Un toit sur la tête / connor

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Un toit sur la tête

C'est un peu compliquer a expliquer, disons que j'ai 28 ans maintenant et que je suis enfermée dans un hôpital depuis une dizaine d'année, j'ai vécu dans des foyer pour les enfants ayant des troubles avant cela. Bref je suis la aujourd'hui, dehors dans la rue, seule parce que je viens d'être libérer de l'hôpital pour je ne sais quel raison. L'on m'as fourni une robe légère et des chaussures mais pas d'endroit ou vivre ni argent pour me nourrir, je ne sais pas pourquoi je suis sortie ni comment je vais vivre dehors, je n'ai pas vu l'extérieur de l'hôpital depuis si longtemps... Alors que je marche seule dehors une voiture passe, me faisant sursauter, j'étais dans un environnement presque inconnu et j'étais terrorisée. Histoire de combler ma peine il se mis a pleuvoir, je me trouvais rapidement trempée, quelques larmes ruisselant sur mon visage aux cotés des gouttes de pluie. J'avais arrêter de bouger, je restais figer sur le trottoir a regarder autour de moi ce qu'il se passais. Je suis heureuse d'être sortie de la n'en doutez pas un instant mais je suis perdue, je ne sais pas ou aller ni qui voir. Pour vous contextualiser la raison de mon enfermement je souffre d'amnésie, je suis totalement incapable de vous donner n'importe quel détail de ma vie, mes souvenirs les plus lointain remontent a l'hôpital, je ne sais rien de mon enfance, de ma famille ou de moi même d'ailleurs. je sais juste que parfois dans mes rêves ou mes cauchemars j'ai l'impression de vivre la vie d'une autre personne, comme si mon cerveau essayer de se souvenir mais j'ai surtout l'impression de vivre la vie d'une autre personne. Parfois ses rêves sont si réel que je n'arrive pas a revenir a ma réalité, c'est sans doute pour cela que je suis restée enfermer si longtemps, j'avais tendance a me blesser pour vérifier si je rêvais ou non ... peut être que je suis juste folle en effet, comme on me l'as souvent répéter. Donc je suis ici dans la rue, trempée et dans nul part ou aller, je trouve que je débute drôlement bien ma vie en solitaire. Il y a beaucoup de monde qui marchent, voir cours pour rentrer se mettre a l'abri mais j'ai l'impression que personne ne me vois, je suis comme invisible, je suis trempée et frigorifier, je n'ai même pas un manteau et personne ne remarque mon existence, je ne sais pas du tout ou aller. Au final alors que je recommence a marcher tête baisser je finis par foncer dans un jeune homme, levant la tête et lui souriant du mieux que je le pouvais actuellement, parlant juste d'une petite voix

- pardon je ne vous avez pas vu

- je fus surprise d'entendre une réponse, il fallait donc que je fonce dans les gens pour ne pas être ignorée a priori

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Un toit sur la tête - feat Ciara

Excepteur sint occaecat cupidatat non proident

J'avais travaillé à l'hôpital une grosse partie de la journée. Je devais autopsier un homme étant décédé sur la table d'opération. Mon travail était de savoir si cela venait d'une complication ou d'une erreur de la part du chirurgien. Croyez-moi ce n'est jamais évident de remettre en cause le travail d'un médecin, mais c'est vital, on ne peut pas se permettre d'avoir des médecins enchaînant les erreurs. J'avais déjà mis fin à la carrière de deux chirurgiens qui avaient pris des risques inconsidérés pour leur patient. Je savais ce que c'était que de perdre un patient sur la table, c'est d'ailleurs ce qui m'avait fait arrêter le métier de chirurgien. Je ne supportais pas le fait d'avoir laissé la vie de cette jeune femme me filer entre les doigts. J'ai longtemps été hanté par un sentiment d'impuissance, d'avoir mal fait quelque chose, mais à l'époque tout le monde me l'avais dit, j'avais fait tout ce qu'il fallait. La jeune femme avait simplement eu des complications vis à vis de l'anesthésie, mais c'était pareil pour moi. Je préférais donc travailler avec des cadavres, moins de risque de les tuer. Celui devant moi me raconta son histoire. C'est une image évidemment. Une fois recousu j'avais tapé mon rapport, le médecin était hors de cause cette fois-ci, c'était un cailloux sanguin le coupable. Il était déjà tard quand je sortis de là, la nuit était tombée et la pluie n'allait pas tarder à en faire de même. Je devais me dépêcher si je ne voulais pas finir trempé. Bon c'était trop tard puisque deux minutes plus tard elle tomba en trombe sur la ville. Accélérant le pas j'esquivais une personne de peu, mais rentrer dans une autre. " pardon je ne vous avez pas vu." Elle était en robe et semblait frigorifiée. Qu'est-ce qu'elle faisait en plein milieu de la rue ? "C'est moi qui suis désolé. Vous êtes trempé et vous tremblez tout va bien ? " Je retirais ma veste et la lui passais sur les épaules. Elle semblait complètement perdue. Je me retrouvais en t-shirt et c'est vrai qu'il ne faisait pas très chaud. C'est à ce moment-là que je la reconnais, je l'avais déjà croisée à l'hôpital. Un cas d'amnésie que personne m'expliquait, je ne savais pas qu'ils avaient fini par la laisser sortir. "J'habite pas très loin, ça vous dit de venir au chaud et de discuter autour d'un chocolat ?" Je lui souris doucement, j'avais l'impression qu'elle en avait grandement besoin.

acidbrain

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Un toit sur la tête

feat : @Connor I. Bones

Je ne saurais vous décrire ce que je ressentais a ce moment, j'avais l'impression d'arriver dans un lieu inconnu, c'était relativement le cas d'ailleurs, je ne savais rien de cette ville a part ce que quelques médecins avaient bien voulu venir me raconter, j'avais alterner entre l'asile et l'hôpital pour des examens mais aucun n'avais abouti a quelque chose. Au final ils avaient décidé de me libérer sans que je n'en connaissent la raison, le problème c'est qu'ils m'avaient lâcher comme ca , sans rien, sans informations, sans toit donc j'étais un peu perdue. J'errais dans ma robe légère avant que la pluie ne se mette a tomber, j'étais terrorisée a l'idée de mourir seule dehors. Au finale j'avançais vite pour ne pas mourir de froid déjà, il c'était mis a pleuvoir et j'étais trempée, je manquais de foncer dans un jeune homme, m'excusant rapidement de lui avoir foncer dedans, je tremblais de froid et il me demandait si tout aller bien, je ne savais pas vraiment quoi répondre en réalité

- Je... oui j'ai juste un peu froid je pense, je cherchais un endroit ou m'abriter pour la nuit en réalité

Je ne cherchais pas a attirer la pitié, je répondais honnêtement , je ne savais pas vraiment faire autrement. J'eus un mouvement de recul quand il voulu me mettre sa veste, j'étais pas très habitué au contact humain, j'étais pas forcement a l'aise sur le coup. Je remarquais cependant qu'il ne voulais aucun mal alors je e laissais faire, soupirant légèrement sous la chaleur de la veste. Il me proposais d'aller boire un verre, je le regardais en coin, son visage me disais quelque chose

- Merci pour la veste mais vous allez avoir froid après. Je ne voudrais pas m'imposer vous êtes déjà bien gentil. D'ailleurs j'ai l'impression de connaitre votre visage mais je ne suis pas certaine, comment ca se fait ?

après tout il y avais peu de chance qu'il vienne de mon passé, je ne l'aurais supposément pas reconnu. la pluie continuais de nous tomber dessus alors je prenais doucement son bras, le tirant vers un endroit un peu a l'abris de l'eau, au moins le temps de prendre une décision sur la suite de la conversation

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Un toit sur la tête - feat Ciara

Excepteur sint occaecat cupidatat non proident

J’avais hâte de rentrer chez moi ce soir-là. La pluie venait de tomber tout à coup sur la ville et en quelques secondes je m’étais retrouvé trempé. Je n’étais qu’à deux rues de chez moi alors j’allais essayé de faire vite pour rentrer. Je n’avais pas prévu de rentrer dans une jeune femme. Ce qui m'interpella tout de suite c’était sa tenue et le fait qu’elle tremble. Son regard aussi semblait complètement perdu. Je ne sais pas pourquoi je savais que je devais voir si je ne pouvais pas lui venir en aide. Les autres autour de nous courraient sans y prêter attention. Je lui ai demandé si ça allait. “Je... oui j'ai juste un peu froid je pense, je cherchais un endroit où m'abriter pour la nuit en réalité.” Je lui aurais bien proposé de venir chez moi, mais je ne la connaissais pas et je ne voulais pas qu’elle me prenne pour un gars profitant de la situation loin de là. “Y a Granny qui loue des chambres pas très loin d’ici si vous le souhaitez. Prenez ma veste pour aller finir en hypothermie à ce rythme.” J’avais retiré ma veste pour la passer sur ses épaules, quand elle se recula légèrement je lui souris. “ C’est juste une veste ne vous inquiétez pas.” Elle finit par accepter. En quelques instants c’était moi qui avait froid, mais j’essayais de ne pas lui montrer, elle en avait plus besoin que moi à l’heure actuelle. Je lui proposais de me suivre pour boire un chocolat chaud et se réchauffer un peu. “ Merci pour la veste mais vous allez avoir froid après. Je ne voudrais pas m'imposer, vous êtes déjà bien gentil. D'ailleurs j'ai l'impression de connaitre votre visage mais je ne suis pas certaine, comment ça se fait ?” Je lui souris doucement. “Je vous ai déjà croisé à l'hôpital, je suis Connor, médecin légiste. Vous ne me dérangerez pas promis, j’habite à deux rues d’ici, vous pourrez vous réchauffer et je pourrais même m’occuper de vous trouvez un lieu où dormir en attendant.” Elle m’avait tiré vers un endroit plus ou moins à l'abri de la pluie. Bon cette fois je commençais à trembler. "Promis, je ne suis pas un psychopathe. Enfin c’est certainement ce qu’un psychopathe vous direz alors.” Je me mis à rire doucement essayant de la détendre un peu. Je passais mes mains sur mes bras histoire de me réchauffer un peu sans grand succès en réalité. “Je voudrais pas insister, mais on risque une pneumonie à rester ici, allez suivez moi.” Je lui attrapais la main doucement et me mis à marcher rapidement jusqu’à mon appartement à ses côtés. Une fois à l'intérieur, je me dirigeais tout de suite dans la salle de bain pour attraper des serviettes, je lui en amenais une la plaçant autour d’elle. “Je peux vous prêter des vêtements secs si vous le désirez, bon ce sera pas de la haute couture, un jogging et un t-shirt, mais ça sera peut-être plus confortable qu’une robe mouillée.” Je lui indiquais la route de la salle de bain lui montrant où étaient mes affaires en passant. J’allais dans ma chambre et me sécher changeant moi aussi de vêtements, ça faisait du bien d’être au sec. Je suis retourné en cuisine pour nous préparer des chocolats chauds.

acidbrain

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