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 (Débandade) Prank de la Saint Valentin

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MessageSujet: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptyVen 17 Fév - 13:13


w/         @Banda Elric     coeur  
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St Valentin

Pourquoi avait-il tenu à ce qu’ils se rencontrent à la Saint Valentin ? Il n’y a rien de plus quiche comme fête. La Saint Nunuche comme l’appelait Jade. Après tout, elle savait que Nao était avec Coraline et Willow devait être on ne sait où. Finn trainait près de sa copine ou future copine, elle ne suivait plus ce roman feuilleton à l’eau de rose. Et elle, elle était dans son bureau à éplucher un nouveau contrat où les gens voulaient reproduire la scène du bal de Carrie. Ça allait plaire à Banda ça. La jeune femme se redresse, lisse son sweat-shirt (car elle a toujours l’air d’une souillon au boulot), son jogging et attache ses cheveux. Elle quitte son cagibi pour aller voir son collègue (et élu de son coeur même si ça n’arrivera jamais) pour se faufiler derrière lui et nouer ses bras autour de son cou. « J’ai un cadeau de Saint Valentin pour toi, Bandana. » Elle lui fait un petit sourire avant de déposer le dossier sur son bureau et de se reculer. « Ils veulent une Carrie donc tu peux te lâcher sur le sang. » Elle dodeline un peu de la tête avant de contourner le bureau pour s’asseoir sur le coin. Bécasse, si elle savait. « Je serai pas dispo ce soir mais si t’as une urgence, envoie-moi un gif de chat. Et pas de chat mort comme la dernière fois » La demoiselle vint se pencher pour poser ses lèvres sur sa joue et filer.

Elle décide de se changer dans son bureau puisqu’elle avait pris sa matinée pour l’esthéticienne et tout le bordel avec Coraline et Naoki. Donc c’est les cheveux détachés et une robe rouge sur le dos qu’elle sort de son bureau pour croiser le regard de Banda. Elle lui fait un petit signe de la main, glissant ses talons hauts (tu m’étonnes ça doit changer des jogging) avant de quitter les locaux de leur entreprise. Elle était au courant qu’elle allait être en avance mais elle pouvait envoyer un texto à son amie pour savoir comment se déroulait sa soirée. Et puis, elle avait cette crainte que le monsieur ne vienne pas. Elle devait porter quelque chose de rouge et elle avait le sentiment d’être un vrai panneau de signalisation. Jade préférait le noir de toute façon. Comme les cercueils.

Devant le restaurant, elle se les pèle donc décide de rentrer pour aller à la table réservé. Distraite et penchée sur son portable, elle n’a pas fait gaffe au nom donné. Une fois assise, elle commande un martini, sa boisson favorite avant de croiser les jambes pour sortir son livre. Elle est pleinement plongée dans Anna Karéniné et ses déboires amoureux lorsqu’une silhouette se poste devant elle. « Banda ? Qu’est-ce que tu fais là chouchou, y’a un souci ? » Elle prend un air faussement inquisiteur avant de lui servir un sourire ravissant. « On avait pas dit un gif de chat en cas de souci ? Tu vas faire fuir le monsieur avec ton charisme et ta... » Wait ? Il est pas habillé normalement non plus. Et sur le coup, ses yeux s’écarquillent car elle a peur de comprendre. « Ne me dis pas que tu as recommencé à faire ton cinglé, le fustige-t-elle en se levant et agitant son téléphone d’un air menaçante, t’as fait fuir tout le monde... » Comme si elle pouvait ne pas être au courant, sérieux. Les mecs ça parle. « Et je ne t’intéresse même pas. Donc dis-moi que tu l’as pas coulé dans le ciment et mis à la mer. Je pourrais pas témoigner en ta faveur, cette fois. » Elle secoue le nez avec une moue adorable avant de pianoter sur la table, dans l’attente. Il est vraiment exaspérant quand il s’y met. Heureusement qu’il est mignon et charismatique, sinon elle lui aurait botté le cul. Quoiqu’impossible avec une robe si moulante. Tellement moulante qu’elle n’avait même pas pu mettre de sous-vêtements.  




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MessageSujet: Re: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptySam 25 Fév - 21:17




Prank de la Saint-Valentin

--  feat. @Jade Odair



Je consulte mon téléphone pour voir que j'ai reçu de nouveaux messages. Mon cousin. Sans surprise. Il énumère encore toutes les consignes que je dois suivre pour ce soir. Me croit-il à ce point incapable de séduire une femme ? Sourire, faire un effort sur ma tenue, ne pas parler de la beauté cachée derrière les meurtres sanglants, ne pas à apporter mon canife... Désintéressé, je verrouille plutôt l'engin pour me concentrer sur mon travail. Un soupire passe la barrière de mes lèvres. Cet événement n'est pas assez morbide à mon goût. Passant ma main dans mes cheveux teints en blond, je chasse mes idées les plus morbides. Je les trouve pourtant excellentes et je sais qu'elles rajouteraient un côté plus immersif à l'événement mais je sais aussi que Jade me rabrouerait en me rappelant qu'elle ferait fuir le client. Ce monde est tout juste supportable. S'il n'y avait pas Sansei et Jade, je ne verrais aucun intérêt de vivre ici en restant sage. Malgré tout, mon cousin m'a déjà fait sortir de prison une fois et bien que l'endroit soit charmant, je ne souhaite pas y retourner tout de suite. En attendant, je dois me contenter de mon métier, d'organiser ces événements d'horreur qui ne sont pourtant jamais assez sanglants à mon goût. Heureusement, j'ai une activité en dehors de mon travail qui est plus... Salissante. Jade a fini par prendre conscience que j'étais peut-être mêlé au fait qu'aucun homme ne s'approche longtemps d'elle. Je me fous qu'elle râle ou que ça lui déplaise. Comment, en sept ans, n'a-t-elle pas encore compris qu'elle est mienne ? Jamais je ne la laisserais à un autre homme, c'est ce que j'ai décidé en la voyant dans ce bar il y a huit ans. Cette femme est ma propriété et si j'ai bien compris que ce n'était pas des termes bien vu dans notre société, encore une fois je m'en fous. Selon mon cousin, elle est déjà sous mon charme et ça ne m'étonne qu'à moitié. Si elle est véritablement amoureuse, comment ne l'ai-je pas remarqué plus tôt ? Moi qui suis observateur, j'aurais dû le voir immédiatement. Après tout, je savais que ça finirait par arriver et qu'elle m'aimerait un jour ou l'autre. Elle est née pour être à moi. Elle n'aurait pas pu éviter son destin très longtemps même si de toute évidence, elle a essayé de passer à autre chose en s'inscrivant sur cette application de rencontre. C'est d'ailleurs elle qui me l'a dit sans savoir que c’était à moi qu'elle s'adressait. C’est plutôt bien fait, ces applications de rencontres anonymes. La porte de mon bureau s’ouvre et je reste immobile alors qu’elle m’enlace par derrière. Silencieusement, j’ouvre le dossier qu’elle pose devant moi et un sourire qui n’a rien de rassurant étire mes lèvres.

-Enfin un événement un peu plus intéressant. Merci.

Je la suis du regard alors qu’elle s’assied sur le coin de mon bureau. Mon sourcil se hausse très légèrement alors qu’elle m’annonce ne pas être disponible ce soir. Je me recule dans mon siège et croise les bras sur mon torse avec un regard sceptique.

-Qu’est-ce que tu fais de si spécial pour ne pas être disponible ?, ma voix se fait plus grave, Les chats vivants, ça n’a aucun intérêt. Je ne comprends pas comment on peut trouver ça mignon.

Elle vient poser ses lèvres sur ma joue avant de partir sous mon regard insistant. Qu’est-ce qu’elle croit ? Que je ne suis pas au courant pour son rendez-vous ? Un léger sourire étire mes lèvres. Elle ne pourra jamais m’échapper, jamais m’oublier, je ne la laisserais jamais faire. L’heure du rendez-vous approche et je remarque qu’elle part en avance. Mon regard coule sur elle, sur sa robe rouge sang, sur ses longues jambes ambrées. Je voulais qu’elle porte une robe de cette couleur pour une raison évidente. Elle est sexy et sans le savoir, elle l’est pour moi. Je retiens mon sourire de psychopathe, je la manipule et si c’est mal, je ne peux m’empêcher de trouver ça encore plus excitant. Je lève simplement ma main avant de me reconcentrer sur mon dossier d’un air désintéressé. Quand elle est partie, c’est à mon tour de me changer. Sansei m’avait bien fait comprendre qu’il fallait une tenue correcte pour un rendez-vous. Lui qui n’a jamais connu l’amour, je suis assez surpris de voir qu’il s’y connaît si bien. Le fait que Jade et moi soyons amis depuis si longtemps fait que nous n’avons aucun problème à travailler dans des tenues confortables et pas spécialement classes. Je porte d’ailleurs la plupart du temps du rouge et du noir, les autres couleurs étant bien trop joyeuses pour moi. Face au miroir, je rentre ma chemise blanche dans mon pantalon de costume et soupire en déboutonnant les deux premiers boutons de mon haut. Le blanc ne me va pas, je trouve, mais apparemment, c’est ce qui est « classe ». J’enfile une veste noire longue et regarde mon reflet. Ça se voit que c’est Sansei qui a choisi pour moi. Il n’y a que la veste longue qui me plaît vraiment et je fourre mes mains dans mes poches en quittant à mon tour les bureaux. Rejoignant le restaurant, difficile de louper ma collègue dans sa superbe robe rouge. Il est temps de faire tomber le masque et je m’approche de la belle plongée dans sa lecture. M’arrêtant à sa hauteur, son regard de biche se lève vers moi. Elle est si innocente, si pure. Je secoue légèrement la tête et un rire grave et presqu’inquiétant m’échappe quand elle me soupçonne. Avec un naturel qui me caractérise, je prends place sur la chaise en face d’elle.

-Je n’ai fait de mal à personne, aujourd’hui.

Je précise bien « aujourd’hui » parce qu’elle a raison, j’ai fait fuir tous ceux qui l’approchaient et je n’ai aucune honte à l’avouer. Elle peut trouver ce comportement énervant, jamais je n’arrêterais.

-Si j’avais voulu m’en prendre à ton rencard, ça signifierait que je m’en serais pris à moi-même et je ne vois pas l’intérêt., un sourire en coin étire mes lèvres, Je suis heureux de voir que tu as suivi mes consignes en mettant une robe rouge. Ça te va à ravir.


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MessageSujet: Re: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptySam 25 Fév - 21:26


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St Valentin

 Il fallait être aveugle pour ne pas voir les sentiments que Jade avait pour Banda. Elle était tombée amoureuse de lui dès qu’il lui avait souri. Bon, sourire est un bien grand mot. Plus sociable que lui, toutes les personnes avec qui elle trainait à la faculté ne cessaient de lui dire : ce mec est un psychopathe. Mais c’était son psychopathe. Si au début, elle avait tenté une approche, la jeune femme s’était vite rendu compte qu’elle n’intéressait pas le Japonais. Donc elle avait eu des rencards. Mais ceux-ci n’avaient jamais dépassé le stade de la conversation puisque les hommes disparaissaient sans donner de nouvelles. Ce n’est qu’après avoir rendu visite à une amie qui venait de pondre son œuf qu’elle était tombée sur un des derniers en date. Très amoché. Il lui avait alors expliqué après qu’elle lui ait flanqué son poing dans la figure qu’un blondinet asiatique l’avait dissuadé. Avec un canif. Elle était entrée dans une rage folle et avait déboulé dans le bureau comme une tornade. Jamais en sept années d’amitié elle n’avait élevé la voix contre l’homme qu’elle aimait. Parce qu’elle l’aimait justement. Mais la goutte avait fait déborder le vase et la jeune femme en avait eu assez. Pour preuve qu’elle avait envoyé tout le contenu de son bureau avant de l’attraper par le col, le menaçant de son poing. « Si je te reprends à recommencer, tu te le manges dans la tronche. » Elle ne l’intéressait même pas. Pour qui se prenait-il à la fin ? (Si elle avait su qu’elle l’avait excité, elle aurait visé les couilles.)
Le lendemain, elle s’inscrivait sur un site de rencontres.

Les câlins devinrent espacés et elle lui fit la gueule pendant presque deux semaines. Ce soir, c’était différent, elle se réjouissait vraiment de sortir car le mec lui plaisait. Il avait de la conversation, semblait compatir à son malheur d’aimer cet abruti fini. Et donc ils avaient prévu de se voir. « Oh mais tu sais que pour toi, je me plierai en quatre, amour, ironise-t-elle. » Ce n’est pas nouveau qu’elle lui donnait des surnoms affectueux. Comme des accolades. Avant, elle osait même se poser sur ses genoux mais plus depuis qu’il avait déconné. Elle ne voulait pas être la propriété de quelqu’un. Elle pratiquait la boxe, savait manier de la lance et était une femme indépendante. Certes, toujours amoureuse du même abruti depuis sept ans mais quand même. Pas faute d’avoir draguée avec Naoki pourtant mais à chaque fois, le souvenir de son agression revenait la hanter. « Oh rien, je compte juste perdre ma virginité. » Et cette fois-ci, ce n’est pas du sarcasme. « Tu peux me lancer ce regard-là, Bandamour, t’as loupé ta chance. » Comme s’il avait pu être intéressé anyway. La demoiselle se pencha pour venir effleurer la joue du jeune homme de ses lèvres, dispersant son odeur si familière de nectarine au passage avant de murmurer à son oreille. « Des chats vivants, on a dit. Et si tu touches à mon chat, t’auras affaire à moi. » Ses doigts passent affectueusement dans la nuque du garçon, se retenant d’y planter ses serres avant de se redresser.

C’est une heure plus tard, assise à la table d’un restaurant et plongée dans son livre que le couperet tombe. Elle lève vers lui son plus beau regard de velours avant de vite déchanter. « Comme ça, aujourd’hui ? Peste-t-elle dans ses dents. Je te l’ai dit Banda, je ne suis pas ta chose, ni ta copine. » S’il voulait qu’elle le devienne, il n’avait qu’à se bouger le cul. Mais il l’a bougé son cul. Elle le comprend alors qu’il prend place en face d’elle avec une certaine désinvolture. Et il a son sourire de psychopathe. Jade comprend alors que l’homme à qui elle se confiait ses dernières semaines... était vraiment en face d’elle. « Putain ! » Sa voix se fait plus sonore alors qu’elle se redresse, mettant sous le nez du japonais son décolleté plongeant. « Tu peux pas agir comme un mec normal ? Salut Jade, j’aimerai bien avoir un rencard avec toi. Tu sais très bien que je t’aurai dit oui, espèce de connard. » Et splash. Elle prend son verre et lui vide le contenu en plein dans le visage. Puis rangeant son livre, elle se débat avec son manteau pour essayer de l’enfiler. « Je ne suis pas ta possession, Banda Sunato. T’as eu sept ans pour m’avoir. Ça fait sept ans que j’attends que tu daignes enfin me voir. Va te faire foutre. » Et la voilà qui lève la main, prête à lui en coller une. Car il s’était foutu de sa tronche une fois de trop. Et qu’elle en avait assez. Ses yeux lançant des éclairs, sa bouche pincée (elle ne le sait pas mais elle est très sexy à cet instant), elle en a assez de son petit jeu. « Si tu meveux, t’as qu’à demander. Pauvre con, crache-t-elle venimeuse en amorçant le geste. »




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MessageSujet: Re: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptySam 25 Fév - 21:46




Prank de la Saint-Valentin

--  feat. @Jade Odair



La Jade que j’ai rencontré à l’université était douce et timide, adorable. Une petite femme naïve, une femme que je voulais déjà rien que pour moi. Je ne pensais pas qu’elle montrerait plus tard qu’elle a son petit caractère mais ça m’a plu. Il faut dire qu’elle est sexy quand elle s’énerve mais elle ne connaît pas encore ce qu’il y a de plus sombre en moi. Ce que je veux lui faire quand elle me tient tête. Elle pouvait me menacer comme elle le voulait, jamais je n’arrêterais de chasser les mecs qui l’approchent, de leur faire du mal. Je m’en fous complètement qu’elle s’énerve, au contraire. Voir ce côté sombre en elle me plaît, j’ai même envie d’en voir plus. Est-ce que je me doute qu’elle s’énervera en apprenant que je suis celui avec qui elle parle depuis plusieurs semaines ? Bien sûr. J’ai même envie qu’elle s’énerve mais je ne regretterais jamais ce que j’ai fait, ce n’est qu’une manière détournée de lui prouver qu’elle est faite pour moi. Je hausse les sourcils quand elle annonce de but en blanc qu’elle compte perdre sa virginité. Mon regard la jauge et je me contiens de lui dire que c’est à moi qu’elle va s’offrir. Je n’oublierais pas ses mots. Elle veut perdre sa virginité ce soir ? Elle ne risque pas d’être déçue. Un sourire confiant étire mes lèvres.

-Je n’ai rien loupé du tout.

Pour cause que c’est avec moi qu’elle flirte. Je jubile en imaginant la tête qu’elle tirera. Elle a été mienne dès le moment où je l’ai vue il y a huit ans. Elle peut se croire libre autant qu’elle le veut, ce n’est pas le cas. Je suis trop possessif pour ça. Elle se penche sur moi et je ne lâche pas son regard. Son odeur m’obsède. Elle m’obsède mais elle ne semble pas s’en douter. Qui est le plus aveugle de nous deux ?

-Jamais je ne toucherais à ton chat, c’est le seul que j’accepte d’épargner.

De toute manière, m’en prendre aux animaux ne m’intéresse pas du tout. Ils ne sont que des êtres vivants qui ne méritent pas la souffrance, les hommes par contre, par leurs actes, méritent de souffrir. Ce genre de pensées me traverse souvent. Heureusement, j’ai mon petit soleil pour chasser ces pulsions. Et ce petit soleil, je ne tarde pas à le rejoindre dans le restaurant choisi. Je m’approche d’elle et fais une petite moue désintéressée face à ses mots.

-C’est là où tu te trompes, Jade.

Je ne développe pas, pas encore. Elle n’est pas prête à entendre qu’elle est ma possession. Je m’assieds en face d’elle comme si de rien n’était, lui laissant comprendre que c’est moi, le garçon de son rendez-vous. Je vois bien qu’elle est énervée et pourtant, je n’arrête pas de sourire comme un sale petit con -que je suis sans doute puisque je finis avec son verre renversé sur moi. Putain, qu’est-ce qu’elle est sexy.

-Je ne suis pas un mec normal.

Je la regarde ranger son livre et enfiler son manteau. Je me mords la lèvre inférieure, me retenant de lui sauter dessus tant elle m’attire quand elle s’énerve. Ses yeux pourraient me tuer et sa main menace de me frapper. D’un geste vif, j’attrape son poignet et me lève, l’empêchant de me frapper. Je la fais pivoter pour la coincer contre la table et je me penche sur elle avec un regard particulièrement brûlant, comme jamais je ne l’avais regardée.

-Tu m’excites quand tu t’énerves.

Je me rapproche dangereusement d’elle, comme un vautour sur sa proie.

-Je n’ai pas à demander pour t’avoir. Je t’ai déjà et je l’ai décidé il y a huit ans., j’emprisonne son menton entre mon index et mon pouce avec une certaine férocité, Tu es mienne, Jade Odair, et tu ne pourras jamais t’y opposer.


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MessageSujet: Re: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptyDim 26 Fév - 2:27


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St Valentin

 Jade n’a pas toujours eu ce caractère volcanique. Avant son agression, elle était douce, tempérée, effacée. Puis tout a changé cette nuit-là. Elle se rappelle des brides, elle se rappelle d’un parfum entêtant qui continue de la hanter depuis. Ses terreurs nocturnes se sont plus présentes et il n’est pas rare qu’elle débarque au travail avec des cernes violacées. Ainsi, l’africaine a trouvé refuge dans les arts martiaux. Dans la boxe pour commencer. Puis le maniement de la lance. Et c’est là qu’elle s’est faite sa seconde amie. La première étant une blonde aux jambes interminables et aux allures de garces. Jade était la douceur incarnée entre ses deux amies. Sauf avec lui. Car il avait merdé et elle devait lui faire prendre conscience. « J’espère bien ! Monsieur Satan est l’être le plus précieux que j’ai au monde. » Elle le fixe, droit dans les yeux avant de lever le nez pour s’en aller.

Mais voilà qu’elle déchante vite alors qu’il se tient en face d’elle. Il est sublime dans son costume, avec son regard qui en dit long et ses cheveux décolorés. Mais la jeune femme s’emporte et elle tape du poing sur la table. « Je te demande pardon ? » Ses longs cheveux bouclés virevoltent alors qu’elle se redresse vivement pour tout comprendre. Banda ne connaît que la partie immergée de l’iceberg. Il ne sait rien de sa vie privée (si elle savait qu’il la suivait) et donc il ne sait rien pour son maniement des arts martiaux. Ni ses terreurs nocturnes. Ni ses sentiments qui n’ont fait que croître à mesure qu’elle se rapprochait de lui. Tout le monde la disait cinglée mais elle s’en fout.

Si lui pensait qu’elle lui appartenait.
La réciproque est d’autant plus véridique.

« Nan t’es un connard. » Mon connard, faillit-elle ajouter. Si des regards pouvaient tuer. Elle range son livre en se retenant de lui lancer au visage, elle se débat avec son manteau pour cacher ses courbes. Cette robe est très moulante, l’échancrure remontant de manière indécente jusqu’au sommet de sa cuisse ambrée. Elle le darde d’un regard venimeux avant de lever la main pour le gifler.

Mais il attrape sa main.
Et dans le fond, elle espérait qu’il le ferait.

Banda la coince contre son corps et la table et elle sent qu’il dit vrai. Pour cause que les psychopathes manipulent mais ne mentent que très rarement. «Et depuis quand je t’excite ? » Malgré elle, sa voix change. Et elle a chaud, très chaud. Sa main est toujours aux prises de celle de Banda tandis que l’autre se pose sur son avant-bras pour remonter sensuellement le long de son biceps et finir dans son cou. L’air devient électrique, insoutenable. Son pouce et son index emprisonnent son menton pour la forcer à le regarder. Et elle déplie sa main pour planter ses ongles dans le creux de sa nuque. « Je ne suis pas une chose, crache-t-elle. » La voilà qui se redresse. Là où toute femme aurait peur comme une petite créature, elle non. « Comment ça huit ans ? On se connait depuis sept ans. » Ses lèvres sont terriblement proches de celles du Japonais. Sa poitrine généreuse s’écrasant contre son torse alors qu’elle en oublie les spectateurs de ce restaurant. « Si je suis à toi, mon amour, la réciprocité est vraie. Tu es mien. » Ses ongles s’enfoncent un peu plus dans sa chair à mesure qu’elle lui fait pencher davantage la tête. Sa bouche effleure la sienne et son souffle se fait brûlant. Puis, elle se fait vive, emprisonne la lèvre inférieure de celui qui a capturé tout son être, entre ses dents. Son regard brûlant d’une flamme ardente, dévastatrice. Car elle est aussi cinglée que lui. Dans le fond, elle espérait que ça soit lui. « Dis-le, ordonne-t-elle d’une voix séductrice, dis-le qu’il n’y a que moi depuis toutes ses années. » Elle voulait avoir la confirmation que comme elle, il n’avait partagé aucun drap. Sa main se rétracte, laissant la pulpe de ses doigts caresser les entailles qu’elle a faites dans le creux de son cou. « Dis-le et je te laisserai assouvir ton désir malsain, mon beau psychopathe. » Ses ongles courent désormais le long de sa joue alors qu’elle se penche à son oreille. « Surtout que je n’ai pas mis de sous-vêtement. » Délicieuse, douce, délicate petite Jade qui montrait son côté sombre à cet homme qui faisait ressortir le pire en elle.
Et le pire, c’est que ça lui plaisait.



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MessageSujet: Re: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptyDim 26 Fév - 19:57




Prank de la Saint-Valentin

--  feat. @Jade Odair



Elle peut se mettre en colère autant qu’elle le veut en découvrant l’identité de son rencard, je sais qu’au fond, elle n’est pas déçue. Elle est peut-être fâchée d’avoir été trompée, ça lui passera et puis, elle est tellement belle quand elle se met en colère. Je ne peux pas me défaire de mon sourire confiant. Elle tape du poing sur la table et mon sourire en coin s’étire davantage. Je ne peux que m’amuser de la situation. Je n’aime pas me répéter et je sais qu’elle m’a parfaitement compris, elle ne sait juste pas encore ce que je veux dire par là. Jade est parfaitement au courant que je suis incapable d’être un homme normal, de faire comme les autres. Elle s’est rapprochée de moi à ses risques et périls, en connaissance de cause. Elle peut m’insulter comme elle le souhaite, m’appeler connard est presqu’un surnom affectueux.

-Un connard, ouais, mais tu m’aimes malgré tout.

Ma voix est caverneuse et sombre, se faisant beaucoup plus grave alors que je la suis du regard comme elle se lève et remet sa veste avec difficulté. Sa main se lève vers moi pour me gifler mais j’intercepte son geste avant. Reprenant le contrôle de la situation, je me lève vivement et la plaque contre la table. C’est la première fois en sept ans que je me montre aussi tactile et mon regard s’ancre dans le sien avec une intensité qui ne la déstabilise pas. Elle n’a pas peur de moi et ça me plaît chez elle. Elle est la seule qui a osé s’approcher. Je me penche un peu plus sur elle et mon souffle frôle sa peau ambrée.

-Depuis le début., soufflais-je intensément.

Sa main remonte sur mon bras pour terminer dans mon cou et mes yeux se plissent légèrement comme mon sourire est tout aussi léger. Je m’empare de son menton et la regarde se redresser sans aucune crainte.

-Non. Tu n’es pas une chose. Tu es ma femme.

Un rire rauque et inquiétant échappe à mes lèvres, le genre à hérisser le poil, à donner envie de fuir.

-Je te connais depuis plus longtemps que ça. Tu ne t’en rappelles simplement pas.

Nos lèvres sont terriblement proches mais je ne sourcille pas. Je ne franchis pas le pas, pas encore. Ses ongles s’enfoncent dans ma peau et je ne me le cache pas : ça m’excite. La douleur me plaît. Ses dents s’emparent de ma lèvre inférieure et mon regard s’illumine d’une flamme dévastatrice.

-Il n’y a jamais eu que toi, Jade. C’est pour cette raison que j’ai fait en sorte qu’aucun garçon ne s’approche de toi toutes ces années.

Un grognement sourd m’échappe quand elle annonce qu’elle ne porte pas de sous-vêtements. Ma main libre passe dans ses cheveux bouclés pour éloigner ses lèvres de mon oreille. Je me voûte pour presser mes lèvres sur les siennes. Enfin. Après tout ce temps. Je n’ai plus envie de perdre une seconde de plus. Je prends possession de ses lèvres pulpeuses et à mon tour, je fais prisonnière sa lèvre inférieure entre mes dents.

-J’étais là. Le jour de ton agression. C’est moi qui me suis occupé de cet enfoiré qui a voulu abuser de toi.



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MessageSujet: Re: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptyDim 26 Fév - 20:14


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Jade n’a jamais été une grande adepte de la violence. Avant de donner le premier coup de poing. Jade a toujours eu le sentiment d’être morte à l’intérieur. Avant que sa main ne se referme sur une lance. Elle sait qu’elle n’est pas une de ses beautés sur qui les têtes se tournent, Elle sait qu’elle est gauche, timide et parfois réservée. Elle a mis des années avant de s’ouvrir à Banda. Avant d’oser se poser sur ses genoux, uniquement vêtue d’un sweat-shirt, ses longues jambes à sa vue pour se laisser aller à une étreinte réconfortante. Elle savait qu’il n'était tactile. Mais à vrai dire, c’était une tentative d’approche. Ses longs cheveux bouclés qui retombaient dans son dos, sa tête posée sur son épaule, son odeur d’agrumes embaumant l’air. Mais il n’a rien fait. « Hélas. Sauf que ce n’est pas réciproque. » Elle le sait qu’il ne l’aime pas. Elle ignore pourquoi il fait tout ça. Est-ce un de ses jeux malsains ? Est-elle une marionnette ? Elle l’ignore donc elle décide qu’elle en a assez. La jeune femme était au courant du hobby du seul parent de Banda et se refusait à devenir un automate. Elle avait son caractère, sa fougue et grand dieu, elle venait d’une tribu où la femme avait la place dominante.

Lorsqu’il intercepte son geste, la demoiselle ne cille pas. Son passé traumatique aurait pu la faire reculer, être une petite chose désœuvrée mais elle avait travaillé pour dépasser ce stade. Celui de la jouvencelle en détresse. Son corps pressé contre le sien, son cœur presque contre sa poitrine, son souffle contre ses lèvres ; ils n’ont jamais été aussi proches l’un de l’autre en sept années. « Et donc t’as attendu que je daigne passer à autre chose pour venir me cueillir comme une mandarine ? » Référence à ce parfum qu’elle portait constamment. Comme un fruit bien mûr dans lequel on voudrait croquer. Mais la mandarine a une peau qu’il faut ôter pour en voir toute la beauté. Et la jeune femme a des ongles. Elle défait ses doigts de l’emprise du japonais pour agiter sa main dénuée d’artifices devant son nez. « Je ne vois aucune bague à mon doigt. Je ne suis la femme de personne, monsieur Elric. » Elle dit ceci avec désinvolture, comme une provocation. Ayant du répondant. Encore une fois, il s’agit d’une nouveauté. Car elle sent la chaleur à travers les vêtements de Banda, elle voit dans son regard une lueur malsaine, destructrice et le pire étant que ça l’excite.

On lui fera passer une IRM, le lendemain.

Pour l’instant, elle laisse parler le désir qu’elle a de la faire sien depuis sept longues années.
Son rire pourrait la faire fuir mais à la place, elle penche la tête sur le côté, battant de ses longs cils tout en fronçant le nez. Bien que tout le monde ait craint, Banda. Il n’en fut pas de même pour elle. « C’est grâce à ce rire-là que je suis tombée sous ton charme, amour. Je suis peut- être aussi fêlée que moi. Donc essaie de m’intimider et tu verras que je suis pas qu’un chaton. » Elle a des griffes la panthère. Son accent africain qu’elle masque depuis des années ressort sous le coup de cette colère qui se propulse dans ses veines. Et qui se lie au désir qu’elle éprouve pour lui. Ses serres s’enfoncent profondément dans la peau délicate du cou de celui qui est sien à mesure que leurs souffles se mêlent. « Et tu pouvais pas juste... me le dire ? ça aurait épargné un nez cassé au dernier qui m’a éconduit. » Et elle ne parlait pas de sa violence à lui mais bien de la sienne à elle. Du fait qu’elle s’était vengée. « Tu m’as laissée croire toutes ces années que je n’étais pas désirable. » Car dès qu’elle tentait de flirter ou autre, la personne disparaissait. Même avec lui. Ses ravissants sourires, ses yeux doux, ses caresses.

Effrontée, elle se penche à son oreille pour murmurer des mots, pour faire une demande. Qu’il soit sien. Dans tous les sens du terme. Lorsque Banda plonge sa main dans sa lourde tignasse, elle se recule presque d’elle-même pour le laisser prendre possession de ses lèvres. Le baiser n’a rien de doux. Il est affamé. Comme s’ils allaient se dévorer dans ce restaurant. Elle le laisse mordiller sa lèvre inférieure, une flamme ardente brillante dans son regard ambré. « Finn m’a dit que ce n’était pas joli-joli à voir. » Toute femme censée aurait fui depuis longtemps. Mais pas elle.

« Excusez-moi..., fait une voix toute timide, mais nous... nous allons vous demander de partir. C’est un endroit respectable ici et donc... » Jade détourne le regard pour jauger le serveur qui semble gêné. Elle a un sourire en coin avant d’attirer Banda à elle pour venir lui rendre son baiser. Mais cette fois-ci, elle prend tout son temps. Sa langue franchit la barrière de ses lèvres pour venir caresser la sienne, sa main se presse sur sa taille tandis que l’autre grimpe dans ses cheveux pour venir tirer sur les extrémités. Son nez frôle celui de son... petit-ami ? Wait, what ? « J’ai entendu dire qu’il y avait un marathon Saw dans le parc en signe de protestation de la Saint Valentin, tu veux y aller ? » Elle tape sur sa main pour l’empêcher de la poser sur sa cuisse. « J’ai attendu sept ans mon rendez-vous. T’auras ton dessert à la fin. Ça t’apprendra à m’avoir manipulé comme les pantins que font ton cousin. Je ne suis pas le premier prix d’une tombola. » Puis, elle le pousse et sort du restaurant. En roulant des hanches sensuellement. Évidemment.


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MessageSujet: Re: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptyLun 27 Fév - 5:15




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Se disait-elle que je faisais tout pour qu’elle reste seule et pure uniquement par plaisir ? Ça aurait été bien mon genre en réalité mais mon processus était bien plus complexe. Je la voulais entièrement, je voulais être sûr qu’elle ne soit à aucun autre homme que moi. Mon niveau de possessivité est particulièrement élevé, trop élevé pour que mon intérêt ne soit que purement amical. Sansei m’a dit que j’étais un imbécile de ne pas avoir remarqué l’amour qu’elle me porte mais finalement, elle n’est pas mieux.

-Tu ne connais pas mes sentiments.

Je réplique sans émotion, comme toujours. Je me montre impassible mais elle n’a pas idée de ce que je ressens pour elle, du feu qui brûle en moi et qui me pousserait à faire les pires choses pour elle. Elle peut être fâchée, vouloir me frapper, je ne cille pas, au contraire. Ça m’excite. J’intercepte malgré tout son geste, c’est hors de question que je la laisse me frapper. Je me lève vivement et c’est la première fois de ma vie que j’amorce un contact physique avec elle. Avec un sourire en coin, je me penche dangereusement vers elle.

-Je n’aurais jamais pu te laisser passer à autre chose. Jamais.

J’ai toujours eu la certitude qu’elle m’appartenait mais un homme comme moi ne met pas un genou à terre, n’offre pas des fleurs et ne demande pas un rencard comme les autres hommes le feraient. Elle devrait le savoir, elle sait cette partie sombre que j’ai en moi. Mon esprit ne réfléchit pas comme ceux des autres. Je hausse un sourcil en posant un regard sur sa main.

-Tu n’as pas besoin de bague pour être mienne. Tu deviendras mon épouse un jour mais j’ai décidé que tu étais ma femme dès le moment où je t’ai vue.

C’est un fait que j’énonce avec une intensité dans le regard. Je ne la laisserais jamais refuser cela. Elle est mienne, de la tête au pied, son cœur, son corps, son âme. Je passe ma langue sur mes lèvres, dangereusement et garde une lueur maligne dans le regard. Je sais que jamais, elle n’a eu peur de moi et ça me plaît.

-Sors tes griffes, Jade, je veux voir à quel point tu peux être dangereuse.

Ses ongles se plantent dans ma peau et ça m’excite, je ne peux pas me le cacher. J’aime la douleur mais j’aime surtout l’infliger. Jade ne sait pas à quel point. J’ai envie de la débarrasser de ses vêtements. Je la veux, je la désire depuis si longtemps.

-Je ne pouvais pas te le dire parce que je n’en avais pas conscience. C’est mon cousin qui m’a ouvert les yeux de ce qui me poussait à éloigner tous ceux qui t’approchaient.

Pour la première fois, je pose ma bouche sur la sienne. Je prends possession de ses lèvres. Je ne suis pas tendre, pas romantique, je veux la dévorer et ça se sent comme je finis par mordre sa lèvre inférieure. Je lui avoue que j’étais là le jour de son agression et je souris en coin, fier de ce que j’ai fait il y a des années.

-Personne ne touche à ce qui est à moi, personne n’a le droit de te faire du mal. C’est pour ça que j’ai été en prison mais tu en vaux la peine.

Un serveur nous interrompt et je lance vers lui un regard incendiaire alors que personne n’a le droit de couper ce moment. Jade semble être d’accord avec moi puisqu’elle m’attire dans un second baiser. Je calme mes ardeurs comme elle se fait moins pressée. Nos langues se rencontrent et j’ai l’impression de sombrer un peu plus dans la folie. Jamais plus, je ne laisserais un homme s’approcher de près ou de loin d’elle. Ma main prend appui sur la table derrière elle pour prolonger le baiser comme mon autre main est toujours perdue dans les boucles de ses cheveux.

-Des films sanglants ? Comment dire non ?

Elle a conscience que le gore m’excite, sinon, je ne serais pas aussi appliqué dans la création d’événements sanglants. Ma main sur la table se pose sur sa hanche pour descendre sur l’échancrure de sa robe quand elle m’arrête. Je claque ma langue contre mon palais, mécontent de son refus. Je ne veux pas attendre. C’est pas mon genre. Déjà, elle me pousse pour sortir et je la suis du regard comme si elle était ma proie. Fourrant mes mains dans les poches de ma veste longue, je la suis lentement à l’extérieur. Nous allons jusqu’à ma voiture et sans la laisser entrer, je la plaque contre la portière.

-Ce soir, je vais te prendre ta virginité, Jade.

Je viens glisser mes lèvres dans son cou pour la mordre et y laisser ma marque, la marque qui prouve qu’elle est à moi.



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MessageSujet: Re: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptyLun 27 Fév - 5:48


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Jade n’est pas dominatrice. Certes, elle a des griffes mais dans le fond, elle restait assez douce. En proie à un passé trop sanglant pour cette femme qui avait appris à grandir trop vite. Personne n’aurait pu prédire qu’elle irait s’asseoir à côté de Banda dans cet amphithéâtre, ni qu’ils se lieraient d’amitié. Et alors que sept années se sont écoulées, la voici prête à lui en coller une pour la première fois de sa vie. Ils étaient rares les moments où elle se laissait aller à la colère à son encontre. Leur alchimie fonctionnait bien et prenait une autre tournure alors qu’elle se rendit compte des sentiments de l’asiatique à son encontre. La jeune femme se retrouve coincée contre la table et ne sait pas si elle serait allée au bout de son geste. Aurait-elle osé le gifler alors qu’elle s’était faite tendre toutes ces années ? Elle arque un sourcil tandis qu’il se fait plus ténébreux, plus sombre et que sa voix descend d’une octave. Elle réprime un frisson mais pas de peur, de désir à son encontre alors que sa bouche s’assèche. « Tu ne sais même pas pourquoi je me suis inscrite sur ce site de rencontre, Bandamour. » Elle avait tu cette raison. Et heureusement. S’il connaissait son passé, pas sûr qu’il accepte le rôle qu’elle pourrait lui assigner. Il ne semblait pas être le genre d’homme à apaiser les terreurs nocturnes mais plus à les rendre plus puissantes.

« Ça aurait pu être sympa de m’en informer. Tu sais entre deux coups de poing à mes prétendants : au fait t’es ma meuf. » Elle fait les yeux gros alors que le rouge lui monte aux joues et qu’une étincelle nouvelle anime son regard. Elle le voit passer sa langue sur ses lèvres à mesure que ses pupilles se dilatent. Son corps si proche de celui de son ami se réchauffe et elle incline la tête sur le côté. Elle arque un sourcil avant de venir enfoncer plus profondément ses serres dans la nuque si douce de son amoureux avant d’approcher ses lèvres des siennes. « Je ne suis pas une adepte du BDSM. Désolé de te décevoir. Mais si tu veux me voir taper sur quelqu’un, t’as qu’à te ramener aux entrainements. » Et elle se doute qu’il a déjà du la voir se battre. Ne serait-ce que dans les bars où lorsqu’elle avait un coup de trop dans le nez, elle avait le poing facile. « Un homme avisé. Que tu sois possessif, d’accord. Que tu tapes tout ce qui a un pénis entre les jambes, ok. Mais dans la chambre, t’as pas intérêt à oser porter la main sur moi. Suis-je claire ? » Car elle avait encore des réminiscences de la seule nuit qu’elle aurait pu partager dans les bras de quelqu’un. Sa main se porte d’elle-même à son cou alors qu’elle prend une profonde inspiration.

Banda n’est pas un tortionnaire. Du moins pas le sien.

Et d’un coup, il abat sa bouche sur la sienne avec une certaine voracité. Un empressement manifeste et la voilà qui lui rend son baiser en plongeant sa main dans ses cheveux décolorés pour le maintenir près d’elle. Elle a chaud, très chaud. Sa main caresse doucement la joue de Banda, se faisant plus délicate pour le coup. « Tu ne savais rien de moi, murmure-t-elle touchée par son geste, j’aurai pu être une salope sans cœur. Une pétasse. » Elle en connaissait. Elle les avait vu ces femmes qui le méprisaient, le toisaient de haut alors qu’il était dans son coin. « Je suppose que des remerciements s’imposent pour m’avoir évité un autre traumatisme. » Elle se rendit compte qu’elle en avait trop dit alors qu’elle se pinça la lèvre lorsqu’on vint les interrompre.

Sérieusement ?

Jade sent le corps de Banda se tendre contre elle et pas de la bonne manière. Elle suit son regard alors qu’il fixe le serveur comme s’il voulait l’atomiser. Et c’est à cet instant qu’elle se décide à l’embrasser. Ses lèvres viennent se poser doucement sur celles de son petit-ami et elle laisse sa langue venir s’immiscer dans sa bouche. Le baiser se prolonge, est plus suave que le précédent à mesure qu’elle sent sa main dans ses cheveux et que la sienne caresse sa peau. « Si tu veux du sanglant, je te raconterai mon passé un jour. Saw te paraîtra être une balade de santé. » Elle frémit un peu dans ses bras et n’est pas pressée qu’il la voit sans ses vêtements. Elle portait encore les cicatrices du massacre de sa tribu. Elle qu’on avait cru morte et qui en était ressortie vivante mais profondément traumatisée. Il lui arrivait après une sieste trop mouvementée de venir se réfugier dans les bras de Banda en silence. Faisant juste passer ce moment pour un câlin quelconque.

La jeune femme lui donne une tape sur la main pour éviter qu’il aille trop loin avant de s’éloigner. Elle a beau sentir la mandarine, elle n’en reste pas moins une femme qu’il doit apprendre à respecter. Alors qu’elle s’apprête à monter dans la voiture, il la plaque contre la portière. « C’est évi.. » Elle n’a pas le temps de terminer sa phrase qu’il plonge sa tête dans le creux de son cou pour la mordre. Elle pousse malgré elle un gémissement, désireux d’en sentir plus alors que ses ongles s’enfoncent dans l’aine de Banda pour l’amener à elle. Sa poitrine se retrouve contre son torse et de nouveau, elle vient reprendre ses lèvres en otage. Si le premier baiser était affamé, nécessaire ; le second plus suave ; le troisième est très érotique. « Je n’aurai aimé la donner à personne d’autre de toute façon. » Même si le rendez-vous avait été avec un autre, elle a conscience qu’elle n’aurait pas pu aller jusqu’au bout. Car son cœur, son âme appartenaient à Banda mais pour son corps, c’était une autre affaire. « Promets-moi que tu seras doux. Je veux bien te donner mon corps, même s'il est pas très attirant mais seulement si t'es doux la première fois. »



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MessageSujet: Re: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptyLun 27 Fév - 20:48




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Je ne connais pas tout de Jade. Ça fait pourtant sept ans que nous nous connaissons, sept ans que je la suis et que j’apprends des choses sur elle à son insu. Je veux qu’elle n’ait plus aucun secret pour moi mais il y a des choses que je ne pourrais jamais savoir si elle ne me les dit pas. Je sais que je ne suis pas un homme particulièrement recommandable ni un homme de confiance mais si Jade est toujours proche de moi après autant de temps, c’est que je ne lui fais pas peur et apparemment, elle m’aime. Je me montre plus sombre alors que nous sommes particulièrement proches pour la première fois. Je plonge mon regard inquisiteur dans le sien.

-Alors dis-moi pourquoi tu l’as fait si ce n’était pas pour m’oublier ?

Elle ne sait pas ce que je seras prêt à faire pour elle. Je ne reculerais devant rien pour elle, je ferais tous les sacrifices, tous les efforts. Elle est mon obsession, la seule femme que j’ai jamais regardé. Je hausse les épaules avec une certaine désinvolture. Je ne vois pas pourquoi j’aurais pris la peine de lui préciser quelque chose qui me semblait évident. Je me retiens de lui dire que je viens déjà à tous ces entraînements sans qu’elle ne me remarque. Je sais que ce ne serait pas bien vu d’avouer de but en blanc que je la suis secrètement depuis des années. Je lève les yeux au ciel.

-Je n’ai jamais dit être adepte du BDSM. Tu es la personne la plus précieuse à mes yeux, je ne te ferais jamais de mal.

Je ne lui veux aucune souffrance, elle devrait le savoir. Je dépose mes lèvres sur les siennes, ne pouvant plus attendre plus longtemps. Je suis venu ce soir pour mettre fin à une amitié de longue date, pour avoir plus. Mon corps, pour la première fois, se réchauffe sans que j’aie besoin de me montrer violent ou sadique. Je laisse sa main caresser ma joue, je ne suis pas du tout tactile mais avec elle, ça ne m’a jamais dérangé.

-Je n’ai pas eu besoin de te connaître pour savoir que tu étais la bonne. Je l’ai su au premier regard., je marque une pause comme mes doigts continuent de se perdre dans sa chevelure, Pas besoin de me remercier. Je ferais toujours tout pour te protéger.

Nous sommes interrompus et il ne m’en faut pas plus pour me tendre. Je regarde froidement le serveur avec certaines envies de meurtre que je ne contrôle pas. Ma main sur la table se referme en un poing tremblant quand tout à coup, Jade pose ses lèvres sur les miennes, m’enfermant dans son monde bien plus paisible que le mien. Mes lèvres frôlant les siennes, je la regarde avec une certaine malice dans le regard. Notre relation ne pourra pas être saine parce que je ne suis pas un homme recommandable et j’espère qu’elle a conscience de ce dans quoi elle s’embarque.

-Je veux tout savoir de toi, même tes plus sombres secrets.

Elle s’éloigne de moi malgré la tension qui régnait entre nous et je peste entre mes dents, mécontent. Je n’aime pas que la femme qui m’appartient m’échappe comme ça. Une fois dehors, je ne perds pas de temps pour la plaquer contre la portière. J’ai beau me faire violent, je ne le suis pas assez pour la blesser. Mes lèvres viennent goûter sa peau, mes dents la mordent pour laisser sur sa peau ambrée la marque de mon passage. Un sourire sadique étire mes lèvres quand elle gémit et que ses ongles s’enfoncent dans ma peau. Plaqué contre elle, je profite du baiser qu’elle m’offre une seconde fois. Mes mains se posent sur sa taille alors que je la jauge avec ce qui pourrait le plus se rapprocher de la tendresse.

-Je te l’ai déjà dit. Je ne te ferais jamais de mal mais je veux que tu sois entièrement à moi dès ce soir.

Ma main la serre contre moi comme je nous écarte de la voiture pour ouvrir la portière passager et la lâcher pour qu’elle s’installe. J’ai bien compris qu’elle voulait attendre la fin de la soirée. Je ne suis pas patient mais elle vaut la peine que je me fasse violence quelques heures et en quelque sorte, la frustration est délicieuse. Je prends place derrière le volant et démarre mon 4x4 pour prendre la direction du parc. Je me fais silencieux, sur le trajet, fixant impassiblement la route alors que je n’ai jamais été très bavard. Et elle le sait.



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MessageSujet: Re: (Débandade) Prank de la Saint Valentin   (Débandade) Prank de la Saint Valentin EmptyLun 27 Fév - 21:22


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La raison pour laquelle elle s’était inscrite sur ce site de rencontres était plus obscure que Banda. Pour échapper à son passé, pour libérer son petit frère de ce poids de devoir vivre avec elle en subissant sa folie. Ses terreurs nocturnes, ses tocs et ses peurs. La jeune femme lève le nez vers Banda alors qu’il est très proche d’elle. Ses doigts caressent doucement les siens pour remonter le long de son avant-bras. Elle trace un chemin, malgré la colère qui brille dans son regard, un chemin doux et tendre. « Ce n’est ni le lieu, ni le moment. » Pour raison que même s’il pouvait faire peur aux autres, la façon dont il a de la regarder, ça l’excite. Elle sait qu’elle n’est pas vraiment nette pour ce coup mais Jade n’a jamais rien contrôlé de son attirance pour Banda.

Alors qu’il lève les yeux au ciel, sa remarque arrache à notre demoiselle un rougissement et un ravissant sourire. Elle a toujours eu cette manière d’illuminer la pièce, ne désirant pas se murer dans un passé insoutenable et sanglant. Sa main se perd dans sa nuque alors que ses serres s’enfoncent davantage dans sa peau. « C’est pareil pour moi, tu sais. » Elle souffle ceci à mi-mot car elle n’a jamais avoué ses sentiments à un homme. Et ne peut pas avoir la même désinvolture que lui. On dirait presque qu’il lui demanderait le sel avec son air presque courroucé. « Tu vas arrêter ça, Banda. Je suis à toi, maintenant donc tu vas arrêter de taper tout ce qui bouge. Je n’ai aucune envie de t’apporter des oranges avec une lime à ongles cachée dedans. » Elle penche la tête sur le côté. Pourra-t-elle le contrôler ? Après tout, la jeune femme avait aussi des pulsions violentes. Et réfrénait sa colère grâce à un art martial. Banda saurait trouver tout seul de quoi le canaliser.

La jeune femme lui rend son baiser sur le même ton et retient un gémissement. Car bordel, ils sont dans un lieu public. Son corps voluptueux contre celui de Banda, elle se sentirait presque revivre tant son cœur cogne fort dans sa poitrine. Elle en veut plus mais le laisse souffler contre ses lèvres des déclarations voilées. « Donc en gros, je suis quoi ? Ton obsession ? » Sa main remonte doucement dans ses cheveux à mesure qu’elle effleure ses lèvres, que sa poitrine est collée contre son buste. Que leurs regards se télescopent. Elle se surprend à être séductrice à mesure qu’elle caresse ses cheveux avant qu’ils ne soient interrompus. Pas plus mal quand on y pense, elle aurait été prête à se faire prendre sur la table.

Elle voit la main de Banda se refermer en un poing et pose la sienne dessus avant de lui faire tourner la tête. S’il a initié le baiser, il est normal qu’elle lui rende. Mais d’une manière plus douce, plus chaude et plus tactile. De nouveau, son corps se réchauffe à son contact. Et elle se demande comment ils ont fait pour tenir sept années sans se sauter dessus ? L’aveuglément à coups sûrs. « Ça viendra avec le temps. » Bien qu’elle allât devoir lui parler de ses terreurs nocturnes. Elle sent la main de son compagnon qui descend sur sa cuisse et le stoppe. Pour le voir se frustrer ce qui lui arrache un rire mélodieux alors qu’elle sort du restaurant.

Une fois à l’extérieur, elle n’a pas le temps de terminer sa phrase qu’il est de nouveau sur elle. Est-ce que ça sera tout le temps comme ça ? Bon, Jade ne s’en plaindra pas mais ses iris ambrées le fixent alors que son corps réagit de lui-même à la morsure. Elle reprend ses lèvres en otage, échaudée, sentant ses mains autour de sa taille alors que ses ongles s’enfoncent dans son aine. « Je suis déjà toi. Depuis sept ans. » Elle le couve d’un regard tendre avant de monter dans la voiture, le rose aux joues.

Tandis qu’il conduit, elle fixe le paysage avant de venir poser sa main sur la sienne. « Je me suis inscrite pour trouver quelqu’un, c’est vrai. Car je fais des terreurs nocturnes depuis que j’ai cinq ans. » Sa main se serre un peu plus sur celle de l’asiatique. « J’ai grandi une tribu proche du village Leseda et quand j’ai eu cinq ans, tout le monde a été massacré sous mes yeux. Moi y compris. » Et elle n’a que cesse de se rappeler des cris de sa mère, de son père, de voir son frère tomber à ses pieds. Alors que Banda se gare, elle se tourne vers lui pour attraper ses doigts. « Je suis restée deux ans sans parler. C’est la famille de Finn qui m’ a sorti de l’orphelinat mais… » Elle se fait plus timide alors qu’elle dévoile une de ses épaules ainsi que la partie où trône son cœur. Délicatement, elle amène la main du beau japonais dessus pour laisser son doigt frôler la réminiscence de son passé. Elle ne se rend pas compte qu’elle a découvert son sein, pour elle, c’est secondaire. « J’ai la même dans le dos. Et une sur le ventre. C’est pour ça que je te dis que mon corps n’est pas désirable. Et quand tu vis un bain de sang, que tu y survis, les films d’horreur te paraissent fades. » Elle penche la tête sur le côté, ayant perdu son air jovial pendant quelques secondes. « Je cherche, cherchait, une présence réconfortante pour mes nuits. Quoi de mieux qu’un psychopathe qui dort avec un canif pour éloigner les démons ? » Sans se rhabiller, comme on l’a dit c’est secondaire, elle se rapproche de lui. Sa main passe dans sa nuque, caressant son derme du bout de ses doigts. « Tu n’es pas un monstre, tu sais. Parce que les monstres, je les ai vus. T’es juste un peu fou. Et même les fous ont le droit d’être aimé. » Elle frôle doucement son nez, sans franchir la barrière du baiser avant de plonger dans son regard si noir. Lui ayant livrée la part la plus sombre de son histoire.




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