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 Comme aux échecs, il y a des moments où il faut sacrifier une pièce pour gagner

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MessageSujet: Comme aux échecs, il y a des moments où il faut sacrifier une pièce pour gagner   Comme aux échecs, il y a des moments où il faut sacrifier une pièce pour gagner EmptyVen 14 Jan - 21:50





Avec
Iago/Timo


Comme aux échecs, il y a des moments où il faut sacrifier une pièce pour gagner


Les banques. Je déteste les putains de banque. Il y a toujours une bande de connards en costard qui se croient supérieurs aux autres parce qu’ils brassent des billets qui ne leurs appartiennent même pas. Sérieusement, si je n’étais pas aussi surveillez par les flics, sans doute serais-je tenté de faire un braquage ici juste pour avoir le plaisir d’écraser ces connards sous la semelle de mes bottes, mais comme je ne pouvais rien faire, je me contentais de venir une fois par mois pour retirer le fric nécessaire pour payer mon misérable petit appartement miteux. Allez savoir pourquoi, le proprio n’acceptait que l’argent comptant. En file, je commençais à perdre patience alors que le cassier écoutait vaguement un vieillard raconter pour la troisième fois qu’il avait perdu son chat. « Écoute le vieux, on est pas à la SPA. Va chercher ton matou ailleurs et laisse les autres retirer leur fric » Sifflais-je avec impatience.


Il y eut une vague de murmures outrés autour de moi, mais personne n’osa s’adresser directement à ma personne. Il fallait dire qu’avec ma stature, mes muscles, ma barbe et ma centaine de tatouages, j’effrayais souvent le commun des mortels. Finalement, l’amateur d’arthrite comprend qu’il retarde tout le monde et il décide de partir, mais à peine j’ai le temps de faire un pas que le cassier esquisse un sourire arrogant. « Désolé, nous fermons » Susurra-t-il d’une voix mielleuse. Je sens mon sang bouillir instantanément et étant un homme assez impulsif, je le saisis par sa cravate et je commence à le secouer comme un prunier. « J’AI BESOIN DE MON FRIC! » Lui hurlais-je à quelques centimètres du visage, lui postillonnant dessus sans aucune gêne. « CE BLOND À BESOIN DE SON FRIC…Et CE MEC AVEC LE FLINGUE AUS… » Continuais-je à gueuler en pointant l’autre client de la banque qui attendait derrière moi.


Sauf qu’un mec doté d’un flingue s’était également glissé dans l’institution financière entre temps et maintenant, ils nous menacent tous les trois avec la gueule de son canon. Je lâche le cassier et je me tourne vers celui qui nous menace. « Écoute mec, déconne pas » Dis-je en faisant signe à l’inconnu blond de se rapprocher de nous. Sauf que je n’avais pas vu que les complices du premier cambrioleur s’étaient glissés derrière nous. « Bordel…on est dans la merde » Grommelais-je à mon voisin alors que les braqueurs nous gueulaient de nous coucher au sol.


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MessageSujet: Re: Comme aux échecs, il y a des moments où il faut sacrifier une pièce pour gagner   Comme aux échecs, il y a des moments où il faut sacrifier une pièce pour gagner EmptySam 22 Jan - 23:05

Iago R. Jefferson a écrit:




Avec
Iago/Timo


Comme aux échecs, il y a des moments où il faut sacrifier une pièce pour gagner


Comme à chaque semaine, je faisais mon détour à la banque pour déposer l'argent de mes spectacles dans mon compte bancaire. C'est la pure vérité... le monde du spectacle fond rarement des virements et donnent essentiellement des chèques, ce qui est normal puisqu'à chaque soir, il y a des artistes différents et ça serait trop de gestion.

Je dois avouer que je suis dans ma tête. Je prépare mon premier spectacle personnel et j'essaie d'imaginer les mouvement et la musique dans ma tête. Je fais la file sans vraiment me soucier du gars qui engueule le caissier. Je suis loin dans mon monde.

C'est lorsque des mecs encagoulés et armés nous crièrent dessus en tirant un coup de feu dans les airs que je revins sur terre. J'obéis, en panique, me couchant au sol et tremblant, traumatisé. Mon regard se tourne vers l'homme barbu et tatoué, qui était le seul autre client et aussi le seul qui semblait avoir un minimum de courage face à cette situation.

Je rampe un peu plus près de lui d'ailleurs, étant ma seule bouée dans ces eaux troubles, mais l'un des hommes m'attrappe la cheville et me tire vers l'arrière, me faisant glisser sur le sol. Il me crie dans les oreilles comme quoi il avait dit de ne pas bouger... et il me fout le bout de son canon sur la tempe. je ne bouge plus, mon coeur bat à 100 à l'heure... Je ne sais pas ce qui va arriver.

Le caissier, sous le comptoir, déclenche l'lalarme général quelques secondes après.


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