Jeux de pouvoir ft. Asael [+18]

Les soirées de charité... en vrai, quel beau prétexte pour montrer notre argent et contrôler officieusement la ville entre personnes riches et influentes. Les pauvres ? Personnellement, la plupart des gens s'en branle, le but est essentiellement de blanchir de l'argent en se donnant bonne conscience et bonne réputation.

J'ai conservé ma chevelure blonde pour aujourd'hui, que j'ai soigneusement peigné et tressé. Tout habillé de noir, très chic, avec un chapeau noir et un maquillage dorée, je parcours lentement les tableaux de la galerie qui seront bientôt mit en vente durant l'enchère bénéfice pour je ne sais plus trop qui. De toute façon, je m'en branle de ses tableaux, je fais semblant de les regarder, mais en vrai, je regarde les convives.

Je remarque des hauts placés assez intéressants, et eux aussi me remarquent. Je me sens fort et puissant dans les yeux de certains, et je dois dire que cela me fait plaisir.

Après ma fausse contemplation, je me dirige doucement vers le petit salon d'invité, conçu par des riches, pour des riches. Je m'asseois sur un canapé, soulagé d'être loin des pauvres et des tableaux dont je me fous. Je suis l'un des premiers installé au salon. La vente aux enchères devraient débuté dans plus d'une heure, donc j'i le temps. Je prends un verre de champagne, allumant ma cigarette et fumant au fume-cigarette, attendant l'arrivée de quelques hommes d'affaires.

Spoiler:

Une soirée caritative, encore une. Je ne comprenais pas pourquoi c’était à moi de filer mon fric aux pauvres alors que j’avais bossé dur pour l’obtenir. S’ils avaient besoin d’argent, qu’ils travaillent plutôt que de resté vautrée dans leur minable misère! Sauf que bien sûr, dans un monde où les apparences sont plus importantes que la vérité, je me devais de participer à l’hypocrisie générale et afficher un sourire poli et hautain en dédaignant mentalement le reste de mes congénères. Je n’avais même pas pris la peine de trainer Jasmine jusqu’ici puisque je voulais au moins que cette soirée soit un minimum agréable. Comme les tensions dans notre couple était très palpable vu le fait qu’elle était un véritable livre ouvert, je ne tenais pas à devenir le sujet de discussion principal de tous ceux qui étaient en manque d’excitation dans leur vie.


Vêtu d’une chemise noire et d’un costume taillé sur mesure de la même couleur, je me baladais entre les différentes convives, un verre à la main. Je ne comptais rien acquérir ce soir, les œuvres d’arts ne trouvant pas réellement grâce à mes yeux. Je me contenterais de faire un don mirobolant et de savourer un verre à l’écart de ceux qui étaient véritablement bien intentionnés. Ceux-là, ils m’écœuraient encore plus que les pauvres. S’ils aimaient tant que ça les sans-le-sous, qu’ils les adoptent et qu’ils nous foutent patience! Par chance, j’aperçois enfin le salon réservé aux membres les plus importants et je m’y glisse avec plaisir. « Ciel, si l’enfer existe, il doit bien ressembler à cette vaste plaisanterie » Soupirais-je à moi-même avant de me diriger vers les canapés.


C’est à cet instant que je remarque un homme. Même si je ne le connais que de nom, je le reconnais et l’identifie instantanément. Qui ignore l’identité de Lelouis L. Lordhim? Tout comme moi, il fait partie des fortunes les plus colossales de Storybrook et, de ce fait, des personnalités les plus difficiles d’approches. « Lelouis Lordhim, quelle agréable surprise. Il semble que le destin ait finalement permis que nos chemins se croisent » Dis-je en guise de salutation en m’installant sur le fauteuil en face de lui. Je le regarde, je l’analyse, je l’apprécie. Oui, j’apprécie et savoure pleinement ce qui me fait face. « Alors, vous êtes ici dans un souci de vouloir sauver le monde ou simplement par envie de distraction? » Demandais-je, sachant que très peu de personne avait le pouvoir d’entrer dans cette pièce.

@Lelouis L. Lordhim

Look de Aladdin:

J'affiche un petit sourire en voyant l'une des grandes richesses de cette ville s'installer devant moi et me dévorer des yeux en me parlant... ce que j'aime être moi !

J'étais les jambes croisées, dans une position à la fois féminine et sexy, comme toujours. J'attends avec patience qu'il termine son discours avant d'enchaîné avec le miens.

- C'est donc que vous y mettiez peu d'efforts, monsieur Tucker. Les chemins, c'est nous. Il n'y a aucun hasard dans cette ville. Nous sommes les chemins possibles. Le destin vient manger dans ma main lorsque je le désire. Si ce n'est pas le cas pour vous, vous ne méritez ni votre statut, ni votre richesse, Tucker.

Je bois nonchalamment ce qui me reste de champagne avant de la briser en l'écrasant dans ma main. je portais des gants de toute façon. Je jette la coupe brisée derrière le canapé sans délicatesse.

- Pour ma part je compte bien acheter une œuvre ce soir. La peinture acrylique change la couleur des flammes dans ma cheminée et c'est un spectacle beaucoup plus appréciable que cette galerie. Et puis, si je peux débarrasser ce monde d'un peu de mocheté, je rends service à l'univers.

Je fume un peu avant de reporter mon attention sur lui. Mes yeux clairs perçant l'homme qui me faisait face.

- Vous êtes venu me parler juste pour me dévorer des yeux de proche dans l'espoir que je contente votre pénis ou vous vouliez parler d'autre chose ?.

Cet homme a la dangerosité de se savoir irrésistible et il en joue beaucoup. Il suffit de le voir bouger, agir et parler pour voir que cet être est un prédateur en matière de séduction, sauf que je ne fais pas partit des blanches brebis qui craquent face à sa réputation ou sa fortune. Ma propre réputation est considérable et mon compte bancaire l’es tout autant alors ce n’est pas ce qui allait m’impressionné. Il faisait partie de ces personnes qui pouvait très certainement avoir mon respect, ce qui était beaucoup déjà. Je fronce les sourcils légèrement lorsqu’il laisse sous-entendre que je ne mérite peut-être pas mon statut ou ma richesse. Je le regarde un long moment, pensif, et je me passe la main dans mes cheveux avant de caresser mon menton. « Je préfère parfois laisser le hasard dicter certaines rencontres. L’imprévisibilité n’a jamais fait de mal à personne et je ne crains certainement pas un peu d’agitation dans ma vie. Quant à mon mérite, je pense en toute modestie être l’un des êtres humains les plus formidables de cet terre » Dis-je en esquissant un large sourire amusé et malicieux avant de rire.


Pourtant, j’étais sérieux. Mortellement sérieux. Je termine de boire mon whisky alors qu’il éclate sa flute de champagne entre ses doigts. De toute évidence, il était plongé dans une théâtralité et comptait bien me montrer à quel point il ne ressemblait à personne d’autre. Il me décrit ce qu’il compte faire avec l’œuvre qu’il compte acheter ce soir. « C’est intéressant comme plan. Il est vrai que les flammes colorées sont toujours très excitantes. Elles projettent une lueur si sensuelle sur tout ce qu’elles touchent qu’on puisse presque en sentir la chaleur rien qu’en en parlant » Dis-je en faisant tinter les glaçons contre le cristal de mon verre maintenant vide. « On pourrait croire que le service serait meilleur vu le salon VIP » Critiquais-je en me levant pour me servir moi-même un verre. « Vous désirez quelques choses? » Offris-je distraitement en ouvrant la bouteille qui me faisait envie avant d’en verser une généreuse rasade dans mon verre.


Un grand éclat de rire sortit d’entre mes lèvres lorsqu’il eut l’audace de me demander si je voulais qu’il s’occupe de moi ou si je voulais lui parler d’un autre sujet. « Je ne vous cherchais pas, je voulais fuir les misérables vautours incapables de faire autre chose que quémander des dons » Commençais-je à dire avec arrogance en revenant m’installer dans mon fauteuil que j’avais précédemment quitté. « Quant à votre capacité à vous occuper de moi, je dirais qu’effectivement, ça m’a traversé l’esprit. Avec de tels lèvres et un regard aussi lubrique, il est évident que ça attire la convoitise. C’est simplement par pur respect pour vous que je ne vous ai pas encore plaqué contre ce mur pour vous arrachez vos vêtements, certainement pas par timidité » Dis-je sans aucune honte, toujours très honnête quant à mes intentions et mes pensées.


@Lelouis L. Lordhim

Look de Aladdin:

J'éclate d'un rire franc en l'écoutant parler de sa modestie.

- Tucker, vous êtes dans la pire sphère de la société pour faire preuve de modestie. Vous êtes bien mignon, mais laisser la modestie à ceux qui n'ont pas les moyens de faire semblant.

Je fume un autre petit coup avec un sourire en coin.

- Puisque vous l'offrez, servez moi un truc bien fort que j'oublie les bouseux sans importances pendant quelques instants.

Je regarde allègrement son corps et son fessier alors qu'il me tourne le dos pour nous servir un verre. je mords subtilement ma lèvre et poursuit.

- Les flammes colorées mettent mon corps nu en valeur, je ne peux le nier. Vous faites partis des riches, ce que l'on appelle la haute sphère... mais pourtant, je suis riche et je ne suis pas des hautes sphères. Je suis des sphères les plus profondes et brûlantes des enfers. Je doute que vous soyez en mesure de me faire ces choses sans vous brûler sévèrement.

Je me lève doucement de mon siège et m'approche d'un pas lent de lui, avec un petit air prédateur.

- Je suis l'incarnation du péché dans cette ville, monsieur Tucker. Vous pouvez bien tenter votre coup, mais la descente aux enfers à un prix, jeune étalon. Oh croyez moi, descendre à mon niveau, c'est le risque de ne jamais remonter.

Arrivé à son niveau, je lui enlève moi-même le verre qui m'étais destiné des mains et je le bois d'un coup, cul-sec, sans jamais quitter son regard. Mes yeux étaient dur, froid et totalement honnête.

Un léger rire sort d’entre mes lèvres. Effectivement, la modestie est une qualité que je ne possède pas, mais que je feins assez bien maintenant en société. Pourquoi? Parce qu’il semblerait que le citoyen moyen ait besoin de sentir une compassion venir de ses supérieurs pour se sentir un minimum important. Personnellement, je me foutais de persécuter leurs émotions, mais pour les affaires, c’était mauvais. « Si vous le dite. Je dois par contre m’exercer à feindre ce genre d’émotion afin de sonner juste quand je dois le ressortir à certains clients. Considérez ceci comme une vague pratique peu concluante » Plaisantais-je doucement, amusé par la prétention de cet homme. Elle était semblable à la mienne, sauf que lui, il n’essayait pas de feindre les émotions humaines qui m’étaient difficile d’imité.


Maintenant au bar, j’hausse un sourcil suggestif à sa proposition. Tout n’était qu’indécence et pulsion animal entre nous, ça se sentait à la tension plus que palpable. « Je connais un meilleur moyen pour vous faire oublier ce genre de truc, mais pourquoi pas » Me vantais-je avant de lui verser également une généreuse rasade de whisky, lui tournant le dos pendant cette opération. Une chance que je lui tourne le dos d’ailleurs, parce que la description des flammes dansant sur son corps nu éveille une certaine partie de mon anatomie. Sauf que je dois aller m’asseoir et qu’il peut maintenant voir l’état dans lequel il me met. D’un autre côté, il faut dire que je n’essaie même pas de le lui retirer cette vision du regard, parce qu’il avance vers moi avec un regard de prédateur et que j’adore ça. « Profonde, sombre et infernales? Ne me sous-estimez pas, je ne demande qu’à me brûler, moi » Susurrais-je alors que je lui tends son verre.


Il me le retire des mains et le bois d’un cou avant de me dire qu’il est la perversion en personne et qu’il craint pour ma sécurité si je succombais. Le sourire amusé et joueur qui est sur mes lèvres s’étire encore plus et je laisse mon verre tombé pour me redresser un peu. « Je ne crois que ce je peux constater, mon cher » Dis-je en le regardant droit dans les yeux avant de lui saisir le col de sa longue veste noir pour l’attirer sur moi. Carrément assis sur moi, de sorte qu’il sente parfaitement tous l’étendu de mon désir pour lui. Sans même lui demander son avis, je lui glisse une main dans ses longs cheveux soyeux alors que je viens l’embrasser avec passion, crevant d’envie encore plus maintenant qu’il était contre moi, que nos corps se touchaient et que son parfum m’envoutait. Ma langue vient caresser ses lèvres avant d’en franchir les portes. Un long grognement d’extase sortit d’entre mes lèvres alors que ma poigne dans sa chevelure se fait plus dominante. Mon autre main vient se glisser sur son magnifique fessier que je sers entre mes doigts. « Hmmm…encore » Râlais-je en venant mordiller son cou et lécher lentement sa peau tendre et douce. J’avais l’impression que mon sang était de la lave en fusion et bordel, j’adorais ça!


@Lelouis L. Lordhim

Look de Aladdin:

Il semblerait bien que ce jeune mâle prenait mes avertissements à la légère... et bien tant pis pour lui. Il va connaître ce qu'il y a de mieux, chuter dans les abysses les plus profondes du plaisir et ne pourra plus jamais en sortir. Il sera à moi.

Il m'embrasse langoureusement en m'aggripant la crinière et le fessier. C'Est pas mal, c'est suffisant pour commencer le réchauffement de mon corps, même si je dois admettre que la chose me faisant le plus d'effet en ce moment est la dureté et la tension que je ressens sous moi.

- Très bien Tucker, tu l'auras voulu...

Je poursuis la fusion de nos bouches. Je le laisse mener le bal pour l'instant, mais je finis vite par me lasser. Je profite qu'il vienne embrasser mon coup pour parler.

- Putain mais t'As déjà embrassé ou c'est ta première fois ? Laisse moi faire, je vais te montrer ce que c'est que d'embrasser.

J'attrape sa tête à deux mains et je lui offre mon genre de baiser. Un baiser torride et doué, passionné et vraiment chaud. Moi je savais comment m'y prendre avec un homme, pas comme les petits hétéros comme lui.



- Tu comprends mieux maintenant ?

J'affiche un très large sourire satisfait en venant lécher mes lèvre de manière obscène.

@Lelouis L. Lordhim

Look de Aladdin:

@Lelouis L. Lordhim

Look de Aladdin:

@Lelouis L. Lordhim

Look de Aladdin:

@Lelouis L. Lordhim

Look de Aladdin:

@Lelouis L. Lordhim

Look de Aladdin:

@Lelouis L. Lordhim

Look de Aladdin: