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 Mary Cheng alias Ladybug

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MessageSujet: Mary Cheng alias Ladybug   Mary Cheng alias Ladybug EmptyVen 7 Juil - 2:50


Mary Cheng
alias Marinette Dupain-Cheng (Ladybug)





Il était une fois..




Hey, je m’appelle Marinette Cheng née Dupain mais on m'appelle surtout Mary, depuis que j'ai emménagé à Storybrooke. Je préfère taire les autres surnoms qu'on me donnait avant mon déménagement. Ma mère préfère m'appeler Hēi māo contre ma volonté. J'ai fêté mes 18 ans. Je viens de France où je suis né le 20 septembre 2001 à Paris. J'ai des origines chinoises qui me viennent de ma mère. Aujourd'hui je suis étudiante en écriture de scénario. En secret, je fais partie d'une organisation secrète appelée "Ladybug" dans laquelle je suis formée pour démanteler les mafias et les réseaux terroristes à l'international. et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime les arts martiaux et la plupart des sports de combat asiatiques. J'adore faire du parkour même si ma mère me demande d'en faire le moins possible. Pendant mon temps libre, je peux passer des heures à jouer à des jeux vidéos. J'aime tous les genres de jeux même si j'ai une petite préférence pour les jeux d'énigmes. Comme j'ai eu une enfance plutôt solitaire, j'ai voulu tester beaucoup d'activités en pensant que ça me rendrait plus intéressante aux yeux des autres. Je me suis intéressée au dessin, à la lecture, au cinéma, à la musique et même à la mode parisienne alors que ce n'était pas mes passions initiales. J'aime tout ce qui touche à mon pays d'origine, la Chine. Je sais d'ailleurs couramment parler le français, l'anglais et le chinois. À mon arrivée à Storybrooke, j'ai marqué mon nouveau départ par deux tatouages que j'ai dessiné moi-même : celui d'une coccinelle sur ma cheville gauche -que je ne montre jamais- et celui d'un chat noir sur un petit nuage dans mon dos. C'est deux tatouages ont beaucoup de signification pour moi. Je suis hétérosexuelle  et célibataire.

Du point de vue caractère je suis plus méfiante depuis que j'ai quitté la France. J'ai beaucoup de mal à donner ma confiance aux autres mais ça ne m'empêche pas d'être toujours très douce et gentille, c'est dans ma nature. Je me mets rarement en colère, les seules choses qui me mettent hors de moi sont l'injustice et le harcèlement. Étant toujours très timide et maladroite, j'ai au fil du temps eu de plus en plus de mal à me faire des amies et suis devenue un peu asociale. Je manque de confiance en moi et me trouve faible. Ma formation inclut un énorme travail sur moi-même, notamment sur mes nombreuses phobies. Pendant mon adolescence, j'ai développé mon arachnophobie, mon aquaphobie et ma claustrophobie. En amitié, je sais que je peux être très dévouée et loyale. J'aime aider les autres, c'est un peu une vocation malgré moi. Quand on me donne des responsabilités, je peux me montrer très sérieuse et appliquée mais aussi un peu nerveuse. J'essaye de devenir aussi mature que ma mère mais j'agis parfois de manière impulsive, surtout dans l'urgence. Pendant mes secondaires, je ne suis tombée qu'une fois amoureuse et je l'ai amèrement regretté. Depuis, je me contente de dire que je ne crois pas en l'amour même si, au fond, je suis bien trop rêveuse pour ne plus du tout y croire. J'ai une vision plutôt traditionnaliste de mon avenir et je sais que cette vision me vient de ma mère, l'éducation chinoise pouvant être plutôt stricte.

On m'a déjà dis que je ressemblais à Aya Shalkar j'en suis plutôt fier. J'ai trouvé mes images pour ma présentation sur tumblr. J'aimerais faire partit du groupe justice for us.


Marinette Dupain. C'est le nom que je portais quand je suis née le 20 septembre en 2001. Mon père était boulanger, nous vivions à l'étage d'une des meilleures boulangeries de la capitale de France, en toute modestie. Quand j'étais petite, je ne comprenais pas le métier de ma mère. Elle était peu présente, toujours en voyage pour son travail. Ce n'est pourtant pas mon père qui s'est occupé de mon éducation, il a toujours été plus doué avec la pâtisserie qu'avec les enfants. Je l'aimais, tout de même, et je sais qu'il avait beaucoup d'affection pour moi. Le peu de temps où ma mère était présente, elle était mon exemple. Toujours douce, tournée vers les autres et organisée, je savais que je voulais devenir comme elle. Si je parlais principalement français, ma mère m'a toujours parlé chinois, me permettant d'être bilingue dès mon plus jeune âge.

Quand je suis entrée à l’école, mes parents se sont étonnés de voir que je ne me faisais pas d’amis. Je n’étais pas seulement timide, j’étais déjà extrêmement maladroite. Selon les dires de ma mère, je ne pensais pas une journée sans faire de bêtises inconsciemment. Je devais être un cas désespéré pour mes professeurs mais ce n’est pas vraiment de cela que je me souviens. Très vite, les élèves de ma classe ont commencé à m’éviter en prétendant que j’attirais la malchance. Je ne pouvais pas leur en vouloir parce qu’en quelque sorte, ils avaient raison. Je ne pouvais pas leur en vouloir, chaque fois que j’entrais dans une pièce, une série de catastrophes arrivait et c’était toujours de ma faute. Ça n’a d’ailleurs pas vraiment changé… Pendant mes études primaires, mes camarades m’ont affublées de beaucoup de surnoms moqueurs et très peu flatteurs. Celui qui m’a le plus collé à la peau et qui est le moins péjoratif était « Chat Noir ».

Petite, je n’étais pas assez forte. L’isolation et les moqueries me touchaient et me blessaient. Au lieu de prendre confiance en moi, je devenais encore plus nerveuse à l’école et qui dit nerveuse, dit encore plus maladroite. J’avais une bonne relation avec mes parents et j’ai d’abord tenté d’en parler à mon père avant que, mal à l’aise, il me redirige vers ma mère. J’attendais un petit peu de compassion, de bons conseils, peut-être même une intervention pour que ça cesse mais je n’ai rien obtenu de tout ça. Au lieu de ça, ma mère m’a dit que ça me rendrait plus forte, que je me forgerais une armure des insultes et que ça finirait par ne plus me toucher. Pour souligner sa théorie, elle n’a pas eu de meilleure idée que de me surnommer « Hēi māo », Chat noir en chinois. J’ai très vite compris que les choses n’allaient pas aller en s’arrangeant.

Les seuls bons moments que je retiens de mon enfance sont ceux où j’apprenais à cuisiner avec mon père. Je n’invitais jamais aucun ami à la maison tout simplement parce que je n’en avais aucun. Je préférais rester dans ma chambre. J’aimais faire mes devoirs mais je préférais davantage jouer aux jeux vidéo. Ma mère me disait toujours que ça m’abrutissait mais ça me permettait de m’évader dans un monde où je pouvais être une héroïne pleine de pouvoirs et surtout pas maladroite. Je m’évertuais à rester optimiste, à penser que mes études secondaires se passeraient mieux et que mes camarades se moqueraient moins de moi. Je pense que je me montrais plus idéaliste qu’optimiste… La suite m’a prouvé que je n’aurais pas dû. J’avais décidé de ne plus en parler à mes parents, ça ne changeait rien de toute façon.

En entrant au collège, je me suis retrouvée en classe avec des camarades de primaire. Il ne leur a pas fallu longtemps pour raconter à tout le monde ma légendaire maladresse. Si je pensais qu’une fois plus grande, les surnoms péjoratifs ne seraient qu’un lointain souvenir mais ma vie à l’école est devenue un véritable cauchemar. J’aurais préféré qu’on continue de m’appeler Chat Noir et qu’on me montre du doigt en rigolant mais c’était sans compter Chloé et Lila. Je n’ai jamais compris ce que je leur avais fait pour qu’elles me détestent à ce point. Chloé me menait la vie difficile en primaire mais avec Lila, c’était bien pire. Je savais que je n’avais rien fait pour leur déplaire, que je n’étais qu’une adolescente très maladroite mais pas méchante. Il n’y avait aucune raison pour que Lila et Chloé m’en veuillent. Pourtant, je me remettais sans cesse en question pour comprendre ce qui leur déplaisait chez moi.

J’allais avoir 15 ans quand le pire est arrivé. J’étais en 3ème et je n’attendais que la fin de l’année pour changer d’école en allant au lycée. Je n’osais plus parler en classe, j’osais à peine venir à l’école puisque, dès le matin, je recevais des messages me menaçant de ce qui allait m’arriver. J’étais terrorisée et je n’osais pas en parler aux personnes qui semblaient les plus gentilles dans ma classe. Je savais que Lila et Chloé feraient tout pour que je sois toujours isolée. Je me détestais d’être si faible et de ne jamais trouver la force de me rebeller contre elles. Je ne voulais plus en parler à ma mère pour ne pas la décevoir. Elle me donnait toujours l’impression d’être invincible et prête à faire face à tous les problèmes éventuels. Les rares fois où elle était à la maison, je voulais profiter de sa présence sans lui parler de mes problèmes.

Je n’aurais jamais cru que ça puisse aller si loin. Elles s’amusaient souvent à provoquer des catastrophes pour me les mettre sur le dos quand je m’évertuais à être plus prudente. Si mes professeurs m’appréciaient au début, ils ont vite fini par m’éviter à leur tour quand plusieurs de « mes » maladresses se sont retournées contre eux. J’étais à bout, je devais aller aux toilettes pendant les cours pour éviter que Lila et Chloé m’y bloquent et je ne mangeais même plus à la cantine pour éviter de me retrouver couverte de nourritures « par ma faute ». Ça n’aurait pas pu être pire, mais ça l’a été. Je ne pense pas pouvoir rencontrer des filles plus diaboliques qu’elles. J’avais encore 14 ans quand elles ont créé un compte à mon nom sur les réseaux sociaux pendant les vacances d’hiver. Je ne l’ai appris qu’en revenant à l’école, j’ai très vite compris que quelque chose n’allait pas quand tous mes camarades me dévisageaient et que le proviseur m’attendait de pied ferme. Ce compte usurpant mon identité parlait publiquement de tout ce que « je » détestais chez mes camarades, mes professeurs et mon école. J’ai été convoquée dans le bureau avec mes parents -ou plutôt mon père- et j’ai découvert tous les horribles propos qu’on m’accusait d’avoir tenu. J’ai tenté timidement de me défendre mais je n’avais aucune preuve que ce n’était pas moi puisque tous mes camarades avaient été visé par les insultes… Même Lila et Chloé, bien sûr.

La sanction a été sans équivoque : j’ai été renvoyée. Mon père ne me croyait pas, je voyais dans son regard que je l’avais déçu. Je craignais la réaction de ma mère plus que tout. J’avais tout perdu, j’avais subi tout ça pour ne même pas réussir à terminer mes études dans mon collège. À cause de ces deux filles, j’ai failli me noyer, j’ai raté des cours en étant enfermée dans les toilettes et j’ai même mangé des araignées à la cantine… Je pensais mériter de m’en sortir après toutes ces épreuves mais je me retrouvais renvoyée. Chez moi, rien n’allait plus. Je restais cloîtrée dans ma chambre mais ça ne m’empêchait pas d’entendre les disputes incessantes de mes parents. Ma mère reprochait à mon père de s’être mal occupé de moi tandis que lui prétendait que j’étais ainsi à cause d’elle. Je sentais que ça allait mal finir et tout était de ma faute, tout était toujours de ma faute.

J’ai repris l’école un petit mois plus tard pour terminer le collège -ma mère semblait tant y tenir. Dans cette nouvelle classe, pas de Chloé ni de Lila mais ce n’est pas pour autant que j’ai réussi à me faire des amis. Je me suis enfermée dans ma bulle pour me protéger de toutes les moqueries, je ne voulais pas croire que mes nouveaux camarades puissent être différents. Ce n’est pas parce que je suis rentrée à l’école que les disputes ont cessé. Ma mère partait moins souvent pour me surveiller et mon père l’avait évidemment mal pris. Un soir, après une énième dispute, la porte d’entrée s’est claquée, me poussant à sortir de ma chambre. Je n’ai retrouvé que mon père, seul. Il m’a annoncé que le lendemain, j’irais vivre ailleurs avec ma mère.

Je n’ai plus jamais revu mon père après mon déménagement et ça m’a fait beaucoup de mal. Je savais que notre famille n’était pas toujours heureuse mais je pensais qu’il tenait suffisamment à moi pour ne pas couper les ponts du jour au lendemain. Comme toujours ma mère avait l’air de parfaitement calme, comme si elle contrôlait parfaitement les événements alors que j’étais plus que chamboulée. Après leur séparation, nous avons un peu discuté, ma mère et moi. Pour la première fois depuis mon renvoi, elle m’a assuré qu’elle savait que je n’étais pas l’auteur du compte insultant mon ancienne école et mes camarades. Savoir qu’au moins une personne me croyait m’a rassurée.

J’ai pu terminer mon année au collège plus tranquillement. Je ne me suis pas fait plus d’amis et je me suis concentrée sur mes cours et mes examens. Je voulais faire honneur à ma mère et la rendre fière de moi. Je ne savais pas du tout dans quel lycée j’allais m’inscrire après cela et une angoisse restait sans cesse dans un coin de ma tête : celle de peut-être me retrouver une nouvelle fois dans la classe de Lila et Chloé. Je ne me doutais pas qu’il n’y avait aucune chance pour que ça arrive et pour cause : ma mère avait décidé que nous allions déménager aux États-Unis. Par la même occasion, elle m’a expliqué avec beaucoup de sérieux le métier qu’elle faisait. Je m’étais toujours imaginé un grand nombre de métiers possibles mais je n’avais jamais pensé qu’elle pourrait travailler dans une organisation secrète internationale appelée « Ladybug ». Je suis tombée des nues en apprenant qu’elle allait me former pour qu’à mon tour, je rejoigne cette organisation. Moi, Marinette Dupain alias la fille la plus maladroite de France, capable de devenir un agent secret ?

Eh bien, oui. En quittant la France, j’ai pris le nom de famille de ma mère à sa demande. J’avais l’impression d’être complètement perdue alors je la laissais gérer ma vie. Je n’avais que 15 ans et j’avais l’impression qu’on m’en demandait beaucoup trop. Je ne me sentais pas à la hauteur. Nous avons emménagé dans la ville de Storybrooke et pour ne rien arranger, je ne connaissais rien à l’anglais. J’ai difficilement continué mes études et il m’a fallu une bonne année pour bien maîtriser cette nouvelle langue. Je voulais que ça se passe mieux à l’école alors j’ai mis les bouchées doubles. Comme à Paris, j’ai essayé d’être plus intéressante que je ne pense l’être. J’ai continué à faire de la musique, je me suis renseignée sur la mode, la musique et les films américains. Ce que je continuais à préférer étaient de loin les jeux vidéo et la lecture française. Les élèves de ma classe semblaient vouloir apprendre à me connaître et j’ai petit à petit essayé de m’ouvrir à eux. Mon prénom semblait trop difficile à prononcer pour eux alors ils l’ont contracté en « Mary » que j’ai décidé d’adopter pour être acceptée.

À côté de ma vie de lycéenne, ma mère m’a fait découvrir son métier. J’ai appris les objectifs de « Ladybug » et à quel point c’était important comme travail. J’ai commencé à apprendre les sports de combat en particulier les arts martiaux. Il m’a fallu énormément de temps pour commencer à m’améliorer à cause de ma maladresse qui exaspérait sans cesse ma mère. Je découvrais un nouveau monde qui m’angoissait terriblement. Je ne me sentais pas à la hauteur pour devenir un agent aussi parfait que ma mère semblait l’être. Je sais que je l’ai déçue un grand nombre de fois mais j’ai essayé de ne pas abandonner. Pendant trois longues années me séparant de la fin de mes études secondaires, j’ai essayé de gérer ma vie de lycéenne et ma formation dans l’agence. Petit à petit, j’y ai pris goût. Toujours aussi maladroite et timide, je pense malgré tout m’être approchée de ce qu’est un bon agent.

À mes 18 ans, je suis officiellement devenue une membre de « Ladybug » et par la même occasion, on m’a tatoué une petite coccinelle sur la cheville. Je ne me sens pas vraiment prête mais je vais devoir faire mes preuves pour la première fois. Ma mère est partie en voyage pour démanteler une mafia en Chine et de mon côté, j’ai reçu ma première mission : obtenir des renseignements sur une mafia se trouvant ici-même à Storybrooke. Je vis seule dans l’appartement que ma mère nous a acheté il y a trois ans et je me suis inscrite dans une université pour y apprendre l'écriture de scénario. Dans l’agence, j’ai fait des rencontres et me suis rapprochée de personnes qui ne se moquent pas de ma maladresse et j’apprends enfin à prendre confiance en moi. J’ai enfin accepté cette partie maladroite et timide de moi. Pour me le prouver, je me suis fait un second tatouage sur l’épaule, celui d’un petit chat noir sur un nuage. Au fond, je rêve de rencontrer un garçon, un vrai prince mais je sais que je ne dois pas me distraire de la mission que « Ladybug » m’a donnée. Je sais comment ça a fini entre mes parents et je ne veux pas vivre la même histoire.





   

Il était deux fois..




Hey, je m’appelle Marinette Dupain-Cheng mais on m'appelle aussi Dupain-Cheng, la boulangère, rien de très reluisant.. Sous mon identité secrète, je me fais appeler Ladybug même si un certain chat adore m'appeler My Lady ou Buginette. J'ai fêté mes 20 ans. Je viens de Paris en France mais j'ai des origines chinois. Aujourd'hui je suis étudiante dans le but de devenir créatrice de mode de ma propre marque et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime Adrien? Mh, reste concentrée, Marinette. Je n'aime pas QUE lui mais je dois avouer que passer du temps avec lui est une de mes passions. J'adore la mode et m'intéresse à toutes les créations et les marques. Ce que j'aime, c'est créer mes propres vêtements et accessoires, pas uniquement pour moi mais aussi pour toutes les personnes que j'aime. Toutes les étapes de création me fascinent, le dessin, la couture, les retouches,... Mais il n'y a pas que la mode qui m'intéresse, j'aime toutes les formes d'art. Je commence particulièrement à m'intéresser au septième et donc à la réalisation de court-métrage même si je n'ai pas vraiment le temps de m'y atteler autant que je le souhaiterais. Mon autre centre d'intérêt : les jeux vidéos et je suis plutôt douée pour ça, surtout à des jeux comme Street Fighter. J'écoute beaucoup de musiques et suis une grande fan de Jagged Stone, je lui ai même dessiné une pochette d'album! Mettre mes écouteurs et me couper du monde m'aide à me concentrer sur mon travail, quel qu'il soit. . Je suis hétérosexuelle  et en couple avec le garçon de mes rêves.

Du point de vue caractère je suis terriblement maladroite. Quand je ne suis pas à l'aise, je perds toute confiance en moi et il m'arrive de faire des bêtises malgré moi. J'ai tendance à paniquer très vite et à imaginer les pires scénarios dès que la situation échappe à mon contrôle. Cependant, depuis que je suis Ladybug, je suis plus forte et moins timide. Je me suis affirmée et je ne laisse plus des personnes comme Chloé avoir le dessus sur moi. Je suis extravertie et j'essaye de toujours faire très attention aux autres. Je suis encore un peu immature et irréfléchie. Il m'arrive de foncer sans réfléchir et mon impulsivité me dessert souvent. Malgré tout, quand je fais des erreurs, j'essaye d'apprendre à ne plus les commettre pour gagner en maturité. Je sais me montrer courageuse quand je suis Ladybug, mettant la sécurité de Paris comme ma priorité. J'ai tendance à me compliquer la vie que ce soit en tant que Marinette ou Gardienne. Mes plans pour réussir à capturer un Akumatisé ou à parler à Adrien ont toujours été un peu bizarres et tirés par les cheveux, tout ça pour ne pas toujours fonctionner. Je me vois comme une fille créative et douce, toujours prête à aider et à donner une seconde chance, même si cela m'a déjà desservi. Pour moi, la justice et l'honnêteté sont des valeurs vitales. Contrairement à Chat Noir, je sais me montrer plus sérieuse quand je deviens l'héroïne de Paris. Je sais que l'union fait la force et sans mes amis et Chat Noir, je sais que je ne m'en sortirais pas ni en tant que Marinette, ni en tant que Ladybug. Mon rôle de Gardienne me rend très nerveuse et j'ai encore du mal à gérer quand j'ai trop de responsabilités.


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TOI DERRIÈRE L'ECRAN
D'où nous viens-tu ? Belgique . Dis nous comment as-tu connu le forum ? C'est un changement de compte  Qu'en penses-tu ?    coeur   Tu es un scénario pu un personnage inventé ? Inventé. Tu es un double compte ? Si oui qui ? Wanda, Scott, Bellamy, Fred, Zoey, Grace, Shay & Martin Tu as quelque chose à ajouter ?  ♥ .
LEÏLA

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Dernière édition par Mary Cheng le Sam 22 Juil - 0:08, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: Mary Cheng alias Ladybug   Mary Cheng alias Ladybug EmptyVen 7 Juil - 2:50

Je m'appelle Marinette et je suis née à Paris. Mes parents, Tom Dupain et Sabine Cheng, tiennent une des meilleures boulangeries de la capitale française et l'ont ouvertes avant ma naissance. Nous vivons tous les trois dans l'appartement au-dessus de la boulangerie et ma chambre a été installée dans une sorte de grenier me donnant accès à une terrasse sur le toit. J'ai toujours adoré mes parents et malgré ma maladresse, j’ai toujours été prête à les aider quand ils ont besoin de moi à la boulangerie. Globalement ma famille se résume à mes parents. J’ai eu l’occasion de rencontrer ma grand-mère paternelle mais celle-ci voyage beaucoup et je n’ai que peu de souvenirs d’elle. En ce qui concerne mon grand-père paternel, disons qu’il a fallu que je fourre mon nez dans mes affaires de famille pour le rencontrer. La valeur familiale est très présente dans ma famille et est donc très importante pour moi. Depuis toute petite, j’admire la façon dont mes parents gèrent les problèmes ensemble et je rêve de trouver à mon tour mon âme sœur avec laquelle j’aurais une maison, des enfants, un chien ou un chat… Non plutôt un hamster ! Enfin, revenons à mon histoire.

Mon enfance a été particulièrement calme. J’allais en cours dans une école primaire comme les autres et j’ai toujours été une élève très appliquée. Le seul point noir de ma scolarité était mon comportement. Pas que je sois rebelle ou irrespectueuse, au contraire, disons que j’étais extrêmement timide. Je ne me faisais jamais aucun ami, n’allais à aucun anniversaire et n’invitais jamais personne à la maison. Cela inquiétait énormément mes parents mais ils n’arrivaient pas à me faire sortir de ma coquille. Je sais qu’ils ont voulu me mettre chez un psychologue mais il semble qu’ils ne se soient jamais décidés à le faire puisque je n’y suis jamais allée. Ils ont préféré me faire essayer des activités ne demandant pas une sociabilisation trop grande. C’est comme ça qu’à la fin de mes primaires, j’ai commencé à jouer aux jeux vidéos avec mon père et ai appris à coudre avec ma mère.

Je repense avec beaucoup de nostalgie à cette période, celle avant que Chloé Bourgeois ne rentre dans ma vie pendant ma dernière année en primaire. Je n’ai jamais rien fait pour l’énerver, je n’étais pas particulièrement intelligente ni remarquable mais dès son arrivée, j’ai été sa cible. Au début, ce n’était que des blagues au-dessus desquelles je passais assez facilement mais plus le temps passait, plus ça empirait et il a fallu qu’en entrant au collège, elle choisisse le même que moi et se retrouve à nouveau dans ma classe. Pendant trois ans, Chloé a tout fait pour que ma scolarité soit un enfer. Je n’avais pas suffisamment confiance en moi pour la contrer et malgré mes efforts pour convaincre mes parents de me laisser rester à la maison, ils n’ont jamais vraiment compris à quel point c’était difficile.

Tout à l’école me terrorisait. Si j’arrivais en retard (ce qui a toujours été régulier), je craignais qu’elle ait prévenu le directeur pour que celui-ci m’attende de pied ferme. Je ne savais jamais ce que j’allais trouver sur ma chaise ou pire, dans mon casier. Elle a fait naître en moi des craintes qu’il me faut encore combattre aujourd’hui. Il n’y avait que deux points positifs dans l’établissement : Kim, le garçon que j’aimais, et Socqueline, ma meilleure amie d’un an plus âgée que moi. C’est elle qui m’a convaincue de prendre mon courage à deux mains et d’inviter Kim à la piscine. C’est la chose la plus stupide -non- l’une des choses les plus stupides que j’ai faites. Je ne sais pas comment Chloé l’a su mais elle a convaincu Kim de m’offrir un cadeau au moment où je lui ai avoué mes sentiments. Je ne m’étais pourtant jamais trouvée aussi courageuse quand, sur le plongeoir, je me suis tournée vers lui pour me confesser à lui. Mon cœur battait à tout rompre quand il m’a tendu un cadeau et mes mains tremblaient en l’ouvrant. Je n’arrivais pas à croire qu’un garçon puisse m’aimer en retour et… Et j’avais bien raison de le croire puisque la boîte était remplie d’araignées. Paniquée, j’ai chuté du tremplin pour tomber dans l’eau couverte d’horribles insectes, ridiculisée et bien sûr, filmée par Chloé. À partir de ce jour-là, je me suis promise de ne plus jamais faire confiance à un garçon sans être sûre à 1000% qu’il était fiable.

Le lendemain, j’ai découvert que ma meilleure amie était suspendue pendant les quelques semaines nous séparant de la fin de l’année… À cause de moi. Je m’en voulais énormément mais elle m’a rassurée, comme toujours et m’a encouragée à rester forte quoiqu’il arrive. C’est après son départ que j’ai décidé de coiffer mes cheveux différemment, de la même façon qu’elle, pour me donner du courage. À la rentrée suivante, j’entrais en quatrième année, ma dernière année au collège. J’avais prié pendant toutes les vacances pour ne plus être dans la classe de Chloé mais je n’étais pas très optimiste. En retard pour le premier jour, j’ai vu un homme traverser la route alors que c’était rouge pour les piétons et je n’ai pas hésité une seconde pour le tirer et le sauver. Je ne pensais pas que cet acte changerait complètement ma vie. À peine rentrée dans ma classe, Chloé ne s’est pas privée pour m’embêter et Alya, une parfaite inconnue, est venue à ma rescousse pour que je m’asseye à côté d’elle. Elle est très vite devenue ma meilleure amie.

La même journée, un monstre a attaqué l’école et pendant que je me cachais chez moi, j’ai trouvé dans ma chambre une boîte contenant des boucles d’oreille et surtout une étrange petite créature : Tikki, le kwami de la création. C’est elle qui m’a appris que je devais devenir une héroïne pour sauver Paris des méchants créer par Papillon. Je n’ai pas eu d’autre choix que de me transformer et de quitter ma chambre. J’ai alors fait la rencontre de Chat Noir, le porteur du kwami de la destruction. Ensemble, nous avons combattu l’Akumatisé et nous l’avons vaincu mais j’ai oublié de capturer l’Akuma, provoquant une vague de catastrophes. J’ai voulu abandonner mon kwami en le donnant à Alya à l’école. C’est le deuxième jour d’école que j’ai rencontré Adrien en train de chipoter avec un chewing-gum de Chloé sur mon siège. J’ai directement pensé qu’il était comme celle qui me pourrissait la vie sans me douter une seconde qu’il allait devenir mon obsession.

J’ai fini par accepter le rôle d’héroïne, formant une équipe avec Chat Noir pour vaincre Papillon et protéger Paris, ensemble. Je suis devenue Ladybug et elle m’a permis de gagner en confiance en moi jusqu’à même commencer à faire face à Chloé. J’ai compris qu’Adrien Agreste était loin d’être comme elle et ai eu un véritable coup de foudre pour mon camarade de classe. Ma vie est alors devenue bien plus compliquée. Je devais sans cesse trouver des excuses pour protéger Paris sans que personne ne se doute de mon identité. Papillon voulant s’emparer des miraculous de la création et de la destruction, Chat Noir et moi devions absolument garder nos identités secrètes. À côté de mes combats contre les Akumatisés, je devais me concentrer sur mes études et je continuais à tenter tant bien que mal de parler avec Adrien.

Il m’est arrivé tellement de choses, ces dernières années. J’ai rencontré Maître Fu, le gardien qui m’a confié le Miraculous de la création. Je suis devenue déléguée de classe en battant Chloé aux élections, j’ai permis à Alya de devenir Rena Rouge pour nous aider, Chat Noir et moi, et grâce à Maître Fu, notre duo a pu évoluer pour se battre dans des environnements comme l’eau, la glace ou encore l’espace ! Notre équipe d’héros s’est petit à petit agrandie avec Carapace et Queen Bee. Chloé n’était plus vraiment une menace pour moi, bien que son comportement m’énerve, celui de Lila -une nouvelle camarade de classe- était bien pire. J’ai aussi fait la rencontre de Luka pour qui j’ai commencé petit à petit à avoir des sentiments. J’ai remarqué qu’Adrien passait beaucoup de temps avec Kagami, une amie, et j’ai pensé qu’il fallait que je passe à autre chose. Chat Noir et moi devions faire face à deux ennemis, désormais : Papillon et Mayura. Lors d’un combat final contre eux, Papillon a obtenu la Miracle Box et c’est Maître Fu qui nous a sauvé en faisant de moi la nouvelle gardienne des Miraculous. C’est ainsi qu’il a perdu la mémoire et que je suis entrée en possession de la Miracle Box.

Ma vie est devenue encore plus difficile à gérer en tant que gardienne. Il y avait tellement de pression sur mes épaules avec tous ces secrets que je devais sans cesse garder… Ma relation avec Luka s’est révélée impossible parce que je ne pouvais pas lui dire qui j’étais. J’ai compris à quel point il serait difficile pour moi d’être amoureuse tant que je dois être Ladybug en secret. J’ai fini par avouer à ma meilleure amie qui j’étais et ça m’a fait un bien fou de partager ce poids malgré le danger que ça représentait. J’ai ensuite découvert que je pouvais créer des charmes magiques pour protéger les Parisiens des Akumatisations. Ça n’a pas suffi, évidemment, Papillon utilisant les miraculous du papillon et du paon était encore plus fort qu’auparavant. Je pensais que nous arriverions à le vaincre mais j’ai pris un risque et en confiant un miraculous à la mauvaise personne et celle-ci m’a trahie. Ce fut une catastrophe et brusquement, j’ai perdu tous les miraculous qui sont entré en possession du Papillon.

Il ne restait plus que Chat Noir et moi pour vaincre notre ennemi plus puissant que jamais. De mon côté, je m’efforçais d’oublier Adrien, cet amour impossible, pour me concentrer sur Chat Noir. Je tentais de me convaincre que je l’aimais pour fuir mes sentiments pour Adrien qui commençait justement à s’intéresser à moi. Il a fallu que Tikki récupère mon miraculous et l’apporte à quelqu’un d’autre pour que, libérée du poids de mon secret, je puisse accepter les sentiments d’Adrien pour moi et les miens pour lui. Évidemment, son père s’est opposé à notre histoire puisqu’il avait promis son fils à Kagami mais j’étais bien trop déterminée pour le laisser m’intimider.

J’ai fini par réussir à montrer à toute ma classe le véritable visage de Lila, à exposer tous ses mensonges au grand jour. En tant que Ladybug, mon combat contre Papillon continuait et c’était loin d’être simple. Adrien et moi tentions d’être ensemble mais son père a décidé de l’envoyer à Londres avec Kagami pour nous séparer. Je l’ai appris très tard et ai à peine eu le temps de lui dire au revoir. Mon cœur était brisé mais je devais rester forte. Je ne voulais pas croire que notre histoire se terminait comme ça. Je ne me doutais pas qu’avec Adrien à Londres, Paris était privé de Chat Noir et c’est seule que j’ai dû vaincre Papillon. Je suis devenue Bug Noire avec le kwami de la création et celui de la destruction et me suis retrouvée face à notre ennemi. J’ai appris sa véritable identité et n’ai pas réussi à l’empêcher de gagner et d’obtenir les deux miraculous qu’il me restait. Il les a utilisé pour réaliser son vœu et, sans que je ne m’y attende, il a sacrifié sa vie pour ramener celle de son assistante et pas celle de sa femme décédée.

C’est à ce moment-là que la malédiction a frappé, m’emmenant à Storybrooke pour deux ans. Une fois revenue à Paris, j’ai récupéré tous les miraculous sauf celui du papillon et celui du paon. Je suis redevenue Ladybug mais je ne suis pas sûre que ce soit encore utile. Qui sait dans quelles mains est le miraculous du papillon ? Je ne sais plus très bien où j’en suis, ce que je dois faire maintenant. J’espère au fond pouvoir rester Ladybug même si Paris n’est plus en danger et j’espère revoir mon coéquipier, Chat Noir. Mais ce que j’espère plus que tout, c’est que tout aille bien avec Adrien et que je puisse retrouver ma vie d’avant.


Dernière édition par Mary Cheng le Sam 22 Juil - 1:45, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Mary Cheng alias Ladybug   Mary Cheng alias Ladybug EmptyVen 7 Juil - 19:47

Mais quel superbe choix dis donc coeur

J'espère que My Lady trouvera son Chaton bientôt calin
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A Storybrooke :
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Mary Cheng alias Ladybug Qzlk
J'ai fêté mes 30 ans . Je viens de Portland où je suis né le 28 avril . Aujourd'hui je suis Auto entrepreneur et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime Pas grand chose en realité, je rale apres casiment tout . Je suis Bisexuel et célibataire .
Je suis arrivé le : 09/09/2022 On dit souvent que je ressemble à : Harry Shum Jr ou encore à : Magnus Bane J'ai posté : 597 messages qui m'ont rapporté : 1193 Dans le monde imaginaire :
Mary Cheng alias Ladybug Magnus-gifs-magnus-bane-40463738-268-160Mary Cheng alias Ladybug Original
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J'ai fêté mes 400, environs du moins . Je viens de Jakarta, en indonesie Aujourd'hui je suis Grand sorcier et je m'en sors bien je crois. Dans la vie j'aime Alec et ma magie . Je suis Bisexuel et marié a l'homme de ma vie .
Voici la liste de mes rps : dispo / pas dispo. Vous pouvez mettre la liste de vos rps ici.
Coté coeur :
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i would spend my life loving you




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MessageSujet: Re: Mary Cheng alias Ladybug   Mary Cheng alias Ladybug EmptyJeu 27 Juil - 0:00

Félicitations


Bravo mon petit chat, tu fais a présent partie de la team de once upon a time. Puisque tu viens de finir ta fiche et que tu as été validé par le staff.

A présent, tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité. Tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis, juste ici. S'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer dans ta vie et te redonner le sourire.


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