Le soleil se levait doucement sur les plaines de sable du royaume d’Agrabah, nimbant le paysage d’un magnifique éclat doré, et pourtant, des milliards d’étoiles tachetaient encore le ciel, comme de minuscules lucioles. Debout sur le perron de ma chambre royale, je contemplais la vie reprendre son cours dans les quartiers bordant le château alors que je savais qu’ici, les habitants dormiraient encore plusieurs heures. Je connaissais beaucoup trop cet horaire injuste pour l’avoir vécue plus souvent qu’à mon tour. Même si ça faisait plusieurs années que je n’habitais plus les bas quartiers du royaume, je n’étais jamais parvenu à ne pas me lever aux aurores. Alors je profitais de la quiétude matinale du palais pour regarder mon ancien univers reprendre vie. Comme à tous les matins, je me fis le même éternel constat : Il était hors de question qu’on me renvoie dans la mendicité et la pauvreté. Je m’étais hissé jusqu’au plus haut rang du royaume, ce n’était pas pour tomber dans les caniveaux. Bien sûr, le fait que Jasmine se soit prit un amant et qu’elle fonde sa misérable petite famille de son côté rendait la situation encore plus complexe, mais je comptais bien utiliser cet élément à mon avantage.
Après tout, le Sultan nous forçait à montrer un front fort et commun face au royaume, mais il était dans la confidence de ce mariage gâché depuis notre retour de Storybrook. Le tout était de le manipuler avec assez d’adresse pour lui prouver que j’étais le meilleur héritier qu’Agrbah pouvait espérer pour son avenir. Sincèrement, qui voudrait d’une sultane qui a la cuisse légère et aucun respect pour les conventions et les traditions. Après tout, lorsqu’on était à un poste de pouvoir, on agissait en conséquence, on ne fondait pas une seconde vie à côté! Je respire lentement afin de me calmer, je dois conserver mon calme en permanence. J’étais épié et chacun de mes gestes étaient étudiés. À la moindre erreur, Jasmine se ferait un plaisir de jouer à la garce et il en était hors de question. Revenant à l’intérieur de ma chambre afin de troquer mon peignoir pour des vêtements, j’ai opté pour des vêtements noirs aux bijoux verts et bleu. Pourquoi? Parce que c’était terminé l’époque du gentil petit Aladdin qui pensait ne pas mériter une place au palais. Vêtu avec royauté, je sors de ma chambre et je me dirige d’un pas silencieux et rapide vers les quartiers de Jasmine. Comme les serviteurs ont la langue bien pendue, même à certains moments de la journée, on doit préserver les apparences. Je toque rapidement et sèchement à sa porte et je l’ouvre sans aucune gêne. Voilà longtemps que j’avais perdu mon respect pour cette princesse, alors pourquoi feindre que c’était le cas?
« Tu sais qu’Agrabah est réveillé depuis des heures alors que toi, tu te prélasse dans ton plumard? » Fis-je remarqué d’une voix lente et doucereuse en m’approchant du centre de sa chambre, ne jetant aucun regard à la décoration. À une autre époque, cet endroit avait également été ma chambre. « Ce n’est pas que ça me tente, mais ton père nous fait demander à sa table. Tous les deux » Annonçais-je en m’installant sur un fauteuil confortable, faisant comme chez moi. Stoïque et glacial, je me demandais vraiment comment j’avais pu un jour ressentir quoi que ce soit pour cette traitresse infidèle. La jeunesse fait vraiment faire n’importe quoi. « Je te conseil de te dépêcher, je n’ai pas envie de rester trop longtemps ici. Ça sent la vermine » Rajoutais-je d’une voix glaciale en jouant avec ma bague en émeraude.
Sujet: Re: Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant FT. Jasmine Sam 6 Nov - 13:21
Le rêve bleu c'est de te pousser en bas de mon tapis volant ft @Asael C. Tucker
Mon fils léo avait maintenant 1 an, il grandissait à vu d’oeil, probablement trop d’ailleurs parce qu’il commençait à vouloir se sauver, il tenait debout tout seul et commençais à avancer, heureusement pour moi il ne fait pas beaucoup de pas encore, il se retrouve souvent sur les fesses. En ce moment j’essayais de lui faire dire maman mais il était pas totalement décidé je pense,il avait encore le temps ca voulait dire qu’il grandissait pas trop quand même. Par contre il recommençait à se réveiller la nuit, c'était de nouveau un peu difficile de dormir paisiblement, je m'étais levée trois fois cette nuit et j’en pouvais plus, je voulais juste dormir. Il était tôt et je savais que je devrais bientôt me lever mais je n’avais pas envie, j'étais rester dans les bras de kabe jusqu'à ce que leo se mettent à crier à nouveau, je soupirais alors kabe m’avais proposer d’y aller, me laissant seule dans notre chambre. Je m'endormais à moitié quand on toqua dans ma chambre, entrant sans attendre de réponses, je n’avais pas eu besoin de voir le visage de la personne pour savoir qu’il s’agissait d’Aladdin. Je venais m’asseoir dans mon lit, heureusement que Kabe n'était plus là pour le coup il avait bien fait d’aller s’occuper de notre fils. Affichant un léger sourire, certes un peu forcé mais plutôt nécessaire je lui répondais avec douceur, offrant un ton presque humoristique à mon interlocuteur
- Je suis réveillée depuis un moment, j’ai une version miniature de moi qui hurle toutes les trois heures. Ca fait une bonne année que j’ai oubliée ce que c'était de se prélasser
Il venait se poser sur le fauteuil près du lit, a priori mon père voulait nous voir, je soupirais. QU’est ce qu’il nous voulait encore sérieusement. Je sais qu’il n’accepte que je ne sois plus avec mon mari mais tout de même de la a nous forcer à agir ensemble ca ne vas pas nous aider à remettre de l’ordre entre nous. J’en voulais à mon mari pour beaucoup de choses, c'était régulièrement un imbécile avec un ego surdimensionné mais je l’avais épousé pour une bonne raison, je l’avais sincèrement aimé alors je ne voulais pas que tout se finisse ainsi. J’aurais aimé que tout reste cordial entre nous et que notre entente reste amicale, je sais qu’il m’en veut mais à storybrooke tout était différent et je n’aurais jamais cru tomber ainsi amoureuse de Kabe. Nous avions tous deux commis des erreurs mais j'étais certaines que nous pourrions réussir à tout arranger si nous le voulions
- Tu sais ce qu’il nous veut ? Je ne crois pas qu’il y ait de visite diplomatique de prochainement programmé si ?
Je soupirais, s'enfonçant un peu plus dans mon lit, moi qui espérait récupérer une petite heure de sommeil c'était a priori raté pour moi. Je me levais sans aucune motivation, prenant un papier pour écrire à Kabe que je me trouvais en plein déjeuner avec aladdin et mon père, l’objectif étant qu’il ne me cherche pas, je lui promettais de revenir vite, lui rappelant au passage que je l’aimais. Je venais me mettre derrière le paravent pour enfiler une tenue plus correcte qu’un peignoir pour se joindre à la table de mon père. Aladdin venais m'intimer de me dépêcher, sans douceur bien évidemment, il avait probablement décidé d'être détestable ce matin, comme tous les autres matins depuis un moment d’ailleurs
- Aladdin s’il te plait ! je suis en train de m’habiller j’arrive alors ne soit pas désagréable, je fais des efforts pour que tout se passe bien alors fais en aussi. Tu m’en veux je le comprend mais j’en ai sincèrement marre de cette ambiance entre nous….
Je venais le rejoindre près du fauteuil, on avait deux options, soit on prend le temps de discuter entre adulte et on essaie de régler nos différends comme j‘aimerai le faire soit on vas simplement rejoindre mon père en laissant cette ambiance pesante entre nous. Je n'étais de toute manière pas certaine qu’il ait vraiment envie que ça s'arrange entre nous, peut etre que ca lui plait cette guerre entre nous, je ne sais pas vraiment je dois dire, il a tellement changer depuis storybrooke. Cette infâme personne qu’il était à storybrooke était doucement en train de tirer sur sa personnalité actuelle malheureusement
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Sujet: Re: Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant FT. Jasmine Lun 8 Nov - 14:13
Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant
Je n’aimais pas l’idée de feindre être en couple avec Jasmine. Que pouvait-il y avoir de pire que de feindre le parfait amour avec la femme qui avait trahit toutes ses promesses et qui vous narguait en permanence en affichant son bonheur à votre gueule. Sincèrement, j’ignorais ce que j’avais bien pu lui faire pour qu’elle prenne autant son pied à me torturer, mais voilà longtemps que je m’étais résolu à ne pas être sa victime. Si elle voulait jouer, elle trouverait un solide opposant puisque je m’étais promis de rendre sa vie aussi misérable que le mal qu’elle m’avait fait. Parce que malgré tout, oui, je l’avais réellement aimé d’un amour véritable et tendre. Sauf que la passion qui m’avait jadis lié à elle s’était transformée en une colère tout aussi imposante et indomptable. Le fait de devoir venir la chercher dans sa tanière, de voir les draps du lit défait et la silhouette encore incrusté sur le matelas de cette satanée bestiole qu’elle avait fait entrer dans NOTRE lit m’était insupportable. Elle esquissa un sourire que je devinais forcé face à ma remarque et elle s’amusa à perdurer son petit plan machiavélique consistant à me faire le plus de mal possible en me rappelant cet enfant qu’elle avait fait avec un autre. « Tu es obligé de prendre ton pied à me rappeler encore et encore que tu t’ai laissé engrossé par un autre alors que nous sommes mariés?» Demandais-je d’une voix sifflante alors qu’elle avait pourtant frappé juste.
Le fait qu’elle ait choisi un autre homme et qu’elle ait accepté de porté son enfant me faisait mal. Beaucoup trop mal. Parce que Jasmine, je l’aimais même si je la détestais et que le rappel permanent qu’elle ne sera plus jamais à moi me faisait simplement escalader de plus en plus dans l’échelle de haine que je lui vouais. Un long soupire sortit d’entre mes lèvres. Que faisait-elle? Elle prenait son temps afin d’être sûr que son chat de gouttière réapparaisse pendant que j’étais dans sa chambre? Elle m’interrogea sur ce que nous voulait son père. Comment voulait-elle que je le sache? Aux dernières nouvelles, c’était elle sa fille, pas moi. Je ferme les yeux pour cesser de la regarder, mais des flashs de nos moments intimes dans cette même chambre me submergea. Il me serait si facile de la bousculer contre ce fauteuil et de prendre tout ce que je voulais d’elle, mais j’avais le bon goût de vouloir des actes consentants, malgré le monstre qu’elle semblait croire que j’étais. « Aucune idée, mais non, nous devrions être seuls avec lui à sa table. Tu n’aurais pas à feindre un bonheur intense d’être en ma compagnie et tu pourras à nouveau hurler à quel point le fait d’être mariée à moi t’insupporte et bouscule ta petite vie parfaite » Dis-je en ouvrant à nouveau les yeux.
Je la regarde donc se lever et chercher je ne sais pas quoi dans tout son foutoir. Finalement, elle prend le temps d’écrire une missive -sûrement pour son mec vu que son môme ne sait pas encore lire- et part se cacher pour se changer. Cette action me fait sourire ironiquement, même si elle ne peut pas me voir. Je l’avais vu nue assez souvent pour être capable de dessiner son corps de mémoire, ce petit excès de timidité était d’un ridicule incroyable. Un long rire froid sortit d’entre mes lèvres lorsqu’elle eut l’audace de me dire qu’elle faisait tous les efforts pour être agréable et que c’était moi le connard qui détruisait l’ambiance. « Tu fais tous les efforts, tu dis? Si c’était le cas, tu m’épargnerais le fait de devoir vivre sous le même toit que ton amant. Si tu as aussi peu de respect pour m’humilier de la sorte et que tu te considère malgré tout comme ma pauvre petite victime, c’est que tu as un auto-critique pauvre et pitoyable Jasmine » Fis-je remarqué en me levant, venant la rejoindre derrière le paravent. « Regarde-moi et dis-moi que tu ne vois pas tout le mal que tu me fais! Ai encore le culot de prétendre que tu ne m’as pas rendu comme je suis aujourd’hui! » Sifflais-je d’une voix glaciale en lui saisissant fortement le poignet. J’en avais marre qu’elle me dépeigne comme le monstre alors que c’était elle qui avait détruit notre bonheur!
Sujet: Re: Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant FT. Jasmine Jeu 18 Nov - 8:11
Le rêve bleu c'est de te pousser en bas de mon tapis volant ft @Asael C. Tucker
Deja que la nuit n avais pas été bonne il allait falloir que j aille déjeuner avec mon père et aladdin, je savais a quoi m attendre, l habituel discours politique de mon père sur ce que l'ondoit montrer au peuple pour ne pas perdre sa confiance. Serieusement comme si le peuple allait perdre confiance en nous juste car aladdin et moi ne sommes plus ensemble. Je tentais une petite remarque plus amusante que pour attaquer mais j' avais parfois l' impression qu'il se sentait persécuté quoi que je dise ... il semblait parfois oublier que je n'étais pas la seule fautive dans cette histoire
- Arrête d' exagérer Aladdin, à aucun moment je ne prends mon pied à te faire souffrir. C' est juste la réalité, je ne peux pas effacer mon fils. Tu oublis parfois que je suis pas la seule fautive, on était deux à storybrooke et ça se passait mal entre nous, le reste n'était pas vraiment prévu pour info... Quand on est revenu chez nous j' ai essayé de faire l' effort et ça n'a pas fonctionné. Ça ne sert a rien de faire semblant. Au moins la tu as une chance de trouver quelqu'un et d'être heureux mais tu t' accroche et tu te fait du mal à toi même
je sais que toute la situation prenais a me donner tord mais je tiens a rappeler qu a Storybrooke il me traitait comme une merde alors evidement que je suis partie voir ailleurs n importe quel etre humains ne serais pas rester se faire marcher dessus… j' aimais aladdin, plus comme avant, plus du même amour mais j' avais toujours de l' affection pour lui car il a fait partie de ma vie mais avec cette malédiction je me suis éloigné d' Asael et j ai rencontré kabe. Concernant Kabe je ne saurais décrire ce que je ressens avec lui, c'est incroyable. Puis maintenant j' ai ma famille et je ne reviendrais en arrière pour rien au monde même si j' aurais aimé que cela se fasse différemment. Storybrooke aura créé de violentes discordes entre beaucoup de monde, il a détruit des couples, en a créé d' autres. Je lui demandais tout de même s' il savait ce que voulait mon père puisqu'il l'avait croisé et moi non. Il continuait de se poser en martyr et je dois avouer que ça m'agace un peu, sérieusement depuis qu'on est revenu il n' as pas non plus fait en sorte d'être appréciable. Il a essayé de me faire oublier le père de mon enfant, a enfermé ce même homme dans une cage jusqu'à ce que j' accouche et lorsque mon fils est venu au monde le médecin a décidé de le donner à Aladdin avant même que je n' ai eu le temps de le regarder. Je pense que chacun de nous avais tord dans cette situation et que ca serait bien plus agréable pour tout le monde de régler ça diplomatiquement…
- Je me doute que nous serons seuls aujourd'hui, nous aurions été prévenu mais je ne pense pas qu'ils nous appellent pour passer un doux repas en famille. Il veut forcément quelque chose… arrête de te sentir agressé dès que je dis quelques chose sérieusement …
alors que je me levais pour m'habiller un minimum, que j' écrivais un mot rapide à kabe pour qu'il sache ou je suis j entendais aladdin pestais non loin, soupirant avant de lui demander de faire des efforts, sérieusement je sais que la situation est nulle mais si on fait pas tout les deux des efforts ça s' arrangera jamais.. il en rajoutait bien évidement même si je pouvais comprendre que la situation ne soit pas confortable
- Vous ne vous croisez presque jamais, il a sa place sous mon toit, je ne dirais pas au père de mon fils de partir loin de sa famille sous prétexte que ca te met mal à l' aise de le savoir ici. C' est assez grand pour que vous ne vous croisez jamais et que vous cohabitiez. Je n ai jamais dit que j etais la victime de cette histoire simplement les choses pourrait se passer bien mieux si tu arrêtais de jouer l idiot.. je suis pas parfaite mais j' essaie de faire des efforts …
je soupirais, je me dépêchais de m' habiller pour ne pas trop le faire patienter, je fus légèrement surprise qu'il vienne me rejoindre derrière le paravent, me cachant légèrement avant de vite enfiler une robe, il semblait manquer de notion de pudeur… Il venait m’attraper le poignet assez violemment, me parlant assez froidement. Il me faisait mal et presque peur pour le coup
- Lache moi tu me fais mal ! Je sais que la situation te fait mal mais elle est pas facile pour moi non plus et tu n'aides pas ta cause… Je n’ai jamais voulu que ca se passe comme ca, j’avais pas anticiper tout ca mais tu était détestable à Storybrooke, je suis tombée amoureuse de Kabe et je ne peux pas effacer ça, et j’en ai pas envie d’ailleurs ! Je ne peux pas non plus effacer ce qu’on a vécu ensemble et je ne le veux pas mais il faut te rendre à l'évidence ça ne sera plus jamais comme avant. Autant rendre les choses le plus facile possible pour nous …
[i]Je le fixais, je voulais juste qu’il me lâche et s'éloigne, je n’avais déjà pas très envie de descendre mais la encore moins, j'espérais surtout que kabe n’arrive pas a ce moment, il valait mieux qu’on essaie de sortir de la chambre rapidement
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Sujet: Re: Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant FT. Jasmine Mer 24 Nov - 17:48
Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant
Me retrouver ici était une véritable torture. Oui, j’avais changé, mais c’était Jasmine qui m’avait modelé comme l’être abjecte qu’elle détestait maintenant. Après tout, c’était parce qu’elle avait choisi de me remplacer par un autre homme et de lui faire un enfant que j’avais escaladé dans cette échelle d’agressivité qui m’était devenue un état permanent maintenant. Moi ce que je voyais, c’était une femme qui me détestait au point d’exposer quotidiennement à ma gueule son bonheur. Est-ce que je l’aimais encore? Oui, mon amour était sans borde et déraisonnable, mais ma haine l’était encore plus. Il n’y avait qu’une passion authentique et fusionnelle qui pouvait créer un tel ouragan noir chez un homme et malheureusement pour elle, je n’avais jamais cheminé émotionnellement depuis son acte de traitrise. Ne voyait-elle pas qu’en plus de me torturer, elle m’humiliait ouvertement? J’étais l’homme cocu dont sa femme trompait sans aucun scrupule et si pitoyable qu’elle s’était permise de faire cohabiter son amant dans ses quartiers. Comment pouvait-elle croire qu’elle n’avait rien à se reprocher? Si l’amour était un sentiment versatile qui peut changer et qu’elle ne peut contrôler, ses actes, elle les contrôle. Un rire mauvais sort de mes lèvres lorsqu’elle prétend ne pas être la seule fautive de mon malheur. Elle n’a pas tout à fait tort, mais elle en possède la grande majorité. « Sauf que je n’étais pas moi-même à Storybrooke et tu ne m’as jamais laissé la chance de me faire pardonner. Tu as ramené ton satané chat pestilentiel ici, sous mon toit, sans égard pour mon amour propre. Oui, je suis devenu un connard invétéré, sauf que ne pense pas que tu n’y ai pour rien, ma jolie, parce que je suis le fruit de tes actions » Sifflais-je d’une voix glaciale, des poignards dans mes yeux.
Un sourire sarcastique s’étire sur mes lèvres lorsqu’elle me répond avec sarcasme concernant la raison de ce repas de famille improvisé. Le Sultan n’aimait pas l’attitude et les décisions plus que discutables de sa fille, mais elle n’en restait pas moins sa seule enfant…officielle. Jamais il ne prendrait ma part contre elle. Peut-être allait-il nous annoncer qu’il en avait marre des tensions et que je devais partir? Après tout, Jasmine et Kabe avait un héritier et jamais j’en aurait un avec ma femme à moins de forcer son consentement. « Peut-être qu’il veut nous annoncer qu’il a fait tuer son fils bâtard il y a plusieurs années et qu’il compte faire la même chose avec le tient » Susurrais-je avec frivolité, comme si de rien était, alors que je venais de lâcher une bombe. J’ignorais si Jasmine savait son lien de parenté avec Jafar, mais comme ma rencontre précédente avec l’ancien grand vizir m’avait donné pleins d’élément pour faire souffrir la princesse, pourquoi ne pas les utiliser? Sauf que je me tends lorsqu’on parle de Kabe. Elle de voit même pas où est l’offense dans le fait d’habité sous le même toi que lui, en fait elle s’en fiche. « Tu es d’un égoïsme étonnant, Jasmine » Constatais-je à voix haute en regardant le paravent derrière lequel elle s’est cachée. Elle ne voyait pas le mal? Elle s’en foutait? En fait, elle devait espéré que je sois un jour tellement écœuré de l’humiliation permanente que je vivais au quotidien que je partirais de moi-même. [/b]« Tu sais ce que ça fait de se balader chez soi et de subir les remarques et les murmures de tous? D’être vu comme le mari cocu qui est si stupide et faible qu’il supporte que sa femme le trompe sous son toit? Mais bien sûr, toi tu t’en fiche, tant que tu peux continuer de te faire baiser par ton matou, tu es satisfaite »[/b] Sifflais-je en me levant.
C’est là que j’ai passé derrière le paravent, alors qu’elle était pratiquement nue. Elle se dépêche à enfiler sa robe avant que je lui attrape le poignet, mais alors qu’elle me demande de la lâcher, je le lui sers encore plus. Il est si frêle entre mes doigts que j’ai l’impression que je pourrais le lui broyer. « Ton amour pour lui est si fort qu’il t’ait impossible de l’effacer, mais celui que tu me portais lui, il a disparu si facilement. Tu me reproche une personnalité qu’on m’a imposé par une malédiction qui nous a tous transformé » Dis-je en ayant l’impression de me répéter encore et encore. Elle avait beau me dire que je ne facilitais pas la cohabitation, le fait qu’elle refuse de voir à quel point ses décisions étaient dévastatrices et ruinait ma vie la rendait encore pire que moi. Sans lâcher son poignet, je la plaque contre le mur afin de la coincé entre la structure du château et mon corps « Tu m’as juré amour, loyauté et fidélité Jasmine. Tu n’as aucune parole, aucun sens du devoir. Tu es aussi vil que ton putain de demi-frère. Non, en fait tu es pire que Jafar puisque lui au moins, il dit clairement qu’il veut nous faire du mal, toi tu es un serpent au visage d’ange. Tu m’as détruit Jasmine. Tu m’as complètement détruit. Garde-le ton putain de château et ton trône. Jamais tu ne pourras te marier avec Kabe parce que même si je disparais, tu seras toujours officiellement marié à moi »Dis-je rageusement avant de l’embrasser avec fougue. « Même si je quitte le palais, tu seras toujours à moi, tout comme ton fils puisqu’officiellement, il est de moi aux yeux du royaume. Dors les yeux ouverts ma belle, parce que ton calvaire ne fait que commencer » L’avertis-je en la relachant.
Elle voulait que je sois le méchant de son histoire et bien, je le
Sujet: Re: Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant FT. Jasmine Lun 20 Déc - 23:44
Le rêve bleu c'est de te pousser en bas de mon tapis volant ft @Asael C. Tucker
Il y a quand meme bien mieux pour commencer la journée que trouver mon mari, avec qui je ne suis plus, evidement, dans ma chambre des le reveil. Je ne sais pas attendre dehors que je me lève aurait pu être sympa, ce n'est pas comme si j'étais du genre a faire des grasses matinées quoi… Le pire c’est qu'à la base il devait juste me récupérer pour déjeuner mais qu’au lieu de ça il en profite pour me rappeler qu'à ses yeux j'étais une personne immonde, comme si la responsabilité de tous les maux de la terre m'appartenait. Je commence a rire moi aussi quand il dit que lui c'était de storybrooke, il avait une vision totalement égocentrée…
- D’accord et donc moi c'était de ma faute ? je te rappelle que tout s’est passé à storybrooke, qu'à cause de ce comportement que tu ne contrôlais pas je suis aller voir ailleurs, je suis tombée amoureuse et enceinte, à Storybrooke, tu sais ce que ca signifie ? qu'à l'origine c’est une suite d'événements hors de notre contrôle ! Alors certes en revenant il a fini par nous rejoindre ici car il s’agit de son fils et que je me refuse à l'en tenir loin ! Je t’ai laissé une chance, en revenant ici c’est avec toi que je suis revenue mais je suis sincèrement tombée amoureuse de lui, c'était pas prévu et je suis désolée de ça, j’aurais aimé que ca se passe autrement mais c'était pas le cas…
Oui je réalisais parfois que la situation devait être dure pour lui mais je suis censée faire quoi ? tenir Kabe loin de son fils ? quitter mon royaume ? J'étais régulièrement perdue dans les choix que je devais faire, de plus il ne m'avait jamais montré une once de désir à la réconciliation… Pour le moment je voulais juste savoir pourquoi mon père désirait nous parler mais comme d’habitude c’est de manière hautaine et dédaigneuse qu’il vint me répondre, les conversation devenaient de plus en plus difficile avec lui, je le regardais légèrement intrigué, comment ca un fils bâtard, qu’est ce qu’il était encore en train d’essayer de faire ?
- De quoi tu parles ? Mon père n’aurait jamais fait ce genre de choses ! Et je te conseil très fortement de parler autrement de mon fils, tu es loin de te douter de ce que la mère d’un bâtard pourrait faire pour son fils aladdin !
J'étais du genre douce, a ne rien dire, à toujours vouloir tenter d’arranger les choses mais il y a bien une chose a ne pas faire c'était de s’en prendre à mon fils, je n’aimais pas le ton qu’il venait employer en parlant de lui ! Sur le coup je ne comprenais pas forcément d'où venait le soucis, sérieusement il est juste auprès de son fils, en quoi ça le dérange sachant que lui et Kabe ne se croisent jamais ?
- Bon je n’avais pas forcément vu ça comme ça, je pensais surtout à Léo et à son besoin d’avoir son père à ses côtés… Il n’y a pas de murmure de couloir, les gens se fichent de savoir qui se rend ou aux côtés de qui. Aladdin mon objectif de base c'était de te garder en sécurité ici, tu garde une place importante pour moi même si notre couple n’existe plus… Je ne voulais pas te faire souffrir. Tu sais très bien que ça n'as rien à voir avec une simple histoire de baise, je n’ai jamais été comme ça !
J'étais derrière le paravent a me changer pour rejoindre le fameux déjeuner quand il vint me rejoindre, je me cachais avant de m’habiller en vitesse mais il venait de m’attraper le poignet assez violemment, je lui demande de me lâcher mais grimace quand il vient le serrer encore plus, il commence réellement à me faire mal par contre !, quelques larmes silencieuses commencent à couler sur mes joues
- Tu me fais mal ! tu sais très bien qu’il n’a pas disparu comme ça du jour au lendemain mais oui storybrooke en a effacé une partie ! Je te reproche rien je t’explique les faits ! La malédiction m’as été imposée à moi aussi tu sais ? je n’ai pas choisi la situation dans laquelle nous avons été jetés alors maintenant lâche moi !
Je tentais de me détacher de son emprise, tirant sur mon poignet, j’avais accentué les deux derniers mots de ma phrase pour tenter d’avoir un ton ferme… Ça ne semblait pas fonctionner beaucoup. Je me débattais plus violemment alors qu’il venait me plaquer contre le mur, pour le coup il commence sincèrement à me faire peur… au final je ne savais pas de quoi il était capable. Il recommence a me parler d’un demi-frère, de jafar plus exactement, je ne comprenais absolument rien et mes larmes coulaient sur mes joues alors que je tentais de lui échapper. J’allais rétorquer, tenter de répondre à ses paroles mais il vint m’embrasser de force, ça me dégoûtait. D’un coup de pied non loin de son entrejambe je devais le faire reculer sans le blesser avant de le gifler. La il était aller trop loin, on allait commencer à régler ça autrement je pense… Je pense qu’il ne réalise pas ce que Kabe serait capable de lui faire s' il apprenait cela. Il commencais a parler de mon fils et ca je ne pouvais pas l’accepter, frottant mon poignet je le fixais d’un regard noir
- Pour commencer la prochaine fois que tu me touches je te jure de bien viser ! Deuxiement ne t’avise jamais de t’approcher de mon fils car je te jure que je reduirais chacun de tes os en bouillie, c’est mon fils, il n’aura jamais rien a voir ni a faire avec toi meme si je dois te renvoyer a la rue avec ton singe stupide ! Je serais peut être toujours marié a toi mais je ne serais plus jamais tienne !
je m'éloigne de lui, je ne voulais pas qu’il me touche ni même qu’il reste à côté de moi. Je réfléchissais à ce qu’il disait, pourquoi parlait-il de Jafar comme de mon demi-frère, c’est impossible je suis fille unique, mon père me l’aurait dit non ?
- Concernant Jafar je n’ai aucune idée de ce que tu raconte, c’est impossible, je n’ai aucun frère, mon père me l’aurais dit, si c'était vrai il n’est pas au courant ! Je n’ai jamais voulu de mal à personne… maintenant laisse moi tranquille, allons prendre ce foutu déjeuner et ne nous parlons plus avant très longtemps …
Je ne voulais pas passer une minute de plus en sa compagnie alors autant expédier ce déjeuner que je puisse retourner auprès de mon fils et oublier ce moment affreux bien qu’au vu de la marque naissante sur mon poignet je n’avais pas fini d’entendre parler de cette histoire… Je préférais juste manger au plus vite pour me débarrasser de l’horrible gout de ses lèvres haineuse
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Sujet: Re: Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant FT. Jasmine Mar 28 Déc - 2:33
Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant
TW: Rp présentant des propos violents/vulgaires/mysogines ainsi qu'une certaine intention d'abus. Ne pas lire si vous n'êtes pas à l'aise avec ce genre de lecture.
En aucun cas, les propos évoqués dans ce rp ne sont le reflet de la joueuse quant à sa personnalité ou à ses pensées. Merci de dissocier le personnage du joueur si vous lisez ce rp.
Je déteste le fait d’être coincé ici avec elle. Je déteste le fait d’être marié à elle. Je déteste le fait de l’avoir tant aimé que la seule option possible pour éteindre ce feu dévastateur est de la détruire elle ou de me détruire moi. Avant Storybrooke, je ne me serais jamais posé cette question et je me serais tué pour lui offrir la vie qu’elle voulait auprès de l’homme qu’elle aimait sans qu’elle n’ait à s’inquiéter pour moi sauf que maintenant…les temps avaient changés et maintenant, je ne la considérais plus comme la personne la plus importante d’Agrabah. En fait, elle méritait de crever au caniveau avec les rats, pour avoir eut l’audace de m’humilier et de me faire souffrir. De toute évidence, elle semble être complètement blanche lorsque la conversation revient pour la énième fois sur tout ce qui nous sépare et nous divise depuis cette malédiction.
« TU NE M’AS JAMAIS LAISSÉ DE CHANCE! » Hurlais-je avec agressivité et violence. « Arrête de faire croire que tu m’en as laissé une alors que ce n’est pas vrai! Tu es revenu ici avec moi parce que tu savais ne pas en avoir le choix tout comme si tu ne savais pas si ton sac à puce voudrait encore de toi tout en ayant retrouvé son propre monde! » Crachais-je en renversant toutes les tables et les bureaux qui se trouvaient dans la chambre, détruisant tout irrémédiablement. Ce chat miteux aurait une sacrée surprise en revenant et en voyant leur putain de nid d’amour complètement saccagé. M’avait-elle laissé une chance, à notre retour, comme elle le prétendait? Non. Parce qu’elle avait pleuré à chaque instant son putain de voyou rempli de tatoue qui l’avait engrossé
Comme mon but était de faire mal à Jasmine et de faire exploser son petit monde parfait, j’ai craché la vérité que m’avait dévoilé Jafar quant au véritable premier héritier au trône d’Agrabah. Un long rire glacial et cruel sortit d’entre mes lèvres lorsqu’elle osa me menacer afin de prendre la défense de son fils. Ma main se posa sur sa gorge et mes doigts s’enfoncèrent dans sa chaire tendre et si fragile. Ce n’était pas assez pour être dangereux, mais suffisamment pour y laisser les marques de mes ongles pour quelques temps. « Et ne t’avise plus jamais de me menacer. Tu te crois redoutable, princesse? Que sais-tu de la violence, toi qui as grandi dans un palais doré? Aux jeux de la survie, contre moi, tu ne gagneras pas. Je n’ai rien à perdre alors que toi, tu as beaucoup que je peux t’arracher et détruire. Fait attention quand tu me menaces, car moi, je ne menace jamais. Je fais des promesses » Sifflais-je férocement, mes yeux plantés dans les siens afin qu’elle comprenne à quel point j’avais changé à jamais. Enfin…j’avais changé à jamais pour elle. Au fond de moi, le petit Aladdin vivait encore, mais jamais plus Jasmine ne le verrait. Elle s’était suffisamment trop moquée de moi. « Quant à ton demi-frère, demande au Sultan combien de gamin bâtard il a fait tuer avant qu’il ne parvienne à contrôler assez sa queue pour que tu sois conçu. S’il est honnête, tu découvriras très vite que vous êtes des connards de père en fille » Lâchais-je en griffant cette même gorge que j’avais autrefois tant embrassé.
« Je n’ai pas besoin de ta protection, Princesse. La seule chose dont on aurait dû me protéger c’est de toi et ta putain de manie de papillonné d’un mec à l’autre alors que tu es marié et que le divorce n’existe pas dans ce pays-ci. Il le vit bien, ton chacal, de savoir que tu seras marié à jamais à ma divine personne? Tu lui as raconté en détail toutes ces fois que je t’ai baisé à en faire trembler Agrabah avant son arrivé dans le décor? » Susurrais-je avec vulgarité, piqué dans mon orgueil. Pourquoi aurais-je besoin de protection. Pourquoi voudrais-je de SA protection?
Je la plaque au mur et je l’embrasse de force avec une férocité que je ne lui avais jamais démontré lors de tous nos moments intimes passés. Je la sens se débattre et je dois avouer que la sentir à ma merci m’excite encore plus. Sauf que cette garce fini par me donner un coup près de l’entrejambe, me faisant grogner de douleur. Je me courbe contre moi et je recule. « Putain, mais tu es complètement folle ou quoi? » Grognais-je de douleur avant de me redresser, encore plus en colère, mais l’esprit beaucoup moins échauffé. Jasmine avait toujours su éveiller la passion en moi, que ça soit positif ou négatif. Il n’y avait jamais eu de juste milieu et il était vrai que réfléchir quand j’étais dans cet état était très difficile. Je l’écoute à nouveau me menacer et je l’applaudis avec sarcasme. « Tes menaces sont vides de sens. Tu sais très bien que tu n’as pas le pouvoir de me jeter à la rue, princesse, sinon ça serait fait depuis longtemps. Tu n’es qu’une femme et dans ce monde-ci, si je décide de te foutre dans un bordel en tant que mari, personne ne pourra dire le contraire. Tu as une grande gueule, mais personne pour t’écouter » Grognais-je à mon tour en me retenant pour ne pas lui en foutre une en plein visage. « Je vais me faire un plaisir de réduire ton fils en esclavage et le vendre à un marchand si tu ne deviens pas plus coopérative avec moi et tu sais que je le ferai » Rajoutais-je alors qu’elle s’éloignait. Je la saisis de nouveau par le poignet avec force et je l’entraine derrière moi avec autorité. « Allons chérie, colle un magnifique sourire sur ton visage, le peuple et ton père réclame le couple royal » Dis-je avec sarcasme sans la lâcher. Elle ne pourra pas se sauver. Pas tant que je ne déciderai pas de quitter ce château….ce qui serait pour bientôt…ou pas.
Sujet: Re: Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant FT. Jasmine Lun 17 Jan - 15:42
Le rêve bleu c'est de te pousser en bas de mon tapis volant ft @Asael C. Tucker
Je ne suis pas parfaite, je ne l’ai jamais été et je ne le serais jamais mais il ne faut pas non plus exagerer, je suis loin d ‘etre la pestiferée qu’il semble ennoncée. Je suis loin d’etre la catin qu’il pense voir, je suis juste une femme qui est tombée amoureuse alors que son couple ne fonctionnais plus. D’autant plus que c'était à Storybrooke, que comme lui j'étais sous le coup de la malédiction mais non il n’y a que pour lui que ca rend les choses excusable ! Je lui avais laissé une chance même s' il refusait de le voir, alors certes ce n'était pas toujours facile de laisser une chance, j’avais souvent pensé à Kabe mais j’avais sincèrement fait des efforts mais ça n'avait pas fonctionné. J'explose de rire alors qu’il se mettait à me crier dessus
- Tu es un idiot ! J’avais le choix de te laisser cette chance, j’ai décidé de m'éloigner de Kabe, j’ai décidé de lui mentir sur ma grossesse, de dire qu’il n'était pas de lui parce que je voulais nous laisser une chance ! Je n'ai jamais dit que ce serait facile et que tout redeviendrait comme avant ! mais j’ai essayé et tu t’en rends même pas compte, tu es tellement borné et figé sur l’idée que je suis la fautive que tu n’arrive même pas à voir les efforts que je faisais ! Il voulait de moi, il voulait que je fuis avec lui mais c’est toi que j’avais choisi idiot !
Je reculais alors qu’il venait retourner ma chambre, je reculais légèrement, le laissant retourner la pièce, je n’avais pas vraiment envie de m’interposer pour le coup, moi qui n’aime pas spécialement la violence je n'étais vraiment pas à mon aise actuellement… Je ne comprenais pas vraiment pourquoi il me parlait de demi-frère par contre, mon père n’aurait jamais été capable de cela. Je réagissais surtout au message qu’il voulait faire passer sur mon fils, je ne pouvais pas l’accepter, je l’avais menacé mais sa réaction fus un peu trop violente pour moi, j’eus juste le temps de sentir ses doigts s’enfoncer dans la chair de mon cou, me laissant une légère toux de surprise. Mon sang se glaça à ses mots, il n'avait absolument plus rien à voir avec le Aladdin que je connaissais, celui que j’avais épousé. Je le repoussais, mes larmes coulant à mes joues alors que je tentais de mettre les mots dans l’ordre pour lui répondre mais j’avais du mal, j’osais à peine le regarder dans les yeux, ma main a mon cou, passant mes doigts sur les traces laissées par les ongles d aladdin
- Tu ne sais pas ce dont je suis capable, pas quand on touche à mon fils.. Aladdin ce n’est pas toi tout ca… tu ne peux pas avoir tant changé… Pour mon père il n’aurait jamais fait une chose pareille ! Ma mère n’as jamais pu avoir d’autre enfants c’est aussi simple que cela ! Il ne serait jamais aller voir ailleurs, il aimait ma mere…
je comprenais qu'il soit en colère mais de la a vouloir détruire tout ce que nous avions auparavant construit c etait stupide… pourquoi ne pas simplement se séparer et soit garder un bon terme soit ne plus se parler comme la plupart des gens ?
- tu es tellement borné… appelle ca comme tu veux mais je ne papillonne pas, et ne fait pas comme si tu étais resté fidèle à Storybrooke ça m' étonnerait fortement … Le mariage ne signifie rien s' il n' est pas consumé et croit moi que le lit conjugal est plus que bien utilisé ! Aujourd'hui ce n est pas toi qui fait trembler les murs du château, ce n est pas ton nom que je crie dans ce merveilleux lit alors qu'importe combien de fois tu m'as "baiser" dans ce lit, tu ne l égalera jamais dans aucun domaine aladdin. Je suis sûre que tous les gardes du château m' entendent crier son nom alors que tubes pitoyablement seul …
je n etais pas sur que le provoquer soit une bonne idée mais je commençais a en avoir marre de cette situation, de toute façon quoi que je fasse il me verrait comme une putain, autant lui donner ce qu'il veut. Je crois que la goutte de trop ça été de le voir l' embrasser de force, il avait de la chance que que ne soit pas violente car j' aurais fait en sorte de bien mieux viser …
- C'est moi qui suis folle ? Sérieusement ? Tu as surtout du bol que j' ai viser à côté car la prochaine fois je te rate pas...
mes mains tremblaient principalement à cause de la peur mais aussi de la colère. Je serrais les poings, il allait bien trop loin, il voulais que je cesse de le menacer a priori, il parlait une fois de plus de mon fils, menaçant de le rendre en esclavage et ce fus trop, mon poing venais rejoindre son visage. Je frottait ma main, je m'étais fait mal en lui mettant un coup mais la c est trop, je refuse de supporter ça plus longtemps
- vient donc, expliquons ensemble à mon père ce que ses marques dans mon cou et à mon poignet signifient… on verra qui finira esclave. Je t' avais prévenu de ne plus parler de mon fils, imagine si tu essayais de toucher à un seul de ses cheveux !
je prends une grande inspiration et m'éloigne de lui, je voulais juste partir, ne pas rester dans la même pièce mais une fois de plus il agrippa mon poignet. Le coup de poing était un peu parti seul alors pour le coup oui je redoutais sincèrement les représailles… il me traîne à sa suite, je ne comptais pas aller me mettre à table comme si de rien était non
- il en est hors de question, je refuse de faire semblant plus longtemps, pas avec un homme comme toi.
je me débattais simplement pour ne pas avancer, il me tenait le poignet trop fermement pour que je puisse m'échapper, ce n' est pas pour autant que j'allais le suivre et faire semblant face à mon père. Pas après ce qu'il venait de faire en tout cas… si mon père refusait de comprendre il ne me resterait qu'à faire mes valises et partir avec ma famille..
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Sujet: Re: Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant FT. Jasmine
Le rêve bleu, c'est de te pousser en bas de mon tapis volant FT. Jasmine
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