Entrainement matinal - rp libre

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Une nouvelle journée commençait, j’avais la possibilité de dormir très tard le matin puisque je travaillais le soir et la nuit surtout. Cela dit c’était rare pour moi les grâce mat, je préférais me lever et faire du sport, mon corps c’est mon outil de travail alors il doit rester impeccable. Plus il est musclé et plus les pourboires sont gros. Je devais aussi travailler une nouvelle chorégraphie pour un enterrement de vie de jeune fille qui approchait. Les enterrements de vie de jeune fille c’est ce que je préfère j’admet. C’est toujours très agréable d’entendre un groupe de femme devenir hystérique quand vous commencer à enlever vos vêtements. Je dois dire aussi que niveau rencontre on pouvait aussi difficilement faire mieux.. Bref je commençais à réfléchir à ma nouvelle chorégraphie alors que j’attaquais mon petit footing du matin, rien de tel pour se réveiller et se tonifier pour la journée. J’avais souvent un parcours type dans ma tête, mais il m’arrivait de tenter d’autres chemins comme aujourd’hui. J’allais me diriger vers les extérieurs de la ville pour une fois, mais au détour d’une rue je rentrais dans une autre personne ou alors c'est elle ? Je ne sais pas trop vous dire en réalité. J’étais tombé sur le genoux me l’écorchant légèrement. Ça saignait un peu, mais y' avait pas mort d’homme. Je grognais un peu, ce n'était pas vraiment le moment de me blesser non plus. Bon la moindres des choses c'était de demander à l'autre personne comment ca aller. "Rien de cassé ?" Je lui tendis la main pour l'aider à se relever.

acidbrain

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Entrainement matinal

Trainé au lit jusqu’à pas d’heure ? Très peu pour moi. J’avais besoin de bouger très souvent, peu importe l’heure. Même si ma vie commençait à être bien rangée avec Kilian et Henri qui continuait de vouloir, je cite, *m’ouvrir les yeux sur qui je suis réellement*, il y a des choses qui ne changent pas. J’avais pris l’habitude de me promener dans la forêt depuis ma rencontre avec August qui se rangeait du coté de Henri. Trop de choses se bousculaient dans ma tête et rien que la nature arrivait à me calmer un peu. J’avais enfilé mon jeans, un t-shirt à rayure et embarqué ma veste rouge habituelle. Je ne regardais pas forcément où j’allais et au coin d’une rue, je rentrais dans un homme qu’il ne me semblait pas connaitre. La ville n’est pas si grande pourtant, mais en même temps, en dehors du bureau du shérif, l’appartement et chez Granny, je ne sortais pas beaucoup. Je m’étais retrouvée sur les fesses et l’homme à genou. Il me demanda si je n’avais rien de cassé, je lui souris en attrapant la main qu’il me tendait « Merde je suis désolée ! Non ca va, juste foulé le poignet je crois… Et vous, votre genou ? » lui demandais-je en pointant son genou duquel coulait un petit peu de sang. « C’est ma faute, je regardais pas où j’allais… C’est rare de croiser du monde si tot… » Non mais pourquoi je lui fais la conversation ? Cette ville me rendrait plus sociable que je ne le suis de base ? Je secouais rapidement la tête pour reprendre mes esprits et éteindre la petite voix de Henri qui résonnait dans ma tête. Cet homme me prendrait pour une folle autrement.

Codage par Libella sur Graphiorum

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Matinal, Jacen se levait tous les jours avant l’aurore afin de pouvoir en photographier les moindres aspects depuis différents spots de la ville. Chez lui, il détenait une collection incroyable de ces photos que certains pourraient qualifier d’un banal levé de soleil. Pourtant, que ce soit en forêt, sur un toit ou au bord de la plage, Jacen s’émerveillait devant cet événement journalier qui dévoilait à chaque fois, selon le lieu et la météo, une nouvelle facette de sa personnalité.

En outre, comme aujourd’hui, les premières heures de la journée étaient l’occasion de capturer de rares clichés qu’il pourrait utiliser personnellement, ajouter à son album ou revendre à la gazette. Depuis quelques temps, une femme prenait une place importante dans les conversations des habitants de Storybrooke. Sa coccinelle jaune était immanquable et paraissait que son caractère revêche l’était tout autant.

Pourtant, depuis l’autre côté de la rue, lorsqu’il la vit tomber sur ses fesses, immortalisant cet instant, elle ne lui parut pas si tenace. Par habitude, il prit encore plusieurs clichés de la rencontre, puis abaissa son appareil pour observer de ses propres yeux. Il n’avait pas l’intention d’intervenir, simplement de regarder discrètement pourquoi cette femme en effrayait plus d’un. Il attrapa son journal et fit mine de le lire contre un réverbère.

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