent depuis très longtemps.. Le soucis étant que les deux réalités dans lesquelles je suis piégé ne me satisfont ni l'une ni l'autre. Mais j'apprécie beaucoup vos encouragements, merci." Entre Storybrooke et le pays des merveilles je ne sais pas celui qui était le pire.. Dans les deux cas je n'avais pas Grâce avec moi alors je ne voulais pas de ces réalités. On se stoppa quand je vis un singe papillon sur son épaule, c'était une créature dangereuse. "Dites moi, à quoi ressemble t il, je ne le vois pas et n en ai jamais vu, décrivez le moi." Je la regardais surpris. "Quoi vous en avez pas ici ? C'est mieux ainsi. Imaginez un genre de chimpanzé en un peu moins mignon d'environ 50cm, en plus effrayant avec de longues dents, des yeux rouges et des ailes qui ressemblent à celles des papillons de nuits, elles sont presque noires avec des liserés rouge qui forment un regard effrayant." Je continuais de marcher à ses côtés, je venais de lui dire que je lui faisais confiance, c'était vrai, c'était une des rares qui essayé de me comprendre même si je savais que mon cerveau était trop complexe, il l'était déjà pour moi alors pour les autres.. Je lui souris quand elle m'en remercia, il n'y avait pas de quoi. Elle voulait connaitre le contexte de ma crise alors je lui expliquais lui disant sincèrement ce qui c'était passé. Quand j'évoquais le pays des merveilles elle sembla le connaitre. "quand vous me parler du pays des merveilles, vous me parler du conte ? Celui avec la petite fille qui grandi et rétréci avec un gâteau ? Je crois l'avoir lu enfant. Le lapin blanc vous savez ou il allait ou pas ?" Je ris doucement, j'avais lu leur version du conte. "Alice est pas si petite que ça, elle est même bien plus vieille que ce qu'on en dit.. Je lui raconterai si je la recroise un jour ça la fera rire." Bon je sais que c'est pas la réponse qu'elle attendait. "Pour vous répondre oui il s'agit bien la du conte que vous connaissez dans votre monde, avec certaines différences certes et je dois dire que mon excentricité à été bien trop accentué. Le terme de chapelier fou est un peu excessif vous ne pensez pas ? Et quant-à la direction qu'à prit ce maudis lapin je n'en sais rien, il est bon qu'à embrouiller les pistes." C'était même un connard ce lapin je dirais même, j'avais essayé de le faire à la broche à plusieurs reprises, mais il avait réussi à m'échapper à chaque fois. "Est ce que vous accepteriez de vous asseoir et de me laisser vérifier que vous n avez aucune blessure ? Vous pouvez continuer de me conter votre récit si vous le souhaitez." Je souris doucement. "Une fois que nous serons arrivé chez moi si vous le souhaitez oui, nous sommes presque arrivé." J'appréciais sa compagnie je dois dire, chose qui ne m'était pas arrivé depuis longtemps. Une fois au manoir je la fis entré. "Installez vous au salon je vais mettre de l'eau à chauffé pour le thé." Une fois que ce fut fait je vins m'asseoir à ses côtés comme promis. Elle allait pouvoir m'examiner tandis que je lui posais une question. "Qu'est-ce que vous connaissez de moi ?" Je posais aussi bien la question vis à vis du conte, mais aussi de l'histoire que la reine m'avait crée à Storybrooke.

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perdu entre imaginaire et réalité

je ne connaissais pas réellement tout la vie du jeune homme, disons que la ou je l ai rencontrer le contexte était particulier, je ne savais pas démêler son imaginaire de la réalité. Il était si convaincant dans ses discours que nous aurions aimer le croire mais ç était bien souvent incohérent, j estimáis cependant que sa place n étais pas à l hôpital psychiatrique. Je tentais de l encourager, je croyais en lui, il étais capable de devenir quelqu'un d important je n en doutais pas le moins du monde. Comme je le disais nous avions tous notre monde en quelque sorte non ? L univers de notre cerveau est si vastes que ce n est pas possible autrement

- alors changez les, ou liez les. L humain à une superbe capacité d adaptation, vous restez bloqué sur des préjugés qui vous sont propre mais vous êtes capable d adapter votre vie j en suis sûre

nous marchions jusqu'à ce qu il me stoppé et me parle d un singe papillon, j étais curieuse, que cela existe ou pas, pour lui c était le cas alors je voulais découvrir à quoi cela ressemblais selon lui. Sa réaction fus adorable pour le coup, je souriais doucement

- eh bien non, pas par chez nous je dois dire. Eh bien pour le coup je suis heureuse de n en avoir jamais vu, tout cela l à l air effrayant. Est il toujours s présent Mr Morgan ou puis je bouger ?

je gardais un petit sourire, je le trouvais très attachant comme personnage je dois dire. Le fait qu'il me fasse confiance me faisais plaisir, je voulais l aider pas en evincant sa réalité mais en apprenant à vivre avec surtout. Je lui demandais ce qui l avais mener jusqu a casiment passer sous une voiture, il me parler d un lapin et du pays des merveilles, pour moi il me parlais du contes alors je demandais

- qu entendez vous par bien plus vieille ? Et puis votre excentricité fait votre charmes vous savez ? Je n ai jamais aimer le termes de fou quel qu en soit le contexte en réalité. Alors laissons le lapin et allons vous reposer si vous le voulez bien

je prenais soin de lui, comme tout les patients me direz vous mais je ne sais pas C était différent avec lui, j avais encore plus envie de l aider et de m attacher. Je lui proposais de le soigner, ce qu'il accepta mais une fois au manoir, j acquiessais pour le the, je trouvais ça rigolo quand on connais l'histoire du chapelier, il semblait vraiment croire à tout ça. Une fois installer je vérifiais qu il n est rien a la suite de sa chute

- eh bien peu de chose, je sais que vous êtes enfermé depuis que je travail à l hôpital et que je trouve cela ridicule et surtout que ça ne vous aide pas. Je ne suis pas sûre de savoir autre chose de vous monsieur Morgan, certain disent que vous êtes vous mais moi je suis sûre que non, c'est autre chose

je passais ma main sur sa joue comme pour vérifier que tout était réel avant de continuer à l ausculter, je voulais être sûre qu il n est rien

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J'avais l'impression d'avoir une véritable conversation, une conversation sérieuse. Je n'avais ni l'impression d'être jugé ni l'impression qu'on se fiche de moi et c'était vraiment agréable. Les médecins essayaient à tout prix de me faire oublier mon passé, de me faire accepter leur réalité à eux. C'était la première à me parler de lier deux réalités, d'en faire ce que je voulais. J'aurais aimé que ce soit aussi simple cela dit. "alors changez les, ou liez les. L humain à une superbe capacité d adaptation, vous restez bloqué sur des préjugés qui vous sont propre mais vous êtes capable d adapter votre vie j en suis sûre" Je lui souris doucement. "Je ne sais pas si cela est possible, mais qu'est-ce le possible en lui même après tout ? C'est un concept sur lequel nous posons nos propres limites." Très spirituel, ça devrait être un message dans les biscuits chinois là vous savez. Je devrais pensé à devenir professeur de philo tiens. On croisa sur la route un singe papillon, vous n'avez pas idée de ce que sont ces petites saletés, elles sont bien plus dangereuse que ce qui y parait. Je souris doucement quand elle me demanda des détails sur la créatures, elle aurait pu me dire que ça n'existait pas. "eh bien non, pas par chez nous je dois dire. Eh bien pour le coup je suis heureuse de n en avoir jamais vu, tout cela l à l air effrayant. Est il toujours s présent Mr Morgan ou puis je bouger ?" Je lui souris à nouveau elle avait le don pour me mettre en confiance. "Vous seriez déjà morte si c'était le cas, je vous rassure il s'est envolé." Une chose en entraînant une autre on se mit à parler du pays des merveilles. Le conte était bien loin de la réalité. J'avais été coincé la bas si longtemps.. J'espérais d'ailleurs que si on arrivait un jour à rentrer chez nous je me retrouverais dans la forêt enchanté et pas dans ce pays de malheur. C'était amusant de savoir que j'étais connu dans ce monde au final, bon certes comme une personne peu saine d'esprit, mais sur ce point j'aurais du mal à me défendre. " qu entendez vous par bien plus vieille ? Et puis votre excentricité fait votre charmes vous savez ? Je n ai jamais aimer le termes de fou quel qu en soit le contexte en réalité. Alors laissons le lapin et allons vous reposer si vous le voulez bien." Mon charme ? Oui j'avoue que je n'avais retenu que ça sur le coup. "Moi charmant ? Désolé de vous dire que vous avez des gouts douteux." Je ris doucement avant de me stopper net quelques secondes comme ci mon cerveau faisait une pause, puis je repris style de rien. "Pour Alice, elle n'est pas loin des trente cinq ans maintenant si je ne dis pas de bêtises. Certes elle a été coincé avec moi au pays des merveilles pendant quinze ans et comme on ne vieillit pas là bas physiquement elle n'a toujours qu'une vingtaine d'années." J'étais d'accord sur le fait d'oublier ce connard de lapin pour finir la route jusqu'à mon manoir. Mon magnifique manoir, lot de consolation de la part de la méchante reine, mais je dois dire que j'aurais préféré une petite maison avec ma fille. Une fois chez moi je préparais le thé et comme promis je la laissais m'examiner. Je ne sais pas pourquoi peut-être un réflexe de l’hôpital je retirais ma chemise pour qu'elle puisse m'examiner. Je n'avais pas conscience que cela pouvait provoquer une certaine gène. Je lui demandais ce qu'elle savait de moi. " eh bien peu de chose, je sais que vous êtes enfermé depuis que je travail à l hôpital et que je trouve cela ridicule et surtout que ça ne vous aide pas. Je ne suis pas sûre de savoir autre chose de vous monsieur Morgan, certain disent que vous êtes vous mais moi je suis sûre que non, c'est autre chose." Je frissonnais au contact de sa main sur ma joue et je sentis mon cœur s’emballer et pour dire ça me fit flipper. Je n'avais pas ressenti ça depuis bien longtemps. "Je n'ai pas toujours été comme ça. J'étais même quelqu'un de tout à fait normal. Puis je me suis retrouvé loin de ma fille, enfermé pendant quinze ans à essayer de reproduire ce fichu chapeau en vain !" Toute ma colère était remonté tout à coup. En quelques secondes elle disparue à nouveau. "J'ai cru que ça s'arrangerai en aidant la méchante reine avec le sort noir, mais au final je suis enfermé ici avec tout le monde et le pire c'est que ma fille vit à quelques maisons d'ici et qu'elle ne sait même pas qui je suis.." J'étais profondément triste tout à coup, ça me rendait tellement malheureux. "Quel homme ne serait pas devenu fou après tout ça ?" C'était une vraie question.

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Perdu entre imaginaire et réalité

avoir une conversation avec lui le faisais dire encore plus qu il n'avais rien à faire à dans un asile, après tout certains se prennent pour dieu et ils ne sont pas tous enfermer. Son discours était convaincant, collé souvent chez les gens comme lui mais je n appelais pas ça de la folie. Je sais ce que mes collègues pensent de ma manière de penser mais qu importe. Je n avais pas l intention de l enfoncer, ça n allais clairement pas l aider après tout

- eh bien justement nous vous fixer pas de limites sur votre possible. Tout n est que volonté j en suis certaine, et puis je peux toujours vous aider

alors que nous marchions tranquillement il me disais voir un singe papillon sur mon épaule, pour le coup la curiosité empara ma raison, je lui demandais des détails parce que un singe papillon on entendais pas ca tout les jours. Alors que je lui demandais si il était partis il me disais que si ce n étais pas le cas je serais morte. Bon OK ça ferais un peu flipper si je n étais pas habitué à tout ça. Enfin pas aux singes papillons, aux patients hein. Je riais doucement mais pas de moquerie

- heureuse d être en vie alors, mourir ainsi aurait été dommage après tout

Nous parlions du pays des merveilles, je connaissais le conte mais a priori pour lui ce n étais pas tout à fait comme ça. Je trouvais cette conversation intéressante malgré tout. Il le parlais de la jeune Alice qui n est pas si jeune, j imaginais une jeune femme de plus d une trentaine d années, le conte en étais encore plus étrange. Je lui expliquais aussi que sa "folie" faisais son Charme, ce qui a mon sens était vrai

- je n ai en rían des goûts douteux mon cher mr Morgan, je vous trouve juste attachant. Concernant Alice, C est un peu curieux d imaginer une jeune femme de 35 ans la dedans j avoue. Comment a le temps y est arrêter? Et vous quel âge avez vous alors ?

j aggichzis un léger sourire wj à votre que j étais curieuse de sa réponse pour le coup. Nous arrivions vite chez lui ou il me proposais un thé, j acceptais avec plaisir avant d el examiner. J étais loin d el attendre a ce qu il se déshabille. Je n étais pas gênée en théorie c était mon travail mais j avoue avoir rougie sans comprendre pourquoi, il était... Comment dire.. Whoaw. Ce que je ressentais en sa présence n etais pas normal et bien loin d être professionnel. Je secoyais la tête pour changer mes idées. Revenant à ce qu'il me disais, je m assayais et poser ma main sur la sienne en soutien

- vous avez une fille ? Eh bien cela je ne le savais pas par exemple. Dites m en plus, comment ça enfermé à reproduire un chapeau, vous parlez de l hôpital ?

je voyais bien que c était dure pour lui de parler alors je caressais doucement sa main comme pour le soutenir, lui montrer que je tais la pour l aider

- la méchante reine? Je ne vois pas qui elle est dans le conte, désolé j ai du mal à vous suivre, vous pourriez m'expliquer ? Qu est ce que le sort noir ? Pourquoi ne pas aller la voir ? Elle doit bien avoir quelque souvenir même si elle était jeune a votre départ

je ne sais pas ce qui me prit à ce moment, C était loin d être professionnel, mais je posais ma main sur sa joue et venais déposer un baiser à son front pour le rassurer. En même temps pourquoi je voulais être professionnel, il n étais pas à l hôpital donc pas mon patient en soi, si?

- vous n êtes pas fou, juste désespérer Mr Morgan et comme je vous l ai dit je suis la pour vous aider

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Perdu entre imaginaire et réalité - Feat Keylia

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J'étais vraiment content au final d'avoir accepté la compagnie de Keylia pour le chemin du retour. Je n'avais pas beaucoup l'occasion de lui parler à l'hôpital. Les médecins minimisé mes contacts et surtout il me bourrait de médicaments absurde qui ne me faisait que dormir généralement. Je m'étais déjà aperçu de sa gentillesse, mais j'étais je dois dire impressionné par son ouverture d'esprit. Elle ne me demandait pas de choisir une réalité, elle n'essayait pas non plus de me persuadé que les singes papillons n'existent pas et rien que pur cela je ne pouvais que la remercié. La ou je ris c'est quand elle me dit que j'avais un certain charme. Je n'avais pas vraiment pensé à ça depuis longtemps. Ce qui me préoccupé surtout c'est d'être enfermé dans cette ville et de ne pas avoir ma fille. J'avais négligé mon côté sentimental. "je n ai en ríen des goûts douteux mon cher mr Morgan, je vous trouve juste attachant. Concernant Alice, C est un peu curieux d imaginer une jeune femme de 35 ans la dedans j avoue. Comment a le temps y est arrêter? Et vous quel âge avez vous alors ?" Elle me trouvait attachant et ça m'amusé je dois l'admettre. Je lui avais parlé d'Alice puisqu'ils étaient tous dans le faux pour ce conte en tout cas. "Oui c'est comme au pays imaginaire, le temps ne s'écoule pas dans ces royaumes, je sais que vous les humains passaient votre temps à essayer de repousser la mort, à ne pas vieillir, mais croyez moi c'est bien pire de voir les années passées sans aucun changements. Seul l'esprit se fatigue. Je dois avoué que je suis incapable de vous dire mon age.. J'imagine que je ne dois plus être très loin des soixante dix ans." Bon le principal étant que je ne les faisais pas. Je ne leur souhaitais pas de trouver la clé de l'éternité chez eux, c'était une sorte de prison dorée ou la mort devient soudain plus délivrante qu'autre chose. On arriva finalement chez moi, elle voulait m'examiner alors je m'étais exécuté retirant ma chemise comme je le faisais souvent à l'hôpital. Je m'ouvrais un peu plus à elle, j'étais en confiance. Je lui parlais de ma fille, c'est ça qui me faisait le plus mal de toute manière. "vous avez une fille ? Eh bien cela je ne le savais pas par exemple. Dites m en plus, comment ça enfermé à reproduire un chapeau, vous parlez de l hôpital ?" J'eus un sursaut d'énervement. "Non, je parle du pays des merveilles.." Je soupirais je savais que j'avais sur réagi. "Excusez moi, c'est fatiguant de réexpliquer sans cesse les choses, mais ce n'est pas de votre faute." Elle avait posé sa main sur la mienne, j'avais donc tourné mon regard vers elle. "la méchante reine? Je ne vois pas qui elle est dans le conte, désolé j ai du mal à vous suivre, vous pourriez m'expliquer ? Qu est ce que le sort noir ? Pourquoi ne pas aller la voir ? Elle doit bien avoir quelque souvenir même si elle était jeune a votre départ." Je me rendais compte que de répondre à des questions cela en provoqué d'autres. Ce n'était pas une bonne chose, de plus si je devais répondre à toutes ses questions nous y passerions la nuit. "Ca serait extrêmement long à vous expliquez, une autre fois d'accord ? Et pour ce qui est de ma fille malheureusement tout ses souvenirs ont été effacé, elle ne se souvient absolument pas de moi." Elle s'approcha pour poser sa main sur ma joue et déposais un baiser sur mon front. J'avais pas ressenti ce genre de choses depuis une éternité.. Un frisson intense me traversa de part en part. Bon sang j'avais l'impression que la foudre venait de me frapper. En un instant mon cœur s'emballa. Une partie de moi voulait se barrer en courant de trouille et une autre voulait ressentir ça a nouveau. Jefferson qu'elle bonne idée de t'amouraché de cette jeune femme vraiment, tu ne sais pas qui elle est dans le monde des contes, peut etre que c'est une mechante sorciere, peut etre que c'est une theiere ou pire encore ! Un lapin.. Mais d'un côté elle t'écoute comme personne ne l'a jamais fait, elle est douce et incroyablement jolie.. Okay faudrait peut-être que j'arrête de me parler a moi meme." vous n êtes pas fou, juste désespérer Mr Morgan et comme je vous l ai dit je suis la pour vous aider."Je posais ma main sur la sienne et sourit doucement. "Je vous remercie vraiment de votre écoute. C'est très agréable de pouvoir parler sans se sentir pointer du doigts ni juger." J'étais assez proche d'elle et c'était plutôt perturbant. Je remis une mèche de ses cheveux en place et clairement j'avais envie de l'embrasser. Je savais que je ne devais pas, j'étais un de ses patients, y avait tout le problème de la malédiction aussi.. Ah bon okay trop tard, merci Jeff de meme pas t'ecouter parler.. Ce fut un baiser tendre, mais intense en même temps.

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Perdu entre imaginaire et réalité

je m étais laisser prendre à la conversation. Je n ai jamais fait partie de ceux qui le pensent fou. Croyez moi ou non je fais partie de s gens qui pensent que nous utilisons tous le même pourcentage de notre cerveau, simplement nous n utilisons pas les mêmes parties. Peut être que son cerveau st axe sur un imaginaire, ou sur autre choses que nous autres ne pouvons comprendre ou admettre. Nous discutions de tout et rien et je trouvais la conversation intéressante malgré sa bizarrerie. Alice avais donc 35 ans, j étais curieuse de connaître age à lui. Je ne dirais pas que je le croyais mais en même temps pourquoi pas, peut être que le monde qu il s était cree était celui la. J avais du mal à envisager d autres monde mais bon comme je le disais je ne le pensais pas fou pour autant

plutôt bien conserver pour vos 70 ans. Nous les humains ? Certains jouent avec ma science, pour ma part ma courte vie me conviendra, je ne joue pas avec la nature mais je comprend l idee que vous circuler

enfin je crois que je comprend, est ce bizarre de comprendre ? Comme si une partie de moi voulais croire à tout cela. Un peu de merveilleux dans nos vie ça peut pas faire de mal si ? Au final je n avais même pas fait attention que nous arrivions déjà chez lui. Je voulais l examiner, inquiète de son état après tout ça. Il me parlais de sa fille qui n avais aucun souvenir de lui, amnésie régressive ? Rare chez les enfants mais pas impossible, ce devais être dur à vivre. Il me parlais d un chapeau, je n avais pas compris de quoi il me parlais et il m avais crier dessus, j avais reculer surprise

- excusez moi j essaie juste de comprendre... J aimerai comprendre un peu mieux le monde dans lequel vous vivez

je pincais les lèvres, légèrement contrariée. Je tais bien loin d agir comme je le ferais à l hôpital, je ne comprenais pas pourquoi mais c était mon cœur qui agissais ainsi et non mon cerveau, encore moins mes facultés professionnelles. Il venais simplement mettre fin à la conversation je pense que c était mieux ainsi après tout. J avoue que je le regardais d'une manière non conventionnelle, je ne pensais jamais regarder un de mes patient, enfin de mes anciens patients comme ça, clairement je ne le regardais pas comme tel, mais comme un homme desirable si je puis dire. Je lui disais ne pas le trouver fou, juste désespérer et je le pensais vraiment

- je ne ferais jamais cela à quelqu'un vous savez ? Autant à un patient qu à quelqu'un d autre, on ne peux pas juger tant qu on ne connais pas toute la vérité. Sachant que notre vérité ne St pas forcément celle d'un autre

je stressais oui oui, voilà pourquoi je parlais autant, j avais envie de faire quelque chose que clairement je ne devrais pas alors j essayais de distraire mon cerveau. A priori il eu la même envie et idée puisque ses lèvres se collerent aux miennes. Eh merde... Je prolongeait le baiser, passant mes bras autour de lui et laissant une main glisser dans ses cheveux

- je... Je ne suis pas sûre qu on devrais

j avais dit cela et pourtant je n avais pas décoller de lui, profitant encore de ses lèvres

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Je suis arrivé le : 27/04/2020

Perdu entre imaginaire et réalité - Feat Keylia

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Keylia m'avait raccompagné jusque chez moi et je ne pouvais que l'en remercier même si j'aurais pu clairement rentrer seul. Cela dit discuter avec elle m'avait fait beaucoup de bien je dois dire. Je n'avais pas eu l'impression d'être jugé au contraire, elle me posait des questions, s'intéressée à ma vision des choses sans pour autant me dire que j'avais tord ou que c'était n'importe quoi. J'étais même en confiance en sa présence ce qui m'arrivait clairement très rarement. Je m'étais cela dit légèrement emporté vis à vis de ce qu'elle avait dit, je m'étais excusé immédiatement après. "Excusez moi j essaie juste de comprendre... J aimerai comprendre un peu mieux le monde dans lequel vous vivez." J'étais vraiment désolé je ne voulais pas réagir de cette manière. "Ne vous excusez pas, c'est moi qui me suit montrer excessif, vous êtes la personne qui me juge le moins et qui essaie de comprendre, je pense même pouvoir dire que vous êtes la seul à vous posez ces questions." Etant en confiance, je lui parlais de ma fille et de ce que j'avais pu traversé. Evidemment que je pétais les plombs, s'était même compréhensible dans le fond. Simplement les autres ne comprenait pas ma vision du monde. " je ne ferais jamais cela à quelqu'un vous savez ? Autant à un patient qu à quelqu'un d autre, on ne peux pas juger tant qu on ne connais pas toute la vérité. Sachant que notre vérité ne St pas forcément celle d'un autre." Je me demandais pourquoi il n'y avait pas plus de personne comme elle dans le monde, les choses seraient plus facile pour les gens comme moi. Je lui souris doucement, elle avait une vision du monde très large et ce n'était pas donné à tout le monde. Je ne sais pas ce qui me prit ensuite je m'étais mit à l'embrasser et le plus incroyable dans cette histoire c'est qu'elle passa ses bras autour de mon cou et qu'elle me rendit mon baiser. "je... Je ne suis pas sûre qu'on devrais." Clairement ou ce n'était pas une très bonne idée, mais j'en avais très envie dans un sens. D'ailleurs elle revint m'embrasser passant mon bras autour de sa taille je la fis passer au dessus de moi à califourchon. Cette chaleur intense m'envahissant me donnait l'impression d'être vivant, je n'avais pas connu ça depuis très longtemps à cause de cette saleté de malédiction. Je serrais son corps contre le mien alors que ça devenait intense. Je décollais doucement mes lèvres plongeant mon regard dans le sien. "Je veux être sur que tu en aies envie.. Moi s'est le cas. Je ne dirais rien à personne et puis de toute façon même si je le raconte personne ne me croira." Je ris doucement. J'avoue que j'avais envie de partager ce moment avec elle, ne plus souffrir de cette solitude terrifiante même si c'était rien que pour ce soir..

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