Sauvée de justesse - feat Charlie

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Excepteur sint occaecat cupidatat non proident

Cela faisait près de quinze jours que j’étais sur une nouvelle cible. J’étais tombé sur des conversations vraiment dérangeantes, pleines de perversion et de chantage. Un homme qui promettait à une jeune femme de balancer à qu’elle point elle est une trainée, les photos qu’elle lui a envoyé si elle ne venait pas le voir rapidement. Dans ce genre de situation j'aimerais pouvoir intervenir plus tôt avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit. Les derniers messages avaient été renvoyés trois jours plus tôt, ils s’étaient donné rendez- vous. Ayant intercepté l’adresse je m’y suis rendu rapidement, c’était à une bonne heure de route et je devais faire vite. Quand je suis arrivé je cherchais le moindre indice, je posais des questions, mais personne ne semblait avoir rien vu. La police n’avait comme élément qu’une voiture de couleur grise, mais elle s’était comme volatilisé. Remontant en voiture je fis un tour essayant de réfléchir comme lui, ça doit être un endroit isolé. Je freinais brusquement, il me semble avoir vu un petit chemin de terre, quasiment invisible, facilement ratable. Suivant mon instinct, je me garais et le suivais. J’ai du marcher encore une bonne vingtaine de minutes avant d’apercevoir une vieille maison, une voiture de couleur grise garée devant. Coïncidence ? Je ne pense pas. Ce qu’il y a de bien quand vous n’avez pas d’insignes c’est que vous faites ce que bon vous semble. Je mets des gants, sors mon arme et entre dans la maison par une fenêtre ouverte. J’entends rapidement des cris à l’étage alors je m’y précipite. Je tombais sur un sale porc nu, une jeune femme en sous vetements attachés sur le lit juste en face de lui. Je ne fis mettre à genou et lui mit un coup de crosse l’assommant. Baissant mon arme je m’approchais de la jeune femme. Je la détache tout en lui parlant. “Hey tout va bien, je m’appelle Sacha. Je te promets que cet homme ne te touchera plus jamais et qu’il ne t’embêtera plus. Laya c’est ça ? Tu vas sortir d’ici, en bas de l’escalier il y a un salon, prends tes affaires, habille toi et tu m’y attends. Je vais te ramener chez toi, mais je dois d’abord m’occuper de lui, okay ?” Elle était terrorisée, ne savait pas où elle se trouvait alors de toute manière elle n’avait pas trop le choix de me faire confiance. Quand elle sort de la pièce, je place le pervers dans le lit, je l’attache. Croyez-moi j’ai qu’une envie c’est de les tuer ces sales porcs. Cela dit les rendre impuissant je trouve que c’est bien mieux. Une fois ma petite opération rapidement faite, je redescend et emmène la jeune femme avec moi plaçant mon manteau sur ses épaules. Elle ne se souvenait pas de grand chose, certainement drogué pour être plus docile. J'ai pris la direction de l'hôpital pour l’y déposer, elle avait besoin de soins médicaux. Je restais dans le coin jusqu’à ce que l’assistante sociale arrive, généralement je pars juste avant son arrivée. J’allais partir quand je tombais nez à nez avec elle en ouvrant la porte de la chambre. Je ne sais pas si elle a remarqué, mais je l’ai déjà croisé en ramenant d’autres jeunes femmes tout en restant dans l’ombre. “J’espère que vous pourrez l’aider comme vous avez aider les autres.” Je ne comptais pas m’étendre, moins elle en savait sur moi et mieux ce serait. J’attendais qu’elle me libère le passage, mais je ne sais pas pourquoi je sentais que ce ne serait pas aussi facile..

acidbrain

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Sauvée de Justesse ft @Sacha R. O'Connell

J'ai la chance, si je puis dire, d'avoir trouvée un métier que j'aime et ou je peux me sentir utile. Pourtant je vous assure que vu le contexte de ses jeunes femmes j'aurais aimé que personne n'ait besoin de moi, ca rendrait les choses plus évidentes pour toutes ses jeunes femmes. Régulièrement je reçois des appels de l'hôpital avec lequel je travail en partenariat pour m'informer qu'une jeune femme vient d'être admise. Les violences conjugales, les viols, les séquestrations et bien d'autres traumatismes pour des jeunes femmes parfois à peine entrée dans l'âge adulte. Leur vie ne faisait que commencer et ces monstres faisaient tout pour l' arrêter a priori. Mon rôle est de les recueillir au sein de mon centre d'accueil, de leur offrir un hébergement sain et protégé afin de les aider à se réintroduire à leur rythme dans le monde, qu'il soit social ou professionnel. Ces derniers temps j'ai de nombreux appels en tout genre et je commençais à manquer d'espaces pour accueillir toutes ces jeunes filles. Pourtant je n'arrivais pas à me résoudre à en refuser, elles avaient besoin de moi et pour le moment je trouvais des solutions de logements. J'étais à mon bureau en train de préparer mes entretiens du lendemain quand j'ai reçu un nouvel appel. Une jeune femme allait être admise après une séquestration de plusieurs jours et donc probablement d'autres sevices associés. Je préparais mes affaires pour me rendre au plus vite à l'hôpital, je n'avais pas de temps à perdre. A priori j'étais arrivé très peu de temps après elle donc je voulais aller la rencontrer avant d'aller parler à ses médecin. J'allais passer le pas de la porte quand un homme en fis de même dans le sens inverse. J'étais certaine de l'avoir déjà vu plusieurs fois mais je n'étais pas sûre de ou. Je réfléchissais un instant, ce n'était pas la première fois que je le voyais dans ce genre de contexte j'en suis certaine, il est souvent dans les coins et ça m'intrigue je dois dire. D'autant plus qu'il essaie de filer sans un mot à chaque fois. Je me place devant lui avec un grand sourire, bras croisé sur mon dossier

- Enchantée, je suis madame Miller, l' assistante sociale. Et vous êtes ?

il n'est ni du corps médical ni des forces de l'ordre, par conséquent il ne devrait pas être ici et encore moins de manière récurrente. Mon rôle est de protéger ces jeunes femmes donc je compte bien découvrir son identité coûte que coûte et je suis bien assez têtue pour y arriver. Il ne bougera pas d'ici tant que je n'en saurai pas plus croyez moi ! Je n'admettrai aucune nuisance extérieur pour ses jeunes femmes

AVENGEDINCHAINS