Help me, it's monster ! With Azur

“help me, it’s monster ! with Azur Carpenter” & Diego n’était pas peu fier de son tout nouveau restaurant. Les derniers préparatifs se finalisent petit à petit, il reste un peu de décoration à faire dans la salle où se mettront à table les clients. La cuisine quant à elle est déjà fonctionnelle et il s’y adonne déjà de bon cœur pour préparer de nouvelles recettes. L’enseigne n’est pas encore installée, on peut encore se demander ce qui ouvrira ici prochainement, cela dit si on s’approche un peu plus de la devanture on peut cependant lire un mot du chef qui le stipule, votre voyage pour la France est imminent. Il a rapporté avec lui des recettes françaises, gastronomiques et il espère régaler les papilles des habitants de Storybrooke. Il a besoin de cette nouvelle page blanche pour oublier sa peine. Les travaux l’ennuyant rapidement il avait laissé tombé le pinceau pour se retrouver en cuisine. Il avait commencé à découper ses légumes quand il entendit un 《 Miaou. 》 Il se figea sur place, n'osant plus bouger. Son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine. Diego a une phobie un peu particulière, il a une peur bleue des chats. Il sent le regard de cette bête féroce sur lui et le seul réflexe qu’il a c’est de monter sur le plan de travail. C’est alors qu’il l'aperçoit, un chat roux, énorme avec des crocs acérés et des griffes capables de vous coupez la jugulaire. Il exagère légèrement mais c’est comme ça qu’il voit ces animaux. 《 Va t’en ! Comment tu es entré ici ! 》Alors que l’animal se déplace, il frissonne de tout son être. 《 Je n’ai rien pour toi ici ! Oh dios mio… 》Il ne savait pas si cet animal était en quête de nourriture ou d’affection mais Diego n’était disposé à lui donner ni l’un ni l’autre. Il était piégé, coincé par ce chat qui le fixait assis au milieu de sa cuisine. 《 A l’aide ! 》 Il ne savait pas comment il allait s’en sortir, il espérait que quelqu’un l’entende et le débarrasse de cette chose.      
 

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“help me, it’s monster ! with Azur Carpenter” & Le vrai plaisir de Diego c’est de se mettre derrière les fourneaux et de passer des heures à cuisiner. Il est censé avancer les travaux de décoration de la salle de réception, mais il préfère se lancer sur une recette. Après tout, rien ne le presse, il est son propre patron, il peut prendre le temps de faire le restaurant dont il rêve. Il a pas mal d’économies de côté ce qui lui permet de vivre comme il l’entend pour le moment. Il était en train de faire revenir quelques légumes quand l’apparition d’un chat le mit dans tous ses états. Il en a une peur bleue.  Celui-ci ne semblait pas décidé à quitter son établissement, debout sur son plan de travail Diego ne savait pas comment le faire partir. Il appela à l’aide en espérant que quelqu’un l’entende. Il voit rapidement une jeune femme brune entré. 《 Gracias a Dios, aidez-moi s’il vous plait, il y a une bête là qui veut me dévorer. 》 Oui c’est bien d’un chat qu’il parle, mais il diabolise complètement cet animal. Alors qu’elle s’approche du chat il s'inquiète pour elle. 《 Attention ! Il pourrait vous mordre ou vous griffer. 》 Elle ne semblait pas plus inquiète que ça. Il fut horrifié de la voir le prendre dans ses bras. “Eh bien mon beau, ce n’est pas gentil de faire une telle frayeur à quelqu'un, tu ne trouveras rien pour toi ici d’accord ? 》 Diego se recula le plus possible quand elle repassa avant l’animal. Il descendit finalement quand il entendit la porte. Qu’elle peur il avait eu ! Il sait qu’il a l’air idiot dans ce genre de moment, mais ça ne se controle pas une phobie. Il prit une grande respiration pour reprendre son calme. 《 Tout va bien ? il est sorti, il ne devrait plus vous effrayer. 》 Je lui souris doucement. 《 Je vous remercie ! Je sais que c’est idiot vu de l’extérieur, vous devez trouver ça mignon comme la plupart des gens… Maintenant qu’il est dehors ça va oui. 》 La voyant rire à nouveau alors qu’elle regarde à travers la porte, il a un frisson. 《 Il est encore là ? Il ne me laissera donc pas tranquille ! Mierda de gato. Pardonnez mon language… Puis-je vous remercier d’une quelconque façon ? Vous m’avez quand même sauver la vie. 》 Du point de vue de Diego en tout cas, c'était tout comme et il tenait à la remercier.      
 

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