J'atterris lourdement dans un gazon très sèche, presque mort. Les souvenirs dans ma tête se bousculent et l'incompréhension est totale. JE suis couché au sol et je lève les yeux. Je suis sur le terrain du manoir familial. Je ne suis plus Cole, je suis Puberté. J'ai mes lunettes sur le nez alors qu'il y a quelques secondes, je n'en portais pas... mais qu'est-ce qui s'est passé bordel ?
Je regarde et voit Astrée, elle aussi dans l'herbe desséchée de notre terrain. je serre les dents et me rapproche d'elle. C'est pour ça que je pensais toujours au Mercredi, c'est son vrai nom.
- Je suis certain que c'est encore de ta faute !
J'étais en colère et sa se voyait.
- Avoue, Mercredi, que c'est encore un de tes plans machiavélique pour me torturer et me tuer ! Avoue !
Je fond sur elle, en colère, début d'une chamaille plus physique comme on en a vécu beaucoup.
- Tu m'énerves ! Tu me fais chier bordel !
J'avais la haine, ça c'est certain. Je sais que c'est de sa faute, elle a toujours utilisé tous les moyens pour me tuer, et ce depuis mes premiers jours de vie, mais là sérieux, elle est allé trop loin pour m'emmerder.
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Sujet: Re: Home Painful Home (Ft. Morticia, Puberté & Mercredi) Lun 17 Jan - 17:56
Impassible, elle écoutait Puberté l’accuser de tous les maux de la terre. Si seulement elle pouvait provoquer et supporter tant de douleur mais ce n’était pas le cas. Comme à son habitude, elle avait un visage froid, un regard sans émotions. Elle ne recula pas quand son frère s’approcha d’elle. Il ne lui faisait pas peur. Elle ancra son regard sombre dans le sien avant d’enfin prendre la parole de son ton laconique. “Puberté tu penses réellement que si j’avais voulu te tuer je me serais donné la peine de me faire perdre la mémoire à moi aussi? Et puis, je ne suis pas assez forte pour lancer un tel sort, je crois qu’aucune sorcière Addams ne pourrait le faire seule… Alors cesse de me hurler dans les oreilles et allons chercher les autres…”
Elle dépassa son frère sans plus trop s’occuper de sa colère avant de tourner la tête vers lui. “Tu le sais très bien que si je voulais te tuer je n’userais ni de magie ni de ruse. Maintenant si tu ne me crois pas ai au moins la décence de ne pas m’accuser sans preuves, bien que brûler sur le bûcher doit être exquis je refuse de subir ta mauvaise humeur. Tu étais bien plus agréable dans cette ville excellemment ennuyeuse." Elle reprit la marche pour se diriger vers le manoir et tenta de savoir si tout le monde était revenu. “Mère ? Père ?” Elle ouvrit la porte. “La chose ? Pubert arrête de hurler on ne s’entend plus mourir ici…. Mère ? Père ? Oncle Fétide ?”