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 (Kyliam) je me demande où est la vraie vie

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MessageSujet: (Kyliam) je me demande où est la vraie vie   (Kyliam) je me demande où est la vraie vie EmptyVen 28 Oct - 11:42


w/     @Kyliam O'Durin   coeur  




Depuis la soirée où le policier l’avait secoué dans tous les sens, Lana ne se sentait pas très bien. Son cœur en avait pâti. Et si avant sa situation était précaire, elle était devenue alarmante. Après être tombé sur cet officier, la blondinette avait dû garder le lit pendant plus d’une semaine, évitant les soirées et le monde extérieur pour que son myocarde fonctionne correctement. Ils étaient très peu à savoir qu’elle souffrait d’une insuffisance cardiaque et qu’elle était sur liste d’attente. Mais son colocataire, meilleur ami et demi-frère était au courant. Pascal n’avait pas trop apprécié l’état dans lequel il avait retrouvé son amie au petit matin. Affalée contre le mur de ce salon toujours désespérément vide et en grande difficulté. Elle avait eu toutes les peines du monde à le retenir d’aller faire un esclandre au poste du shérif pour cause qu’on avait maltraité la jeune femme. Mais elle n’aurait pas dû prendre cet insigne et le cacher, le temps que ses amis fassent disparaître les preuves qui pourraient la compromettre. Depuis la mort d’Alba, elle s’était considérablement assagie et restait souvent dans son arbre, avec sa poêle à frire à surveiller les flics.

Oui, elle l’avait payé cher. Et après une bonne semaine à rester à la maison, la blondinette avait tenu à sortir. Elle avait vu en furetant sur internet qu’il y avait un centre équestre non loin. et l’amour que Lana vouait aux animaux la poussait à aller voir. A défaut d’avoir récupéré ses affaires, toujours chez son ex, ainsi que sa caméra, elle avait pris rendez-vous pour prendre quelques leçons. On racontait que les chevaux avaient des vertus curatives sur les personnes atteintes de maladies graves. Et comme elle était plus ou moins mourante. Svetlana avait accepté sa maladie. Elle avait mis le temps, fait pas mal de conneries mais vivait avec. Son petit myocarde gelé qui ne demandait qu’à être remplacé. Elle attrapa donc Pascal le caméléon, qu’elle mit sur son épaule avant de quitter sa demeure. Son frère n’avait pas apprécié qu’elle nomme son animal de compagnie comme lui. Mais il devait s’y faire, point à la ligne.

Sur place, elle sentit que le grand air lui fit du bien. Il n’y avait pas la pollution environnante de Storybrooke et elle entra dans le hameau avant de le voir. Le cheval. Il était magnifique avec sa longue crinière blanche. Semblant courir comme s’il était libre. La jeune femme eut un pincement au cœur car elle ne l’était pas. Emprisonnée par cette maladie qui ne cessait de gagner du terrain, elle sut que tôt ou tard, elle se transformerait en herbe et que les chevaux mangeraient l’herbe. Ainsi va le cycle de la vie. (On notera que regarder le roi lion n’était pas une bonne idée.). Alors, elle s’approcha de l’élégant animal pour tendre la main. « Oh comme tu es beau. » Le cheval vint à sa rencontre alors qu’elle lui caressait le museau. « Un ange. » Pascal, lui, dormait toujours dans ses longs cheveux blonds alors qu’elle vit quelqu’un approcher. Toussotant légèrement, vérifiant qu’elle avait sa ventoline, elle lui fit un signe timide de la main. « Bonjour, lança-t-elle gaiement, son éternel sourire candide aux lèvres, je suis mademoiselle Beaulieu. » Lana offrit un sourire radieux à celui qui venait de la rejoindre. « Il est magnifique. Comment il s’appelle ? » Toujours subjuguée par la beauté de l’élégant animal qui semblait apprécier ses caresses.






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MessageSujet: Re: (Kyliam) je me demande où est la vraie vie   (Kyliam) je me demande où est la vraie vie EmptyLun 31 Oct - 14:57

Je me demande où est la vraie vie

Kyliam & Svetlana;
Je suis irrécupérable, je le sais. Être en retard, c'est un de mes plus grands défauts. D'habitude, ça ne m'inquiète pas plus que ça mais aujourd'hui, c'est une nouvelle élève à qui je vais donner des cours d'équitation et elle n'est pas encore au courant du vice de son professeur. Je suis souvent distrait quand je pars en balade à cheval et ne fais jamais attention à l'heure. J'espère qu'elle ne m'en tiendra pas compte. J'ai encore passé une nuit atroce, depuis que j'ai quitté l'Irlande, je dors mal. Mes nuits de sommeil ne comptent que deux heures voir trois. Je me couche vers 2h du matin pour me réveiller vers 5h au mieux. J'ai de la chance de tenir le coup et de ne pas être constamment fatigué, je pense que vivre au grand air m'aide beaucoup. Je n'arrête pas de penser à Tara. Je suis ici pour elle et pourtant, c'est comme si elle m'évitait. Je sais que son amour pour moi n'était pas un mensonge mais je n'arrive toujours pas à comprendre pourquoi du jour au lendemain, elle a quitté le pays sans rien me dire. Peut-être que le fait que je sois terriblement inquiet et préoccupé ne m'aide pas à trouver le sommeil. Heureusement, j'ai un travail qui me tient occupé et qui parfois me permet de ne pas constamment penser à elle.

Je n'aurais pas besoin de travailler normalement, je suis suffisamment riche mais je n'ai jamais été intéressé par le fait de rester à profiter d'une belle vue avec les orteils en éventail. Je pense avoir trouvé le métier idéal pour moi. J'ai toujours aimé les animaux mais les chevaux sont de loin la compagnie que je préfère. Eux aussi aiment leur liberté, ils y tiennent et c'est ce qui les rend parfois si fougueux et durs à maîtriser. Moi, je les comprends. Je suis comme eux et m'étonne à parfois préférer leur compagnie que celle des humains. Je donne un cours d'équitation par jour pour me laisser le temps de m'occuper des boxes et des chevaux qui s'y trouvent. C'est pour cette raison que j'ai engagé d'autres professeurs, je ne peux et ne veux pas m'occuper de tous les élèves, ça m'empêcherait de privilégier les animaux présents dans mon centre équestre. Avant de me rendre compte de mon retard, j'étais de sortie avec Myrtle, ma jument. Si j'aime tous les chevaux présents dans mon centre, Myrtle a une place plus importante dans mon cœur. Quand je la chevauche, je sais ce dont elle a besoin et elle sait ce dont j'ai besoin. Il y a ce lien que nous avons et que je pense spécial. J'étais en balade dans la forêt proche du centre quand je me suis rendu compte que mademoiselle Beaulieu n'allait pas tarder à arriver. Je fais donc demi-tour pour lancer Myrtle au galop. C'est l'allure qu'elle préfère et moi aussi, je termine toujours par le galop quand nous finissons une balade et cette fois-ci, cette habitude tombe à pic. Nous quittons la forêt et rejoignons le centre en traversant les prairies qui font partie de ma propriété. Je descends de ma monture et passe une main dans mes cheveux bouclés pour tenter d’y remettre de l’ordre. Je fais alors le tour des bâtiments en tirant ma jument par la bride pour rejoindre les prairies où je laisse mes chevaux libres les jours de beaux temps. Mon regard tombe sur une jeune femme blonde et si je devine qu’elle est ma nouvelle élève, ce n’est pas ce qui me marque le plus. Elle est en train de caresser un cheval et ce n'est pas n’importe lequel. Je m’approche avec Myrtle et elle finit par se tourner vers moi avec un sourire naturel, comme si de rien n’était. J’arrive à sa hauteur et, tenant la bride de ma jument d’une main, je lui tends l’autre en lui rendant son sourire.

-Enchanté, je suis Kyliam O’Durin, votre professeur. Excusez-moi pour mon retard.

Elle continue de caresser le museau du majestueux cheval blanc et je hausse un sourcil alors que c’est bien la première fois que je vois quelqu’un d’autre que moi être si proche de cet animal.

-Il s’appelle Maximus. C’est une vraie teigne d’habitude, il ne se laisse pas approcher par les inconnus. Avez-vous déjà fait de l’équitation ?

Ça expliquerait pourquoi il se sent en confiance et encore, j’en ai eu des élèves et aucun n’a jamais pu le monter. C’est un droit qu’il ne réserve qu’à moi pour bien nous compliquer la vie. Je m’éloigne de la jeune femme pour défaire la selle de Myrtle et la déposer sur la clôture entourant la prairie. J’en fais de même pour la bride et caresse affectueusement le museau de ma jument avant d’ouvrir la barrière pour qu’elle y entre et s’éloigne dans un galop. Maximus n’y fait même pas attention, il est asocial autant avec les humains qu’avec les autres chevaux. Enfin, c’est ce que je pensais, je le vois particulièrement heureux des caresses qu’il reçoit de la demoiselle. Je penche la tête, pensif, et retire ma veste de cavalier, seule protection que je prends la peine de porter. Je suis imprudent mais je n’ai jamais aimé devoir porter des bombes ou autre renforcement du genre. Ça m’empêche de profiter pleinement de la sensation qu’offre l’équitation.

-Normalement, pour une première leçon, je choisis toujours une monture très docile et simple à gérer. Cependant, vous semblez avoir dompté ce démon, je peux vous proposer de le monter si vous n’avez pas trop peur.

Je serais curieux de voir s’il se laisserait faire. Il a l’air si calme, j’ai comme l’impression que ça se passerait comme sur des roulettes. Évidemment, Maximus est un étalon particulièrement grand et impressionnant. Je peux imaginer qu’elle préfère commencer par un cheval moins grand et imposant.


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MessageSujet: Re: (Kyliam) je me demande où est la vraie vie   (Kyliam) je me demande où est la vraie vie EmptyMar 27 Déc - 20:23


w/     @Kyliam O'Durin    coeur  




Svetlana ne savait pas d’où était venue cette idée de faire une thérapie avec les chevaux. Après tout, elle n’avait jamais monté de sa vie et bien qu’elle aimait toutes les bêtes, elle était un peu intimidée. Mais la jeune femme était têtue et même si cela allait à l’encontre de sa santé, elle irait tout de même. Ses médecins étaient favorables et elle était donc sortie pour se rendre au centre équestre. Hospitalisée depuis un peu plus de quatre mois des suites d’une altercation avec un policier, la jeune fille n’avait que cesse de dessiner. On avait beau la changer de chambre, elle dessinait partout. Sur les murs, sur les tables, et toujours les mêmes choses. Que cela soit son visage. Son magnifique visage. A celui qui tourmentait son cœur et partageait la couche d’une autre ou encore des fleurs. Il y avait des fleurs partout et Pascal ne cessait de la chambrer gentiment devant tout cet amas de fleurs jaunes au nom inconnu. Elle ne savait pas d’où cela lui venait. Outre le fait qu’elle avait Flynn dans la peau depuis que leurs regards s’étaient croisés. Fleur bleue et un peu nunuche, elle avait écrit une lettre à son intention en cas de mort prématurée pour lui coucher des sentiments et cette dernière ne la quittait pas comme une sorte de talisman alors qu’elle se rendit à sa première leçon d’équitation.

Debout devant le cheval blanc, elle espérait qu’il ne cabre pas. Dans les croyances, quand un cheval blanc cabrait devant une personne, cela signiait son arrêt de mort. Et Lana avait déjà une vie bien courte, elle ne comptait pas l’écourter davantage. Ses mains graciles se perdirent dans le crin du cheval alors qu’elle demeurait pensive. Que faisait-il en ce moment ? Et pourquoi n’avait-elle pas le courage de lui confesser ses sentiments alors que l’horloge de son cœur tournait et que le temps s’effritait douloureusement.  

« Premièrement ne touche pas à tes aiguilles
Deuxièmement ta colère tu devras maîtriser
Et surtout ne jamais oublier quoi qu'il arrive,
Ne jamais se laisser tomber amoureux,
Car alors pour toujours,
À l'horloge de ton cœur la grande aiguille des heures transpercera ta peau,
Explosera l'horloge, imploseront tes os,
La mécanique du cœur
Sera brisée de nouveau.
* » Chantonna-t-elle comme une berçeuse que son frère lui avait apprise quelques années plus tôt. Elle avait la gueule de bois amoureuse alors qu’une silhouette s’approcha d’elle pour la saluer. Il était élégant, bien coiffé, un beau visage avenant et la demoiselle lui rendit son sourire. « Oh ne vous excusez pas. Je suis toujours en avance. » Elle laissa ses doigts courir sur le cou du majestueux cheval comme hypnotisée par sa beauté. « Non absolument pas. Mais je le trouve adorable en tout cas. » Le cheval vint hennir de contentement devant les dires de blondinette qui se fendit d’un sourire encore plus large.

Elle s’écarte un peu pour laisser Kyliam faire ce qu’il avait à faire et ne doutait pas de ses talents. Il défit une selle pour en mettre une autre et elle sentit bien petite pour le coup. Du haut d son mètre cinquante quatre, le demoiselle se sentait minuscule comparée à l’imposant cheval et à son propriétaire. « Oh non, je n’ai pas peur. Il a vraiment l’air gentil. » Elle se tourna doucement vers le jeune homme avant de lui faire un autre sourire.  « C’est à vous cet endroit ? Il est vraiment magnifique. » Elle toussa un peu. « Très apaisant. »
 

en français dans le texte*




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