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 (Cocat) save our daughter.

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MessageSujet: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyMer 1 Fév - 21:15


w/             @Larry Cateway   coeur  
 


« Madame Cateway, je vous appelle pour vous dire que tout va bien. » Tout va bien. Il va bien. Tout va bien. La jeune femme tenait son téléphone dans la main alors qu’elle fixait sa petite fille endormie. Elle n’avait aucune nouvelle de Larry depuis son retour. Et elle avait cette angoisse que le père de ses enfants ne soit plus de ce monde. Et si la fin de malédiction avait précipité sa maladie ? Et s’il n’était pas dans le même monde qu’elles ? La jeune femme n’en avait aucune idée alors qu’elle était sur le point d’accueillir leur second miracle. L’arrivée de Naoki avait été un vrai bonheur pour les parents qui n’espéraient pas tant. Tout comme leur mariage avait été très émotif. Mais alors que sa bague de fiançailles et son alliance brillaient à son doigt, elle n’avait revu personne. Elle était seule dans ce monde qui lui était maintenant étranger. Sans ses parents qui étaient décédés, sans son chat qui était porté disparu aussi. Et elle avait emménagé au Pink Palace dans le but que tout le monde lui revienne. Mais pour cette jeune mère, le temps était à l’orage. Sa fille ne marchait toujours pas. Et dans son ventre grandissait un petit être qui ne connaîtrait jamais son père.

Elle était donc allée se coucher en se drapant dans le châle de sa mère pour dormir d’un sommeil perturbé. Coraline avait rendez-vous avec l’obstétricien le lendemain pour savoir si c’était un garçon ou une fille. Même si elle était certaine que c’était un garçon. Sa main se referma sur le doudou de sa fille à mesure qu’elle sombrait dans un sommeil plein de cauchemars. Ses souvenirs revenus, elle rêvait de l’autre mère, du cauchemar qu’elle avait vécu et se réveillait souvent trempée de sueurs ou en proie à un hurlement. C’était une mauvaise idée que de revenir ici. Mais elle ignorait encore à quel point.

Elle dormait profondément lorsqu’un hurlement la réveilla en sursaut. Des pleurs. Ceux de Naoki. La jeune mère se releva pour courir jusqu’à la chambre et voir le lit vide. Non. Où était la petite ? Elle dévala les escaliers pour suivre les cris qui se répercutaient jusque dans les tréfonds de la forêt avant d’avoir une vision qui lui glaça le sang. L’autre mère se tenait devant elle et tenait sa fille entre ses griffes. « Lâche ma fille, hurla Coraline. » Bien que tétanisée par cette apparition, elle attrapa la première chose qui lui passa sous le nez pour le lever. Ok, un chandelier ça fera l’affaire. « Lâche-la ! » L’autre mère sourit avant de venir griffer la joue de la petite qui poussa un hurlement de terreur, essayant de se dégager de la poigne du monstre qui la tenait. « Oh, quelle joie de te revoir, Coraline. Et tu m’as amené un présent. Comme c’est gentil à toi. » La voix doucereuse de l’autre mère la ramena à des souvenirs lointains alors que Coraline ne pouvait pas frapper l’araignée. Elle tenait son bébé et elle risquerait de la blesser. « Mais dis-moi, ma chérie, où est donc le papa ? Ne me dis pas que c’est ce rejeton infâme à qui j’avais ôté la langue. » Et pour imager, l’insecte fit claquer la sienne de manière sonore. « Lâche ma fille. Je ne me répèterai pas ! » Elle écumait de rage alors que ce n’était pas bon pour le bébé. Ce dernier ne bougeait pas encore mais elle était toujours préoccupée du bien-être de ses enfants. « Je ne crois pas. » Le monstre tourna la tête vers la petite. « Elle est absolument charmante et tu m’as blessée sincèrement blessée, Coraline. Je t’ai offert le monde. Des merveilles et toi, comment m’as-tu remercié ? » En manquant de la tuer. Posant une main protectrice sur son ventre, elle serra le chandelier dans ses mains, quitte à blanchir ses jointures. « Mais… si tu me donnes tes yeux, je consentirai à relâcher l’enfant. Peut-être. » Le regard de Coco pivota vers sa fille qui mordit dans la main de l’autre mère qui secoua la main pour faire lâcher prise au petit démon alors que Coraline abattit son arme sur sa tempe. Le monstre vociféra alors que Coraline frappa encore et que Naoki continuait de la bouffer. La main valide et mécanique du monstre se referma alors sur la gorge de Coraline alors qu’elle se débattit. « Personne ne viendra te sauver, cette fois-ci. Je vais commencer par manger ta fille et après, je t’avalerai avec ton enfant. »



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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyMer 1 Fév - 23:49


S
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DAUGHTER
La vie de chat est bien plus confortable que celle d’un humain, surtout celle de l’humain que j’étais. Évidemment, je regrette la vie que j’avais avant, ça m’obsède de ne pas savoir où est ma Coraline et notre fille. Elles me manquent toutes les deux terriblement. Pour elles, je reprendrais ma forme humaine, même si ça veut dire que je serais à nouveau malade. Ma femme était enceinte la dernière fois que je l’ai vue, nous ne savions même pas encore si le bébé portait le gêne de la maladie ou pas. Ça me rend fou et ce même sous la forme d’un chat. Je cherche à tout prix à les retrouver mais il y a un endroit que j’évite. Un endroit qui semble évident sans que je veuille y croire. Le Pink Palace. Je n’y suis pas retourné depuis que Storybrooke m’a renvoyé sous ma forme de chat. Je déteste cet endroit, je sens qu’il y a quelque chose de mauvais. Pourtant, nous avons battu le monstre qui y vivait mais… et si elle était revenue ? Ça fait plusieurs heures que je fixe la bâtisse au loin. Je vois qu’il y a de la vie, que quelqu’un est à l’intérieur mais pourquoi diable Coraline y serait-elle retournée ? La nuit tombe très vite et pourtant, je ne bouge pas. Mes yeux bleus me permettent de voir dans le noir et de comprendre quand l’habitant va se coucher. Je ne sais pas pourquoi je reste. J’ai comme un pressentiment mais rien d’assez fort qui me pousse à m’approcher.

Jusqu’à ce que j’entende les pleurs. Mon oreille fine ne peut pas les manquer et je les reconnais instantanément. Comment ne pas reconnaître les cris de son propre enfant ? Ma Noaki. Ce qui signifie qu’il y a aussi ma femme. Je n’attends pas une seconde de plus pour redresser et foncer vers la demeure. Si ma fille pleure comme ça, ce n’est pas pour rien. Ce ne sont pas les cris d’un cauchemar, ce sont des cris de terreurs. Je dois trouver un moyen d’entrer et vite. Je me faufile par une fenêtre ouverte pour les voir. Ma femme. Ma fille. Et elle. Elle est de retour et elle tient notre enfant. Coraline tient un chandelier et mes poils se hérissent quand j’entends les mots de l’autre mère. Elle veut notre Naoki mais elle connaît mal ses parents. Elle ne sait pas à qui elle s’en prend. Naoki est d’ailleurs plus féroce et je sourirais si je n’étais pas un chat alors que je vois notre enfant mordre le monstre qui la retient. Je veux m’avancer mais déjà, Coco intervient pour frapper le monstre. Je la reconnais bien là, à protéger ceux qu’elle aime bec et ongles mais il est temps que notre famille se reforme. Je ne peux pas m’en réjouir pour le moment, pas tant qu’elle est là. Alors que la Coréenne qui détient mon cœur se fait attraper, c’est l’heure d’entrer en scène. Dans un feulement plein de rage, je bondis sur la tête de l’autre mère. J’ai toujours détesté ça mais parfois, c’est inévitable. Plantant mes griffes sur son visage pour l’empêcher de voir, je la vois lâcher sa prise autour du coup de ma femme.

-Récupère Naoki !

Ma voix ronronne, bien plus grave que sous ma forme humaine. Je ne me détache pas de l’autre mère qui tente de se débarrasser de moi avec sa main libre. Je suis plus tenace que je le serais d’habitude mais il faut dire que tant qu’elle tient Naoki, je me battrais quitte à me mettre en danger pour elles.

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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyJeu 2 Fév - 0:09


w/             @Larry Cateway   coeur  
 


Ce sont des cris de terreur qui réveillent Coraline. Les cris de son enfant. Elle ne perd pas une seconde pour foncer, pieds nus et dans son pyjama trop petit. Il faut dire que son corps commençait à s’arrondir pour la seconde fois. Elle arrive au salon, essoufflée avant de voir sa fille, la chair de sa chair, tenue par l’autre mère. La petite se débat entre la poigne du monstre alors que Coraline attrape un chandelier. Pour ne pas perturber sa fille, elle avait gardé son apparence de Storybrooke. Ses traits coréens mis en valeur par sa peau diaphane alors qu’elle serrait son arme pour dispenser un regard haineux à son ancienne mère. Cette dernière sait que Coraline ne peut rien faire tant qu’elle tiendra l’enfant. Et elle en joue. Coraline feule tandis que Naoki hurle à plein poumons. Cela mit la mère dans une rage sourde et alors que sa petite planta les crocs dans l’avant-bras de l’araignée, Coraline abattit le chandelier sur sa tête. Elle frappa de manière effrénée alors que sa fille continuait de la mordre sans lâcher prise.

Un grondement s’éleva dans la pièce, figeant la jeune mère tandis que le monstre referma sa prise sur la gorge de Coraline pour la soulever de terre. Mais elle atterrit aussi sec sur le sol, protégeant son ventre avant de le voir. Le chat. La voix du félin résonna dans la pièce alors qu’elle le fixait sans bouger. Naoki. Rapide, la coréenne fonça pour voir que sa fille avait été propulsé dans les airs. Lorsque soudain, elle se métamorphosa en.. chaton ? SA FILLE EST UN CHATON. Coraline l’attrapa de justesse, glissant au sol alors que le chat continuait de se battre contre le monstre. « Papa ! » La voix de sa fille dans un corps de chat. Papa ? Non mais c’est une blague ? Elle fit la navette avant de courir dans le couloir pour planquer le chaton dans la penderie avant d’attraper la pelle qui trônait fièrement dans l’entrée. Le monstre s’égosillait toujours tandis que Coraline leva bien haut son arme. Non, ce chat ne pouvait pas être Larry. C’est impossible.

La pelle s’abattit sur le pied de l’autre mère qui commença à hurler. Puis faisant attention à ne pas toucher le félin, elle abattit l’arme sur la tête de cette dernière. Pour la décrocher du haut de son corps. Elle roula sur le sol. Ne s’en occupant pas, elle vient abattre son arme sur le corps qui tomba au sol. « Ne. Touche. Pas. A. Mon. Enfant. » La pelle produisit un bruit sourd alors qu’elle continua de frapper encore et encore. Le réduisant en charpie métallique. Mais tant qu’elle ne sera pas poussière, Coraline ne s’arrêtera pas. Pour le coup, elle avait juste la vision de l’autre mère tenant sa fille entre ses griffes et du sang sur le visage de son bébé. Donc elle continua de frapper. « Amène-moi sa tête ! » On ne s’en prend pas impunément à une femme enceinte. Et surtout pas à une Cateway !




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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyJeu 2 Fév - 1:49


S
AVE
OUR
DAUGHTER
Ma dernière rencontre avec l’autre mère n’avait pas été des plus agréables puisque Coraline n’avait pas hésité avant de me jeter sur le monstre. Cette fois-ci, si je saute sur notre ennemie commune, c’est de mon plein gré et pour une cause particulière : ma famille. Je ferais tout pour elle et déterminé à rapidement serrer ma femme dans mes bras, je donne tous les coups de griffes possibles. Coraline et moi avons toujours fait une très bonne équipe mais notre priorité, c’est notre fille et il faut d’abord la mettre en sécurité. Un miaulement inquiet m’échappe quand je vois notre enfant s’envoler avant de se transformer en chaton. Je m’arrête une seconde, choqué de ce que je vois. Naoki a la même capacité que moi ?! Je ne peux pas me déconcentrer trop longtemps puisque l’autre mère reste dangereuse. Je suis ravi de voir que ma fille me reconnaisse et ça me pousse à me battre encore plus alors que Coraline l’emmène ailleurs. Quand ma femme revient, elle est munie d’une pelle et s’attaque sévèrement à l’autre mère, la décapitant avec une pelle. Je retombe sur mes pattes et regarde ma femme se déchainer sur le corps sans tête. Elle est en colère et je la rejoins dans ses émotions. Je décide alors de reprendre ma forme humaine, redevenant pour la première fois Larry depuis mon retour et je porte mon attention sur la tête qu’elle m’a demandé d’apporter.

-Laisse-m’en quand même un peu !

J’attrape un tisonnier près de la cheminée et le lève pour brusquement écraser la tête de l’autre mère. Si elle s’en relève, je ne comprendrais pas. Abattant à plusieurs reprises mon « arme », je détruis violemment le morceau de corps avant de m’appuyer sur le tisonnier dans un soupire alors que je me sens vite épuisé.

-Il n’y a pas à dire, ça défoule !

Je passe une main dans mes cheveux décoiffés. Depuis le temps que je n’ai pas repris forme humaine, je suis très débraillé et sale. Regardant les restes de notre ennemie, je porte vite mon attention vers ma femme. Elle m’a manqué. C’est la première chose que je me dis. La deuxième, c’est que je la trouve terriblement sexy quand elle est en colère. Je m’avance en m’appuyant sur une canne de fortune et lui prends doucement la pelle pour la jeter au loin et la prendre dans mes bras. Elle est enceinte, il ne faut pas qu’elle en fasse trop.

-C’est fini. On l’a battue, elle ne reviendra plus.

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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyJeu 2 Fév - 8:20


w/             @Larry Cateway   coeur  
 



Coraline écume de rage. De voir ce monstre tenir son bébé dans ses bras. Elle n’ose imaginer ce qu’il y aurait eu lieu si le chat n’était pas intervenu. Elle ne comprend rien. Alors qu’elle voit le monstre en proie au félin et que sa fille est propulsée dans les airs. La coréenne plonge pour la rattraper alors que Naoki se transforme sous ses yeux en chaton. Un chaton au pelage aussi noir que la nuit. Comme… non ce n’est pas possible et pourtant la voix de celui qui l’avait tenté aider raisonner dans la pièce. Se pourrait-il que cela soit Larry ? Sa fille semble penser la même chose alors que la jeune mère la prend pour aller l’enfermer à l’abri de son autre mère. Le chaton pleure en fixant sa mère. « Maman, reviens! Tu ne bouges pas. » Elle lui laisse la lumière avant d’attraper une pelle et retourner au front.

Levant son arme, elle l’abat dans un premier temps sur le pied puis sur la tête du monstre en le décapitant. Fixant le chat, elle constate qu’il n’a rien. Puis elle commence à se défouler sur le corps de l’autre mère qui frémit à chaque coup de pelle. Un fracas assourdissant retentit dans la pièce et elle entend la voix de Larry qui la stoppe. La jeune femme se tourne pour le voir. Debout. A ses côtés. Un tisonnier dans les mains. « Fais-toi plaisir, amour. » Son coeur bat plus vite. Et elle continue son macabre ouvrage avant que sa moitié ne prenne sa pelle et la jette au loin. Coraline fond dans ses bras avant de venir plaquer ses lèvres sur les siennes avec une certaine violence. « Tu m’as tellement manqué! J’ai cru que… » Qu’il était mort.

Un pleur la tire de l’étreinte de l’homme de sa vie et elle s’écarte à regrets pour le voir épuisé. Est-il toujours malade ? Elle le fixe un instant avant de partir libérer leur fille qui a recouvré apparence humaine. Sans comprendre, Coraline se penche mais Naoki est plus vive et se met sur ses petites jambes pour partir vers son père. MAIS ELLE MARCHE ? Coraline la suit alors que l’enfant lève les bras vers son papa pour qu’il la prenne dans ses bras. « Elle… Elle avait jamais marché avant. » Et s’en est trop pour Coco qui fond en larmes et s’approche des deux amours de sa vie. « On va bien. On va tous bien. » Se rassure-t-elle. La coréenne lève un regard brillant vers son époux. « il va bien! »



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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyJeu 2 Fév - 17:18


S
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OUR
DAUGHTER
Grâce à mon intervention, je permets à ma femme de récupérer notre fille sous la forme d'un chaton. Elle doit plus tenir de moi que je ne l'imaginais et ça m'amuse plus qu'autre chose même si ça risque d'être très difficile à gérer. Me concentrant sur notre ennemie, celle-ci est rapidement mise à mort par Coraline une fois qu'elle revient. Retombant sur mes pattes grâce à mon agilité de chat, je vois mon épouse décharger tout sa haine sur le cadavre du monstre qui l'a tant fait souffrir par le passé. Décidant de profiter de l'occasion, puisqu'après tout, l'autre mère et moi avant un passif, je reprends également forme humaine pour l'aider à réduire à néant notre ennemie commune. Évidemment, je tiens moins longtemps que ma moitié, épuisé à cause de ma maladie qui revient de plus belle. Ça m'arrange d'un côté puisque je suis trop impatient d'à nouveau pouvoir la serrer dans mes bras. La débarrassant rapidement de sa pelle, je la prends passionnément dans mes bras. Ses lèvres ne tardent pas à trouver les miennes et je ressens dans ce baiser à quel point je lui ai manqué. Elle ne peut pas imaginer à quel point j'ai voulu la retrouver, les retrouver comme en revenant dans mon monde, j'ai été privé de ma femme et de ma fille. Tout va rentrer dans l'ordre maintenant. Ma main glisse dans ses cheveux comme mon front se pose contre le sien.

-J'ai tout fait pour te retrouver au plus vite. Je suis désolé de t'avoir inquiété, jagiya.

Mes lèvres cherchent à nouveau les siennes et je lui offre de nombreux et courts baisers avec une certaine passion. J'ai l'impression d'à nouveau respirer, il m'était vital d'être au plus vite à ses côtés. Évidemment, je suis toujours malade, moi qui espérais que ma maladie avait disparu alors que sous ma forme de chat, je me sentais en pleine forme. Je suis déçu mais je n'ai pas envie d'y penser maintenant. Pas alors que je suis de nouveau le plus heureux des hommes. Des pleurs me poussent à arrêter de l'embrasser et je la laisse partir à la recherche de notre fille. Je la suis plus lentement, m'appuyant difficilement sur le tisonnier. J'aimerais courir pour récupérer Naoki alors que j'ai l'impression de ne plus l'avoir vue depuis une éternité. Fichue condition physique... Alors que je m'approche péniblement, je vois la petite se mettre sur ses jambes pour marcher vers moi. La dernière fois que je l'ai vue, elle n'avait pas encore fait ses premiers pas. Mon regard s'embue alors que je la prends directement dans mes bras, savourant la sensation de son petit corps contre le mien. Je lève un regard surpris vers Coraline qui m'annonce que ce sont ses premiers pas. Je vois ma femme fondre en sanglots et retiens difficilement mes larmes. Gardant notre fille dans l'un de mes bras, j'attire sa mère contre moi. Une larme roule sur ma joue et j'ai ma gorge serrée. En un jour, je retrouve celle que j'aime plus que tout, notre enfant étant tout aussi précieuse et en plus, nous assistons ensemble à ses premiers pas. Je dépose de tendres baisers sur les yeux humides de mon épouse.

-Je ne laisserais plus rien nous séparer.

Je serre un peu plus fort ma fille, fier d'elle et de ses premiers pas. Reportant mon attention vers Coco, je fronce les sourcils, ne comprenant pas bien ses mots. De qui parle-t-elle ? Je la questionne avant qu'un éclair de génie ne me traverse.

-Tu parles du bébé ? Tu as passé le test pour vérifier qu'il n'a pas mes gènes ?

Je peine presqu'à y croire. Nous avons évidemment attendu après la naissance de Naoki avant de réessayer mais nous n'avons pas trop tardé et si Nao a été un véritable miracle, ça n'a pas été aussi simple pour notre deuxième enfant. J'ai envie de croire que je vais pouvoir la revoir enceinte et voir notre famille s'agrandir.

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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyJeu 2 Fév - 21:19


w/             @Larry Cateway   coeur  
 



Coraline était essoufflée et en nage alors que la pelle vint atterrir lourdement sur le sol. Elle fit volte-face pour tomber face à Larry. Certes, elle avait entendu sa voix pendant le combat mais elle avait cru à un mirage. Sa main se pose sur la joue de son âme sœur alors qu’elle plonge sur ses lèvres tandis qu’il la prend dans ses bras. La jeune maman fond en larmes dans les bras de son mari, le serrant plus fort contre elle alors que son petit corps tremble contre lui. Trois mois. Elle avait cru mourir pendant trois mois. Sans lui à ses côtés, elle se sentait incomplète. Il était son premier amour, son grand amour, son seul amour. Alors qu’il pose son front contre le sien, elle se rend compte que ses joues sont baignées de sanglots. Sa main descend dans sa nuque alors qu’elle renifle. « Je t’aime, murmure-t-elle pleine d’émotions. » Et elle continue de lui dire. A chaque baiser qu’il lui donne, elle lui souffle les mots dans toutes les langues qu’elle connait. Son cœur se réchauffe petit à petit, se remet à battre. Car elle avait le sentiment que tout chez elle était à l’arrêt. Perdue dans ses bras, elle est tirée de son étreinte par les pleurs de leur enfant.

Elle se détache à regret avant de voir qu’il marche avec difficulté et lui fait signe de rester là. Heureusement, Naoki est redevenue un bébé et elle se pousse pour laisser sa petite se mettre sur ses jambes. Et marcher jusqu’à son père. Coraline a un sourire fier -il était temps- et elle fond en larmes. Ses hormones lui font faire n’importe quoi et elle s’approche pour fondre dans les bras de Larry. Elle voit la larme rouler sur les joues de son bien aimé et vient l’essuyer alors que la petite tape des mains dans les bras de son père. Coraline vient effleurer le cou de sa moitié avec son nez avant de sourire. Sa famille est enfin au complet. Tous les quatre. « Moi non plus. » Pas même la mort. Même si elle devait vendre son âme. Elle s’écarte alors d’eux pour prendre une profonde inspiration.

Puis elle hoche la tête à sa question sur le bébé.

La coréenne soulève son haut pour lui montrer son ventre légèrement rebondi. « On a rendez-vous demain pour savoir si c’est une fille ou un garçon. » Caressant tendrement son ventre, elle s’approche de sa fille pour venir poser ses lèvres sur la joue rebondie de sa petite fille. « Tu dis à papa ce que maman a dans son ventre, nae salang. » La petite tape de nouveau des mains avant de se tourner vers son père avec un grand sourire, dévoilant de nouvelles dents. « namdongsaeng ! » Elle crie limite ses mots, quémandant un petit frère à son papa. « T’auras un petit frère si tu vas dodo. » Naoki secoue frénétiquement la tête avant de fermer les yeux et… oh non, elle s’est retransformée en chaton. Le bébé grimpe jusqu’au cou de son père avant de gratter sur sa joue avec ses petites griffes. « Nooooon. » Ok c’est bizarre. Coraline roule des yeux. Elle se tourne pour tendre la canne de son père à Larry, afin qu’il puisse mieux se mouvoir. La jeune maman s’approche de son mari pour déposer tendrement ses lèvres. « Tu veux bien la coucher mon chat ? Et après, on va prendre une douche. Je veux voir si tu ronronnes quand je te caresse… » Mariée à un chat, mère d’un chaton. Elle se fige sur le pas de la porte en le fixant avec des grands yeux. « Tu crois que je vais mettre au monde un chaton ? »




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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyJeu 2 Fév - 23:35


S
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Je sais que comme retrouvailles, il y a mieux que de devoir combattre l’autre mère ensemble une nouvelle fois et en même temps, ça démontre que nous faisons face ensemble peu importe les épreuves. Trois mois séparés, trois mois dans la solitude la plus complète et la plus difficile. Je ne rêvais que du moment où je la serrerais à nouveau dans mes bras. Et ce moment est enfin arrivé alors que notre ennemie est réduite en cendre. La gardant contre moi, la couvrant de baiser, je ne me lasse pas de l’entendre encore et encore me dire je t’aime dans plusieurs langues.

-Nado saranghae.

Et alors que je lui réponds avec des étoiles dans les yeux, des pleurs d’enfants nous atteignent, nous rappelant que nous avons une petite fille qui attend impatiemment que nous venions la chercher. Je peine à me déplacer avec ma canne assez bancale et m’arrête comme la femme de ma vie m’indique de l’attendre pour voir le plus beau spectacle : les premiers pas de Naoki. Je pense que nous ne pouvons pas être plus heureux qu’en ce moment alors que je porte notre fille et que je serre ma femme dans mes bras. De toute évidence, je me trompe. Je peux être plus heureux puisque j’apprends que notre deuxième enfant va pouvoir voir le jour. Il n’en faut pas plus pour que mon regard se remplisse davantage de larmes. Elle soulève son haut pour découvrir son superbe ventre et je la couve d’un regard amoureux et tendre. Ma main vient tendrement caresser son ventre.

-J’arrive au bon moment, il me semble.

Je suis ravi de pouvoir être présent pour savoir si nous aurons une seconde fille ou un garçon. J’adore regarder ma femme et la tendresse qu’elle offre à notre fille. Je n’ai plus jamais envie d’être privé de cette vie, plus jamais. Je ris, attendri, quand elle s’écrie que Coraline porte un petit frère. Je dépose à mon tour mes lèvres sur sa joue, évidemment, on ne peut pas promettre un petit garçon mais malgré ça, ma femme fait un marché avec Naoki. Elle a un caractère bien trempé, notre fille, elle tient son nom d’une femme qui lui ressemble un peu. Elle se transforme d’un coup en chaton pour grimper dans mon cou et je lance un sourire amusé à mon épouse.

-Je sens que cette transformation va être très difficile à gérer !

Je récupère ma canne, agréablement surpris de voir qu’elle en a gardée une au cas où. Ce sera bien plus simple pour moi-même si cette maison est déjà mon pire cauchemar pour une raison précise : les escaliers. Ça fait longtemps que je n’en ai plus monté, après tout, nous habitions dans une maison plein-pieds à Storybrooke.

-Je m’occupe du chaton. Je me réjouis de me doucher, ça fait longtemps…

Je ne suis pas très fier de cet aveu mais il faut s’en douter. Ça fait trois mois que je suis sous la forme d’un chat, niveau douche, c’est compliqué. J’éclate de rire face à sa remarque et secoue la tête.

-À mon avis, tu accoucheras d’un bébé tout ce qu’il y a de plus normal, mon amour. Pour se transformer, il faut le vouloir.

Je lui fais un petit clin d’œil puis reprends ma forme de chat. Récupérant le chaton dans ma gueule comme les chats le font pour porter leurs enfants, je monte aisément les escaliers pour trouver la chambre de la petite. Une fois dans son lit, je reprends ma forme humaine et suis rassuré de voir qu’elle m’imite. Remontant la couverture sur elle, je lui souhaite une bonne nuit et l’étreins tendrement, ayant du mal à la laisser seule même si ma femme m’attends. Quittant finalement la chambre, je retrouve ma femme et me blottis déjà contre elle, comme un besoin vital de sentir sa chaleur contre la mienne.

-Je te laisse me guider vers la salle de bains ? J’ai très envie de tester ces caresses dont tu m’as parlé.

Trois mois, c’est énorme et je n’ai pas besoin de faire des sous-entendus, mon regard en dit suffisamment sur ce que je désire.

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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyVen 3 Fév - 0:15


w/             @Larry Cateway   coeur  
 



Alors que le monstre de ses cauchemars gît au sol, le cœur de Coraline ne bat que pour lui. Elle le couve d’un regard tendre, profondément épris alors que trois mois les ont séparés. Elle l’a cru mort. Elle a cru que jamais elle ne pourrait de nouveau le serrer dans ses bras. Et alors que son mari n’est qu’un chat, n’est pas qu’un chat. Est le chat. Elle sourit sous ses baisers, sous ses caresses, lui murmurant comme une promesse qu’elle l’aime. Déjà dans son autre vie, son cœur n’avait battu que pour lui. Et il en était de même ici alors qu’elle avait recouvre ses souvenirs mais que tout son être était à lui. Dans ses bras, elle se sentait invincible. Et alors que le fruit de leur amour se mit à marcher, elle sut qu’elle avait enfin trouvé le bonheur. Il y avait certaines ombres au tableau comme la maladie de Larry ou cette foutue maison. Mais dans le fond, elle était avec lui et c’était tout ce qu’il comptait.

et voilà qu’elle lui annonça que la seconde grossesse se déroulerait -presque- sans encombre, elle leva son haut pour découvrir son ventre. « C’est marrant car le docteur a dit que mon corps se rappelait ma précédente grossesse. Raison pour laquelle je suis déjà bien ronde alors que je suis enceinte que de quatre mois. » Son ventre était plus proéminent, sa poitrine aussi. Et tout son corps était sensible. Lorsque son compagnon vint lui caresser le derme, elle frissonna de bonheur. Et de désir aussi tandis qu’elle le couvait d’un regard plus incandescent. Tout lui avait manqué. La coréenne s’approche pour venir discuter avec la petite qui se transforme à nouveau en chat. « Tu vois ! Tu étais sceptique sur ton surnom mais en fait, j’avais raison. Tu es bel et bien mon chat. » Elle vient doucement effleurer son nez avant de poser chastement ses lèvres sur les siennes. Et caresse le pelage soyeux de sa petite fille. « T’as oublié le « avec toi ». Car tu sais que par souci d’écologie, nous devons prendre nos douches tous les deux. » Elle bat des cils avant de se reculer.

Son mari est un chat. Sa fille est un chaton.

« Oh seigneur, vous allez m’en faire voir de toutes les couleurs tous les deux. » Elle se baisse pour caresser le pelage soyeux de Larry et plonger dans son regard avant de prendre la canne. Elle monte les escaliers mais a un regard en arrière sur la silhouette de l’autre mère. Et si ? Elle hésite un instant avant de se dire qu’il ne fallait pas prendre de risques. Elle entend ses deux amours gazouiller à l’étage mais il est l’heure de faire du ménage. Coraline shoote dans les débris de la tête qu’elle envoie dans la cheminée avant de passer un coup de balai. Chaque particule est jetée au feu alors qu’en nage, elle les regarde brûler. « Là, t’es vraiment morte. Maman. » Elle l’avait reconnu. Sa mère adoptive était l’autre mère mais elle avait gardé ça pour elle. Puis, en nage, elle se décida à gravir les escaliers pour aller rejoindre sa moitié.

Elle n’a pas le temps de rejoindre la salle de bain que Larry la prend dans ses bras. Et sa chaleur lui avait manqué. Elle lève les yeux vers lui pour voir qu’il lui lance le regard. Celui qui pouvait la faire s’embraser. Donc elle se décolle de lui, glisse ses mains dans les paumes de son amoureux et recule jusqu’à la salle de bain. Là, elle le plaque contre le mur de la douche pour venir passer ses doigts sur son corps. Il lui a manqué, terriblement et elle a chaud. Elle entamait son second trimestre et ses hormones se déchaînaient furieusement. Les débarrassant de ses vêtements tout en douceur mais de manière précipitée, elle fit couler l’eau sur leur tête pour venir capturer son regard. Ses doigts vagabondent sur son corps et elle imprime chacun de ses muscles sous son doigté. Coraline brûle, elle s’embrase. « Serait-on devenu plus gourmand au niveau des préliminaires, monsieur Cateway ? Murmure-t-elle d’une voix sensuelle. » Est-ce que certaines choses avaient changé ? Elle l’interroge du regard avant d’humecter ses lèvres, passant sa langue sur ses dernières en guise de provocation.





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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyVen 3 Fév - 12:46


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Trois mois. C’est le temps que nous avons passé séparer et maintenant réunis, nous allons devoir tout rattraper. Elle est déjà ronde et pourtant, elle ne doit être qu’à son quatrième mois. Je la trouve magnifique et comme chaque fois que je croise son regard, je retombe un peu plus amoureux d’elle. Mes doigts frôlant son ventre rond, je l’écoute m’expliquer ce que le médecin lui a dit. J’aurais voulu être là dès notre retour de Storybrooke. Avoir raté trois mois de sa grossesse me fait mal. Fichue malédiction qui s’est amusée à nous séparer. Certes, j'ai déjà connu ma femme enceinte une fois mais ça n'excuse rien. J'aime la voir ainsi, être à ses petits soins et observer les changements de son corps provoqués par l'enfant que j'aime déjà qui grandit dans son ventre.

-C'est bon signe, ça veut dire que le bébé se développe bien. De toute façon, tu es une superbe femme enceinte.

Elle sait que je ne me lasserais jamais de la voir porter le fruit de notre amour. Si nous avions le temps, je sais que j'aurais aimé lui faire trois voir quatre enfants mais malgré la fin de la malédiction, je suis toujours condamné et Naoki ne sera peut-être pas assez âgée quand je partirais pour se rappeler de moi. Savoir que mes enfants ne se souviendront pas de l'amour que je leur portais est le plus dur mais j'essaye d'y penser le moins possible pour profiter de l'instant présent. J'espère qu'elle n'est pas trop gênée par le fait que je sois un chat et pas n'importe lequel. Même sous ma forme de matou, je garde une conscience humaine ce qui fait de moi un chat plus intelligent. Mon regard se fait malicieux alors que je souris en coin, penchant la tête comme il faut avouer qu’elle a raison.

-C’est comme si tu avais toujours vu ma véritable nature.

Je n’ai jamais eu de secrets pour elle, dans le sens où elle a toujours su quel homme j’étais, ce que je ressentais et ce dont j’avais besoin. Elle n’est pas devenue ma femme pour rien. Je me sens enfin complet maintenant que je peux l’étreindre contre moi. Une lueur de désir traverse mon regard, comme si la flamme qui nous attirait sans cesse l’un vers l’autre ne s’était jamais éteinte.

-Je vois… J’adore l’écologie.

Je lui fais un petit clin d’œil avant de reprendre ma forme de chat pour attraper Naoki dans ma gueule. Il est hors de question qu’elle s’enfuie, cette maison est beaucoup trop grande, ce serait presque dangereux, même si l’autre mère est morte. Me retrouvant un peu seul avec ma fille, c’est comme si rien n’avait changé et je m’en délecte. Je suis heureux à nouveau même si je suis toujours malade. Quand je sors de la chambre, je retrouve ma femme et la prend dans mes bras, comme un automatisme. Mon regard s’embrase d’un désir que je ne cache plus et je la connais : enceinte, ses hormones sont particulièrement actifs. Je suis loin de m’en plaindre alors qu’elle m’emmène dans la salle de bains et nous débarrasse rapidement de nos vêtements. Mon regard glisse sur son corps et je la trouve tellement sexy. Qui dit qu’une femme enceinte ressemble à une baleine n’a jamais vu ma Coraline. Mes mains entourent sa taille ayant déjà changé et je me mordille la lèvre inférieure.

-Tu sais que je ne suis pas patient et ça fait vraiment longtemps mais…



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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyVen 3 Fév - 13:08


w/             @Larry Cateway   coeur  
 



Il est rare de trouver des personnes autant faites l’une pour l’autre. Quiconque les verrait ensemble. Coraline et Larry sont très dépendants l’un de l’autre mais ça leur va bien. La jeune femme se sent complète contre lui. Elle savoure son étreinte, sa peau, ses baisers, lui. Avec leur bébé, ils forment une famille unie. Et les deux amoureux évitent de penser à la maladie de Larry. Mais Coraline avait eu peur que son mari lui soit ravi trop tôt. Elle voit sa fille s’amuser avec son papa et sourire comme elle l’avait rarement fait ces derniers temps. Larry n’était pas seulement fusionnel avec la maman mais aussi avec la petite.

« Ah oui il est en bonne santé. Mais j’ai le sentiment que je ne retrouverai jamais ma ligne. » Elle fait une moue enfantine tout en levant ses yeux vers Larry. Ce qu’elle vit dans son regard la fit rougir cependant alors que son air boudeur laissa place à un large sourire. Donc son mari était un chat. Elle laisse son nez venir frôler la joue de son amoureux avant d’avoir un soupir. « J’espère que je suis la seule minette de ta vie! J’ai pas envie de fouiller toutes les gouttières. » elle en plaisante alors que dans le fond, il reste son Larry. Le chat lui avait sauvé la vie et ils avaient toujours eu un lien très spécial. Elle passe une main dans ses cheveux, le couvant d’un regard tendre.

« Moi aussi. » Elle le regarde partir avec leur fille avant de se décider à faire disparaître l’autre mère de manière définitive. Ses pensées se tournent brièvement vers l’autre côté et se demande s’ils ne devraient pas aller le détruire ? Elle entend Larry avec leur fille à l’étage et remet ça à plus tard. Elle a un mari à combler. La coréenne monte donc pour se retrouver bien assez tôt dans les bras de Larry. Elle pousse un soupir d’aise. Alors qu’elle les débarrasse bien assez vite de leurs vêtements.





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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptySam 4 Fév - 2:22


S
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Je sais que ça peut sembler normal et simple. Un homme, sa femme enceinte et sa fille. Une famille un peu atypique mais tout de même, il existe des milliards de famille. C’est un bonheur simple, que tout couple peut connaître et pourtant, il y a des années, on m’a dit que je ne connaîtrais jamais ce bonheur, que ma condition m’en privait. Je me suis rabattu sur bien d’autres bonheurs que ce soit dans mon travail ou auprès de mes amis mais toujours, le fait d’être privé d’un rêve continuait de me hanter. Alors oui, être auprès de ma propre famille est un bonheur simple mais c’est le plus beau et le plus précieux qui soit. J’aime ma fille, ma femme et notre futur enfant qui va pouvoir voir le jour, mon cœur est assez grand pour les aimer tous les trois ardemment. Je ris doucement à sa remarque et lui lance un regard attendri.

-Tu n’as pas besoin d’avoir une ligne parfaite, mon ange.

Tout ce qui compte, c’est qu’elle s’aime. Moi, je la trouve toujours sublime mais je ne dois pas être très objectif. Peu importe, je suis fou d’elle et elle le sait. Il n’y a jamais eu qu’elle puisque mon « premier » mariage à Storybrooke ne s’est jamais déroulé et n’y aura jamais qu’elle.

-Pourquoi me serais-je intéressé aux gouttières alors que j’ai déjà une reine ?

Et une princesse que je m’empresse d’aller coucher même si elle fait des histoires, je sens que son pouvoir va être difficile à gérer. Elle a un caractère bien trempé, elle tient de ses parents et porte en plus le nom d’une femme de caractère. Tout ça ne va pas nous rendre la tâche facile mais peu importe. Je sais que chaque instant sera source de bonheur et de bons souvenirs. Je couche simplement ma fille et pourtant, j’ancre cet instant dans mon cœur pour le garder auprès de moi jusqu’à la fin. Quand je retourne auprès de mon épouse, l’ambiance s’échauffe sans surprise vu le temps que nous avons passé loin l’un de l’autre.

-Tu sais que je n’ai jamais été comme les autres.



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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptySam 4 Fév - 12:59


w/             @Larry Cateway   coeur  
 




Qui aurait cru que Coraline aimerait être enceinte ? Après une première grossesse, la voilà qui attendait le second bébé avec ravissement. Elle avait sauté de joie lorsque le médecin lui avait annoncé que ce dernier allait bien. Que tout était normal. Et depuis, elle suivait chaque étape scrupuleusement pour que son bébé soit en bonne santé. Alors que durant la première, elle avait senti qu’ils auraient une petite fille, là elle sentait que ça serait un garçon. Ses envies n’étaient pas les mêmes. Ses sens n’étaient pas développés de la même manière. Même les nausées matinales -qui avaient un peu diminuées- étaient différentes. Ou alors, son corps s’en rappelait comme cela ne faisait pas si longtemps et du coup, elle était moins affectée ? « Au moins ça me donne une superbe poitrine. » Elle qui a toujours eu des formes, était maintenant bien en chair à ce niveau-là. « Encore un bébé et j’aurai officiellement une poitrine plus que généreuse. » Elle exagère un peu le trait pour le fixer en battant des cils avant d’éclater de rire. Lorsqu’elle plongea dans ses yeux, elle sentit qu’elle était désirable. Et ce qu’on dit est véridique. Une femme se sent belle dans les yeux de son amant.

Larry est donc Le Chat. Elle est intriguée par ses pouvoirs, savoir ce qu’il pourrait faire. Est-ce qu’il avait une sixième sens comme les chats ? Et les moustaches ? Et ses yeux bleus ? Elle s’approche de lui pour plonger dans son regard, cherche le félin en lui. Ils en avaient vécu des aventures tous les deux. Entre leur rencontre alors que Padby chassait des limaces -berk-. Puis après avec l’autre mère. « Je te dois la vie, tu sais. » Elle murmure ceci timidement alors qu’elle niche sa tête dans le creux de son cou sous les yeux de la petite. « Mon chouminet. » Elle sait qu’il déteste ce surnom et dépose ses lèvres sur sa peau découverte avant de laisser sa fille prendre son petit doigt pour redevenir un chaton.

Une fois en haut et après avoir fait le ménage, Coraline laisse Larry venir nouer ses bras autour de sa taille et ferme les yeux de contentement. Elle a appris à ses côtés, qu’il fallait savourer les petits bonheurs simples. Sa chaleur, son odeur, ses baisers, tout lui a manqué tandis qu’elle les emmène dans la salle de bain pour lui faire prendre une douche. « Non tu as raison. Les autres chats ne parlent pas. Et ne sont pas à moi. » Elle laisse sa main courir le long de sa joue avant de venir s’emparer de ses lèvres.







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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyMar 7 Fév - 14:13


S
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À Storybrooke, mes amis me disaient souvent que l’amour me rendait aveugle, que je fonçais tête baissée en souvenir d’une amourette d’enfance. Mais Coraline n’a jamais été qu’une amourette. Je l’ai au final toujours su et maintenant que nous sommes de retour chez nous, dans cette fichue maison, tout prend du sens. Elle est ma Coraline et je suis son chat. Dès qu’elle a emménagé ici, enfant, j’ai veillé sur elle, la suivant, l’aidant et la sauvant même. Mais je ne restais qu’un chat. Aujourd’hui, je peux être un chat et un homme et lui appartenir dans les deux cas. Nous sommes mariés, de toute façon, je ne la laisserais jamais plus me quitter maintenant que nous sommes de nouveau réunis. La malédiction nous en aura fait baver mais je veux espérer que cette fois, tout est bel et bien fini.

-Encore un bébé ? C’est une proposition ?

Un sourire en coin étire mes lèvres alors que j’ai bien envie de construire une grande famille. Je ne sais pas si je vivrais assez longtemps pour tous les voir grandir mais il n’empêche qu’imaginer une famille de trois, quatre voir cinq enfants avec Coraline me fait sourire davantage. Et si nous finissions même par avoir des jumeaux ? Je ne forcerais jamais Coraline à porter plus d’enfants qu’elle n’en veut. Déjà, deux c’est le plus beau des cadeaux et tant que je peux les élever le plus longtemps possible à ses côtés, comment pourrais-je me plaindre ? Ma maladie m’a appris à profiter des plus simples bonheurs. Proche des deux femmes de ma vie, je jette malgré moi un regard vers le cadavre de l’autre mère. Je n’en montre rien mais je le sens. Ce n’est pas fini. Elle n’est pas encore morte et je vais devoir rester sur mes gardes. Je suis un chat, de toute façon, je suis toujours sur mes gardes.

-Je veillerais toujours sur toi. Sur vous.

Mon bras passe chaleureusement autour des épaules de la belle Coréenne. Je ne laisserais rien lui arriver, elle est toute ma vie. Un soupire m’échappe comme elle me donne ce surnom que je déteste particulièrement. Je préfère qu’elle m’appelle « mon chat » et elle le sait. Elle le fait exprès. Je roule des yeux mais ne dis rien. Je ne suis pas d’humeur à râler et elle le sait, sa présence réussit à chasser mes humeurs. Je la laisse un instant pour m’occuper de notre fille pour qui il est temps de se coucher. La nuit est déjà noire et si je sens qu’elle est en pleine forme, je sais qu’une fois dans son lit, elle s’endormira en un instant.



-Ça m’avait vraiment manqué, chérie.

Je lui tends la main pour qu’elle vienne près de moi avant de remarquer un tatouage que je ne me connaissais pas. Une fois qu’elle est contre moi, je rapproche ma main pour l’ausculter de plus près. Le chiffre neuf est inscrit sur le dos de ma main, plus ou moins entre mon pouce et mon index.

-Je ne m’étais jamais fait ce tatouage à Storybrooke…

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MessageSujet: Re: (Cocat) save our daughter.    (Cocat) save our daughter.  EmptyMar 7 Fév - 17:15


w/             @Larry Cateway   coeur  
 



C’était assez étrange comme situation. De voir son mari se transformer sous ses yeux alors qu’elle combattait l’autre mère. Mais dans le fond, elle l’a toujours su. Durant la malédiction, ils avaient un lien que personne ne comprenait. Limite psychique puisqu’il suffisait d’un seul regard pour que l’autre comprenne. Dix ans les ont séparés dans ce monde-là et dix ans les ont séparés ici ou qu’elle avait quitté le Pink Palace assez rapidement. Coraline voulait fuir cet endroit, mais pas sans eux. Naoki et Larry étaient sa raison d’être et elle se sentait complète à ses côtés. Elle le regarde et sourit d’une manière absolument adorable. « Si celle-là se passe bien, pourquoi pas ? » après tout, a part les nausées matinales et des envies étranges à trois heures du matin, sa précédente grossesse se passait bien. « j’espère ne pas avoir envie de rats ou de trucs de chat. » Ses doigts caressent son ventre d’une manière distraite où grandit son futur chaton. Elle en était certaine qu’il serait comme le papa. Coraline n’était qu’un etre humain après tout. Quelqu’un d’ordinaire dans une famille extraordinaire.

« Tout comme je ferai toujours attention à toi mon amour. » elle voit rouler des yeux face à son surnom qu’il détestait mais n’en tient pas cure alors que Coco dépose ses lèvres sur sa joue. Il pique. Et elle aime bien. Elle l’a toujours sexy de toute façon même avec sa barbe de trois jours. Elle se rappelait avec tendresse les moments où elle essayait de le raser quand ses mains perdaient le contrôle et qu’il était trop fatigué pour aller chez le barbier. La jeune mère laisse s’éloigner les siens à regret. Pour se débarrasser du cadavre de l’autre mère.



« A moi aussi » sa voix est rauque tandis qu’elle se glisse près de lui. Elle le fixe un instant avant de reporter son attention sur ses mains. Dans ses bras, elle pose sa tête sur son épaule avant de venir se saisir de sa main et la fixer. Puis Coraline se décolle avant de venir se mettre à califourchon sur lui. La jeune femme dévoile la morsure qu’il lui a faite avant de venir prendre ses doigts pour les passer à l’endroit où il a planté ses griffes. « je pense que tu as neuf vies. Tu t’es en parti transformé pendant qu’on faisait l’amour. J’ai senti tes crocs. De même que tu étais… » Elle dodeline un peu de la tête avant de venir s’approcher un peu plus de lui. Coco se mord la lèvre avant de venir jouer ses bras. « Tu étais plus… plus fort. » La jeune femme se penche pour venir coller sa tête sur son épaule. « Tu ronronnes. qu’elle murmure contre sa peau. » Coraline sourit, fascinée par cet instant.




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