Dans ton monde (Ft Carson)

OOTD
Avec la levée de la malédiction j'avais pu récupéré mes pleins pouvoirs et mes capacités effrayantes, ce n'est pas pour autant que j'ai décidé d'abandonner mon apparence bien plus qu'attirante. En pleine partie de Roulette Russe je sens mon sang se mettre à bouillir, cette sensation parfaitement étrange me fait grogner, lançant un regard noir à ma victime au milieu de la roulette, je m'approche d'elle, plongeant mes iris dans les siens avant de lui faire vivre sa plus grande peur, lui tenant bien les poignets alors que j'inspire son énergie, sa peur je m'en nourris.

Mais alors que j'allais la vider complètement mon sang bouillonnant ne me laisse plus le choix et je me retrouve téléporter dans une forêt, en son plein coeur dans un tourbillon orageux. Prenant une voix d'outre tombe avant même que je n'ouvre les yeux, faisant face à ce que je ressens être le commanditaire de l'appel.
"QUI OSE ME DERANGER EN PLEIN REPAS"

Je me mets à ouvrir les yeux et remarque surpris celui qui à Storybrooke partageaient bien plus que mes nuits, je le trouve changer, un style que je ne lui aurais pas reconnu, mais je dois bien reconnaître que ça lui va bien. M'approchant de lui, faisant le tour tel un prédateur analysant sa proie.
"Tu utilises une ancienne magie pour m'invoquer, très intéressant et digne de ton rang pour ramper aussi bas, c'est de l'invocation sale et ténébreuse que tu fais là, ça me plaît mais j'étais en plein repas tout de même"

Mes iris se posent avec une certaine douceur sur les traits de son visage, intrigué par son apparence et me demandant pourquoi il m'avait appelé, pas que je n'aime pas qu'il l'ai fait.

Son attitude possessive pourrait paraître charmante mais ses mots ont tendances à m'agacer assez vite, très certainement du au fait que j'ai été coupé dans mon repas. Terminant de faire le tour autour de lui, je me poste droit devant lui et lui récupère d'un coup ses lunettes, m'amusant à regarder avec.
"Cole, Cole, Cole…ici on est plus à Storybrooke a faire joujou avec des couteaux, mais il se trouve que j'ai un domaine à gérer, une ambiance à maintenir et un énorme appétit à combler"

Lui rendant ses lunettes avant de déambuler un peu tout autour de l'endroit, inspirant la crainte que provoque cet endroit, ce qui m'amuse beaucoup avant d'à nouveau porter mon attention sur lui.
"D'autant plus pourquoi est-ce que j'irais m'embêter à atteindre ton monde et te chercher quand je me doute que tu es déjà parti à ma recherche, si j'étais venu à toi ta quête aurait été vaine, alors que le voyage est tout de même important. Apprendre de nouvelles choses n'est-ce pas vraiment utile ? Mon Monde est accessible de partout, bien que dans certains endroits ce soit plus difficile, mais je suis et reste la peur, c'est à toi de venir à moi et non l'inverse, mais maintenant que tu es là et que moi aussi, veux-tu découvrir les pires immondices n'ayant jamais existé ?"

Plongeant mon regard empli de folie cauchemardesque dans le sien.

Son attitude m'amuse amplement, venant savourer son baiser avec passion, je lui attrape les mains et plonge mon regard dans le sien en retroussant un peu mon nez.
"Très bien Puberté Addams, laisses moi te montrer l'importance de mon monde, je ne renie pas la puissance et la richesse de ta famille, mais ici bas dans mon monde, je suis comment dire un peu universel. D'ailleurs il me semble que tu risques probablement de haïr tout ce que je représente"

Je lui souris amusé alors que j'avais bien articulé son prénom, lui mettant une main aux fesses pour le faire avancer dans la direction dans laquelle je souhaite, lui faisant traverser un arbre en lui tenant la main.

Alors qu'on arrive à Halloweentown, à l'orée des bois, je le laisse observer et s'imprégner de l'essence horrifique de mon monde pendant quelques instants avant de le conduire aux portes d'un Casino.
"C'est chez moi"

Je l'observe découvrir mon univers avec une certaine frénésie, j'aime le voir s'émerveiller des horreurs de mon environnement. En entrant dans le casino, ma demeure, je ressens sa passion pour l'horreur ce qui me fait frémir de plaisir, éclatant d'un léger rire en le voyant lancer un couteau à ma victime.

"Tu as tout compris mon ignoble cafard, c'est d'ici que je gère tout et cette chose est mon repas en effet, viens observer ça de plus près"

Je l'emmène près de la roue, au rythme où je m'avance je ressens la frayeur monter dans ma faible victime, qui commence à paniquer à nouveau, s'urinant dessus, ce qui augment sensiblement mon plaisir.

Je m'approche de lui, jetant un coup d'oeil à ma monstruosité alors que je récupère son couteau et le lui rends avant d'approcher ma main droite de mon visage, pendant que la gauche se pose sur la poitrine faiblarde de cet homme qui n'est plus qu'à moitié ce qu'il était. Mes ongles s'allongent, devenant tel des griffes ou des ongles de sorcières, d'une couleur ténébreuse et je viens doucement caresser son torse avant de doucement les enfoncés en lui en continuant le chemin. Attendant d'obtenir le cri parfais du désespoir profond avant de lui lacéré la gorge, lui sectionnant la carotide, le laissant se vider de son sang alors que j'aspire le reste de son énergie vitale.

"Un verre peut-être, j'ai du frais et aussi des cuvés"
Lui désignant le seau de sang en m'essuyant la bouche.

Je ne peux m'empêcher de l'observer faire, le regardant faire avec une certaine passion, alors que je le laisse m'attirer à lui je fais en sorte que ses chevilles se retrouvent solidement attachés par télékinésie avant de venir lui attacher les poignets de mes mains après le baiser fougueux et violent.
Les bras écartés par ses poignets attachés, je viens faire glisser mes ongles qui ont à nouveau poussés sur son torse avant de plonger mes iris dans les siens.

"Une victime qui demande à l'être est assez amusant, mais c'est moins drôle quand même"
Lui souriant amusé alors que je viens glisser mes mains sur ses flancs, mes griffes rétractées, avant que je ne lise ses peurs profondes dans son esprit.

Histoire de faire en sorte de durer le plaisir, alors que je projette dans son esprit l'une de ses peurs, je viens faire pénétrer mes ongles qui grandissent dans ses flancs, tel plusieurs lames acérées de couteaux, mettant mes pouces au niveau de son abdomen, pénétrant son ventre avec, alors que je commence à doucement inspirer la peur qu'il commence à ressentir.

Le moment est parfaitement plaisant, je sens sa peur profonde et viscérale alors que j'ai établit un contact physique très pénétrant avec son corps. Je me délecte de son sang qu'il me crache en plein visage, avant de venir m'approcher de ses lèvres en maintenant l'illusion alors que je l'embrasse avec violence.
Son corps vivait les choses d'une tel intensité que je ne pouvais résister à l'appel.



Je viens se faire rétracter mes griffes de son dos, avant de venir les faire se planter encore plus près de sa colonne vertébrale, y laissant donc une main sur son flan alors que je vient déloger ma main droite, les ongles couvert de son sang que je viens lui faire lécher. Une fois nettoyer de son sang je viens les faire se poignardé dans sa nuque, au niveau de sa colonne vertébrale tout en l'embrassant avec passion alors que je sens que mon corps veut le soumettre totalement, déversant ma haine en lui dans un râle puissant.

Je le sentis s'emparer ainsi de mon corps, me provoquant une extase de douleur que je ne pouvais réprimer. Il y déversa sa haine et son excitation, ce qui me provoqua le même effet au même moment, en synchronicité. J'halète un peu, n'étant ni capable d'interprété ce qui arrivait dans le monde réel, ni même d'interpréter la vision d'horreur qui m'étais offert, un peu trop dans les vapes.

Après quelques secondes, je sens juste ses ongles qui transpercent la peau de ma nuque. Mes iris violettes commencèrent a s'étendre, mes yeux devenant entièrement violets. Je cris fort et tire de plus en plus. J'entends des craquements sous moi, mais n'abandonne pas. Dans un craquement inquiétant, je finis par briser tout simplement les chaines qui me retiennent.

Je suis essoufflé, mes yeux redeviennent normaux. Il semble que j'ai retrouvé tout seul le contact avec la réalité. Je regarde mon homme en souriant. Je sors le dernier petit couteau qui me restait dans mon jean déchiré.

- Très bien, j'accepte !

Tout content, je viens planter mon couteau dans sa nuque, un très petit couteau qui ne transperce ni veine importante, ni colonne vertébrale, juste pour laisser une cicatrice.

- Et voila le travail ! C'est officiel maintenant !

Je retire mon couteau et l'embrasse avec passion, mais pas trop longtemps, manquant encore un peu de souffle.

- Va falloir aller l'annoncer à ma famille chéri. Tu vas venir avec moi ou tu veux que je leur annonce seul ?

Je semblais très joyeux tout à coup.